Chapitre 27:

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Cela faisait un TRÈS long moment que j'attendais mon partenaire assise sur l'herbe.

Je commençais à perdre patience, à avoir froid, faim, et une soudaine envie de rentrer à la maison m'était même venue à l'esprit.

J'avais l'impression qu'il était entrain de me faire payer pour toute les fois où j'ai été en retard pour nos rendez-vous...

Je ne sais même pas quelle heure est-il et je n'ai pas envie de le savoir. Car si je l'apprend, je sais que je vais câbler.

De plus, les feux d'artifices vont bientôt arriver !

« - Eh bah, t'es encore là ? »

Je levais ma tête pour voir qui avais prononcé ces mots.

Oh il a mit un Yukuta aussi !!!

Son vêtement était de couleur noir, assemblé avec une touche de jaune sur le côté qui montrait qu'on étaient assortis.

« - Va te faire foutre sale chien de la casse va. Répondis-je.

- Ouaaah tout ça ? »

Pfff ma belle, j'suis aigrie et ?

« - J'ai même plus envie de te voir, rentres chez toi. Dis-je en lui balança une noix qu'il rattrapa avant qu'elle ne touche son visage.

- Déjà que je suis venu alors que je travail demain... c'est pas très gentille.

- Et je penses que me faire attendre UNE PUTAIN D'HEURE c'est pas très gentil non plus.

- T'as l'air fâché. »Dit-il en faisant la moue.

Putain le batard il est beau quand il fait ça...

« - En vieillissant tu devient un gamin. c'est aberrant. »

Je soupirais et me levais de l'herbe.
J'en profita de prendre mon sac au sol pour le mettre sur mon épaule et je commençais à partir.

Bien évidemment, vous connaissez votre pote, il veut queeeeee.

« - C'est bon, ça va. »

Je m'arrêtais et me retournais, les bras croisés, le pieds tapant frénétiquement contre le sol.

Il s'approcha de moi pendant que je ressemblais à une daronne qui grondait son gosse.

« - Tu vois là Shota? T'es pas sensé dire "C'est bon, ÇA VA." PARCE QUE NON ÇA VA PAS ! LÀ T'ES SENSÉ T'EXC-

Je fût interrompue dans mon élan par un baiser de sa part.
Il m'embrassais fougueusement avant de se séparer de moi, par manque de souffle.

« - J'aime pas quand tu me coupe la paro-»

Il m'arrêta une seconde fois par un rapide bisous.

« - Tu voie c'est ça ton problème. C'est pour ça t'as pas de copine.

- J'ai pas besoin de copine parce que j'ai une femme moi. »

Je fis un 360 sur moi même, contente d'avoir entendue ce compliment venant de sa bouche.

« - Je t'aime Kayno. »

Mon sourire disparu petit à petit pour en faire place à un autre.
On se regardait profondément dans les yeux. C'est comme si nos âmes se regardaient.

"𝑃𝑎𝑟𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑚𝑜𝑖 𝑑𝑒 𝑡'𝑎𝑖𝑚𝑒𝑟..." Dadzawaxoc T.2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant