Chapitre 3

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Des deux hommes j'eu l'impression que c'était Mathias le plus heureux d'entendre ma réponse. Il se leva du canapé exposant son corps nu même si son sexe restait caché par le caleçon qu'il portait encore, et frappa dans ses mains comme pour annoncer le commencement d'un jeu :
—D'accord ! Alors pour commencer, déshabilles toi. Et pose ton sac, là, tu ressembles à un adolescent perdu...
Honteux de me rendre compte qu'il avait raison, je déposais mon sac Estpack sur le côté du canapé et commençait à me déshabiller. Je retirais ma veste, puis mon tee shirt et mon jean en laissant tomber tous mes vêtements sur le tapis à côté de mes pieds.
—Aller, insista Enzo en voyant que j'avais l'air d'hésiter à retirer mon caleçon. Tu vas pas souvent avoir l'occasion d'en porter, des vêtements, si tu deviens mon petit chien...
Le surnom me fit rougir. Il me paraissait affectif et c'était la première chose d'un peu sympa qu'il m'avait dit ce soir. Mais Mathias se tenait derrière moi et le sentir me scruter d'un air pervers dans les moindres détails ne m'incitait pas à franchir le cap devant lui. Mais Enzo paraissait en attendre beaucoup, et ne cherchant pas à le décevoir, j'ai baissé mon caleçon d'un coup pour me retrouver nu devant eux.
—Qu'est-ce que tu fais encore debout ? lâcha pourtant celui-ci d'un air hautain.
—Je ne sais pas, bredouillai je en me précipitant à quatre pattes. Je pensais que...
—Ta gueule. cracha t il. À partir de maintenant, les règles c'est à poil, à quatre pattes et sans l'ouvrir. Un chien, ça fait rien de tout ça.
Je déglutis devant les nouvelles règles, tandis que Mathias passait une main sur mes fesses nues et tendues devant lui. Il me donna une grande claque sur le cul avant de revenir s'asseoir en disant :
—Moi je pense qu'il va avoir du mal. Il va falloir le dresser un peu.
Comme si Enzo approuvait, il se leva en me laissant seul sous le regard du brun et parti chercher quelque chose dans la chambre. Il revint avec deux cravates dans la main et s'approcha de moi. Avec l'une d'elles, il fit deux fois le tour de mon cou et la noua assez serrée dans le but de faire un collier, tandis qu'il fit un petit noeud avec l'autre pour en faire office de laisse.
—Voiiila, fit il satisfait en se rasseyant dans le canapé, la laisse toujours en main. Là, tu es un vrai petit clebard.
De sa main libre, il vient caresser mes cheveux en tirant un peu dessus puis me donna une petite gifle.
—Approches, fit il en me montrant son sexe du menton tout en tirant sur la laisse.
Le collier improvisé m'étouffait, mais de voir l'attente dans les yeux d'Enzo me donna soudainement le rouge aux joues et j'ai malgré moi commencé à bander tout en m'approchant de la queue de mon copain.
Je tendis la main pour l'attraper et commencer à la mettre dans ma bouche quand je me pris une deuxième gifle, plus forte que la précédente.
—Bat les pattes, t'as le droit qu'à la bouche, cracha Enzo.
La gifle me faisait mal et j'ai senti les larmes recommencer à monter, mais l'excitation du moment était plus grande encore. Je me suis approché du sexe qui n'attendait que moi et ai donné un coup de langue en partant du bas, et en remontant jusqu'au gland. Comme je savais qu'Enzo aimait quand je bavais, je me suis mis juste au dessus du haut de sa queue et j'ai craché un paquet de salive destiné à venir tremper sa verge en prenant soin de bien soutenir son regard.
—Humm... fit il satisfait. Ça c'est une bonne pute...
Encouragé par ses paroles, j'ai pris sa queue dans ma bouche en prenant soin de garder mes mains bien à distance pour commencer à faire des vas et viens dessus. J'alternais entre gorge profonde et léchage de couilles, et je voyais pour mon plus grand plaisir le regard d'Enzo encré dans le mien en train de tomber dans l'extase.
Il arrêta néanmoins mon manège et en attrapant ma tête par les cheveux, il me tendit à Mathias.
—Tiens, fait plaisir à mon mec un peu. Lui aussi c'est ton maître.
Satisfait, Mathias attrapa la laisse et tira un coup sec dessus en venant me placer entre ses jambes. Il baissa son caleçon de sa main droite pour découvrir sa queue tendue qui avait l'air de n'avoir rien raté du spectacle, et attendit, le sourire aux lèvres.
Sucer Mathias relevait du défi pour moi. Ce gars était divin, et son entre jambe tout autant, mais je ne pouvais plus le supporter depuis ce soir. J'avais développé une haine totale envers lui et son attitude de dominateur me mettait la rage. Il attendait que je m'attelle à la tache, et un bref coup d'œil vers Enzo me montrait que lui aussi n'attendait que ça, sa main le faisant patienter en branlant sa queue encore tendue.
Alors sans quitter Enzo du regard, j'ai approché ma bouche de la queue tenue devant moi. J'ai passé la langue sur le dessus de son gland, faisant tourner celui-ci dans ma bouche avant de descendre, les lèvres bien serrées sur sa queue. J'ai commencé les vas et viens en me concentrant sur ma tâche, et rapidement Mathias pris le dessus, trop excité, et attrapa ma tête pour venir me donner son rythme.
—Ouais, c'est bon comme ça... susurra t il.
—Tu kiffes, bébé ? demanda Enzo en venant lui voler un baiser.
—Tellement...
Il accélérait ses vas et viens sans se préoccuper de moi. Je m'étouffais et j'avais les larmes aux yeux tant ses accoups étaient rapides, mais il ne relâcha pas la pression sur mes cheveux pour autant.
—Je vais jouir, faut que je le prenne. dit finalement Mathias.
Je n'avais absolument pas envie de me faire prendre par un autre homme qu'Enzo, mais c'est lui même qui attrapa ma laisse pour venir me mette dos au canapé, à quatre pattes sur le tapis. Avant que je dise quoi que ce soit, il se représenta devant ma bouche, la queue tendue, et rentra dedans en serrant mes cheveux de sa main gauche.
Mathias, lui, s'était approché derrière moi, et après un rapide crachat sur mon trou, il présenta sa queue devant mon cul. Le contact de son membre sur ma rondelle me tendit, mais j'étais tellement excité que je me suis direct décontracté malgré moi quand il entreprit d'exercer une légère pression pour rentrer.
Il ne s'arrêta pas là et enfonça sa queue jusqu'au fond de mon cul, me soutirant un grand gémissement étouffé par la virilité d'Enzo encore dans ma bouche.
—Hum, oui, regarde comment tu kiffes petit chien... murmura celui-ci en caressant ma joue.
—T'es trop bonne sale pute... souffla Mathias les yeux au ciel, en profitant d'être complètement au fond de moi.
Mon répit ne dura pas longtemps, il commença rapidement des grands mouvements de va et viens de plus en plus rapide. Il me tenait par le cul et me pilonnait complètement, sans ménagement, en s'occupant de son plaisir. Et moi, je ne pouvais m'empêcher de reconnaître que je bandais comme un taureau...
—Je vais jouir, lâcha t il en accélérant encore.
—Je vais jouir aussi, ajouta Enzo en quittant ma bouche.
Il s'approcha de mon cul et appuya un pied sur ma tête pour me coller le visage dans le tapis, les fesses relevées. Mathias ne tarda pas à venir en moi dans de grands râles rauques, bientôt rejoint par Enzo qui juta sur le haut de mon cul, à côté de mon trou. Son ami ressorti, vient chercher le sperme et l'emmena avec sa queue rejoindre le sien à l'intérieur de mes fesses.
—Bien sympathique, cette petite soirée, conclu Enzo en tapotant le haut de mon cul qui n'avait pas bougé. Mais épuisante. On va aller se coucher, toi tu dors là, sur le tapis.
Ne sachant pas quoi faire, je les ai regardé se redresser, et partir ensemble vers la chambre. Je me suis assis sur le tapis, perplexe. C'est moi qui devrait dormir avec Enzo !
—Bonne nuit petit chien ! me lança t il en fermant la porte de leur chambre.
Et ils me laissèrent là, le collier improvisé encore autour de mon cou, nu et dégoulinant.

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J'espère que l'histoire vous plait dans son genre 😬
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