Chapitre 17:

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A peine la porte ouverte, que je me stoppa très vite, choquée de ce qu'il ce passais devant mes yeux.

Il était là parterre ensanglanté.

« - ALORS QUE JE TE CONSIDÈRES COMME UN FRÈRE TOI PENDANT CE TEMPS TU TRIPOTES MA FILLE !?!!?? »

Je lâchai tout ce que j'avais dans les mains et accourus vers mon père pour l'empêcher davantage de donner des coups à Shota.

Il me repoussa d'un fort coup dans le ventre et j'atterris un peu plus loin dans la pièce.

Sero ferma la porte d'entrée derrière lui et arrêta mon père en le tenant par derrière.

Ma mère pleurait dans un coin ne sachant pas quoi faire de la situation.

Je me relevais avec beaucoup de difficultés à cause du coup que m'avait donner mon père et soulevais la tête de Shota, dégoulinant de de son sang.

« - EH POUSSE TOI DE CE PEDOPHILE KAYNO !!!

- C'est pas un pedophile papa. Et puis qu'est-ce qui te fait dire ça...? »

Il se dégagea de l'emprise du brun et fouilla frénétiquement dans sa poche jusqu'à en sortir son téléphone. Il tapota plusieurs fois dessus et il fini par me montrer ce que affichait l'appareil quelques secondes plus tard.

Il était sur Instagram, sur le compte à Hizashi. Il avait posté la photo de nous deux à la plage sur son profil.

Mon cœur fit un bond dans ma poitrine et je savait que s'en était la fin pour moi.

« - Ce n'est pas ce que tu crois papa...

- Tu te fous encore de moi Kayno ? »

Il attrapa l'arrière de mes cheveux pour me les tirer et me mettre à sa hauteur.
Mes pieds flottaient au dessus du sol.

« - Donc t'es pas seulement une menteuse mais t'es aussi une pute ?! »

Il me mit un coup dans le ventre, beaucoup plus fort que celui de tout à l'heure et me cracha au visage.
Je me pliais de douleur alors qu'il continuait de me tirer les cheveux de son autre main.

« - Chiaki arrête...Ne mêle pas Kayno à ça et ne la touches pas s'il te plaît. » Dit Shota en se redressa sur le mur en toussotant.

Sero ne pouvant faire plus aucun gestes, fut retenu par ma mère qui la tenait fermement.

Pour mettre la cerise sur le gâteau, mon père m'enchaînais coup sur coup pour me faire souffrir et en profiter pour provoquer Shota.

Un autre coup m'arrivais au visage mais Shota s'était relevé et avait mit une droite dans la joue de mon géniteur.

Il attrapa mon bras et celui de Sero et nous poussa dans le salon en fermant la porte à clé.

La porte du salon étant une porte vitrée, on pouvait voir tout ce qui se passais derrière, malgré que nous étions coincés derrière celle-ci.

Je tapais contre la vitre et criais en espérant que l'on m'ouvre mais rien. Ils ne se contentaient que de se battre et se donner de très gros coups.

Terrifiée par la vue, je commença à pleurer des larmes, à flots.
Je glissais le long de la porte jusqu'à être assise complètement au sol pendant que Sero cherchait une solution pour sortir d'ici.

« - Kayno téléporte toi !! »

Je ne l'écoutait plus et ma vue commençais à se brouiller. J'entendais de moins en moins ce que me disait mon ami et mon regard flottait dans le vide.

« - Kayno non reste avec moi !!! » Il me secoua l'air apeuré et mon regard croisa le sien.

Je repris mes esprits et le regarda complètement consciente.

« - TÉLÉPORTE TOI KAYNO !!!

- Je ne peux pas Sero... Quand m-mes émotions sont t-trop forte je ne peux pas le f-faire. »

À quel moment ça a dérapé ??!! J'ai passer une très bonne journée et il a fallu qu'un tout petit détail m'échappe, qu'une photo fuite pour que ma vie entière soit totalement détruite ?

Je regagna mon attention vers la porte d'entré.

« - COMMENT ÇA TU PEUX PAS ?!!?? »

Il...

« - KAYNO !!! »

Il est à terre.

Voyant que je ne lui répondais plus, Sero s'empressa de regarder en ma direction et son visage se décomposa aussitôt que le mien.

Il tapais sur la vitre et moi aussi.

Putain Shota non..

Mon père attrapa Shota par le col et le foutu dehors. Il se mit à chercher un peu partout la clé pour pouvoir nous ouvrir mais il n'avais pas l'air calme.

Il va me faire mal...

« - Sero il va me faire mal, OUVRES LA FENÊTRE !!!! » Lui Criais-je d'une voix tremblotante.

Sero couru exécuté mes ordres mais mon père m'attrapa avant que je ne puisse passer un seul pied par la fenêtre.

Sero essayais de m'aider mais mon père lui asséna un coup avec le vase poser sur la table qui l'assoma.

« - SERO ! Non non réveille toi Sero non... »

Mon père m'emmenais je ne sais où et ma mère me regardais avec haine.

« - J'aurais dû écouté ta grand-mère et t'avorter. »

Il ouvra la porte de ma chambre et me lança sur le sol dur et froid.

Il se dirigea vers ma fenêtre pour la fermer avec un cadenas pendant que ma mère me surveillais depuis l'encadrement de la porte.

Il revenu vers moi par ensuite pour continuer de me frapper à l'aide d'une ceinture, cuillère en bois, règle en fer, câbles électrique, ses poings et tout types de matériels de torture pendant plus de trente-six minutes...

« - À partir de maintenant tu ne sors plus dehors. Je te prends ton téléphone, tes clés et celles de Sero et tu te demerdes. »

Il me claqua la porte au nez et j'entendais leurs pas s'éloigner de ma position.

Après les avoir entendu fermer la porte de leur chambre, je sortis de la mienne pour voir toutes les issues possibles.

Elles sont toutes fermer à clé ou avec des cadenas...

Je tira Sero par les bras et l'emmena dans ma chambre pour soigner ses peu de blessures et ainsi que les miennes.

Je l'installa dans mon lit et le recouvra de ma couette. Je m'assieds parterre et commençais à réfléchir à une solution. Très vite.

Les fenêtres c'est laisse tomber.
La porte aussi.
Y'a vraiment aucun moyen de sortir...

A force de réfléchir, je fini par m'endormir sur le sol froid de ma chambre dans une mauvaise posture.

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1034 mots

Mikassie

"𝑃𝑎𝑟𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑚𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝑡'𝑎𝑖𝑚𝑒𝑟..." Dadzawaxoc T.2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant