𝐂𝐢𝐧𝐪 𝐇𝐚𝐫𝐠𝐫𝐞𝐞𝐯𝐞𝐬 𝐱 𝐫𝐞𝐚𝐝𝐞𝐫 [ 𝐓𝐡𝐞 𝐠𝐨𝐬𝐭 ]

𝘊𝘩𝘢𝘱𝘪𝘵𝘳𝘦 10: 𝘏𝘢𝘳𝘰𝘭𝘥 𝘑𝘦𝘯𝘬𝘪𝘯𝘴

Pdv cinq:

Alors que je préparais un plan pour trouver qui est ce fameux « Harold Jenkins ». Luther et Diego m'ont rejoint ils ne comprennent rien mais ce n'est pas étonnant. Pendant ce temps Judith elle fait du shopping avec Allison et Klaus, ça doit lui faire du bien de se détendre. J'espère qu'elle s'amuse.

- À qui tu penses cinq ? Me demande Luther.

- Euh à personne !

- Pourtant ça se vois dans ton regard que tu penses à Jud-

- On peut se concentrer un peu ?

- d'abord répond à ma question.

- Oui je pense à elle c'est bon t'es content ?

- C'est pour ça que t'a ce regard ?

- Oui voila allez.

- Tu l'aimes pas vrai ?

-Ouuuuuh s'exclama Diego.

C'est deux incompétents commence à me taper sur le système.

- Non je ne l'aimes c'est pas pareil.

- Ah bon alors pourquoi tu la regardes avec autant d'insistance. Et avec tellement d'envie de l'embrasse que ça te ronge de l'intérieur ? Je vous est observé !

- Tu peux pas t'occuper de tes affaires ?

Pourquoi dit-il ça ? Moi aimait Judith ? Je ne peux pas... je ne sais pas. Elle est précieuse à mes yeux mais au point de dire que je l'aime ? Aimer c'est un bien grands mots. C'est vrai qu'elle est belle, qu'elle est 58ans ou 14ans elle est belle. Et puis la tentation que j'ai à chaque fois que je croise son regard voudrait peut être dire que ? Non cinq ressaisit toi tu dois sauver le monde.

- Allez avoue le !

- La ferme vous deux !

Soudain, Klaus Allison et Judith entrèrent. Ils étaient tous vêtu de nouveaux vêtements. Mais mon regard ne pouvait s'empêcher de fixais Judith. Certes elle était habillé simplement mais ça lui donnais un charme fou que je ne saurais décrire. A cette fille tout lui vas. Je croise son regard elle me sourit, s'en est trop pour moi. Je tourne la tête pour ne pas montrer que je suis rouge, et je me mord la lèvre inférieure. Après m'être calmé je décide de parler à Judith.

- Judith je peux te parler ?

- Oui bien sûr. Dit-elle d'un ton tellement innocent que ça en deviens mignon.

Nous nous dirigeons vers une pièce isolé, je ne peux me retourner, si j'affronte son visage je vais me sentir tenter de l'embrasser jusqu'à ne plus pouvoir respirer. Une fois arrivé je me retourne son visage ses traits ses cheveux tout m'avait manqué même si cela fait quelques heures que je ne l'ai pas vu.

- Luther Diego et moi on est sur la bonne piste, on sauras bientôt qui est Harold Jenkins. Dis-je.

- Vous êtes trop fort.

- Non. JE suis trop fort.

Ce qui était vrai bien évidemment c'est deux abrutis n'y comprenais rien.

- La modestie tu connais pas ?

- si si je connais très bien, je suis juste réaliste.

Bien sûr que je dis la vérité, il ne savent même pas ce que c'est une équation.

- J'avoue que tu es le plus fort au équation, et sans toi je serais sûrement morte.