Remember : une autre histoire d' Anastasia [FIN]

Chapitre 12 : Tu es ma récompense.

La fête s'est terminé juste après que Raspoutine, afin sa voix, ne sois partie. Mon père m'a raccompagné dans ma chambre. Enfin réuni nous risquons d'être de nouveau séparé, mais mon père me dit de ne pas m'inquiéter que tout va bien se passer, que Raspoutine ne reviendra pas, s'il avait du nous tuer, il l'aurait déjà fait. Comment peut-il penser comme ça ? Il nous a avertis, il prépare quelques chose mais mon père ne veux pas le croire, il pense être en sécurité à Paris, mais tout pendant que Raspoutine est là, nous ne le somme pas!

Je suis de nouveau seule dans ma chambre avec Ange. Stressé, je range mes affaires pour aller me coucher et oublier quelques heures cet histoire. Alors que je m'assois près d'Ange, celle si lève la tête vers la fenêtre. Rien. Je m'allonge mais me relève en attendant du bruit dehors. Je m'arme du premier objet que je trouve et ouvre doucement la porte fenêtre qui mène au balcon. Toujours rien. Prête à frapper je vais doucement dehors et regarde partout. Mon imagination me joue des tours. Je me retourne et c'est lorsque je suis prête à fermer la porte que je vois une main sur le mur du balcon, puis une autre et enfin c'est un homme qui es là.

- Dimitri ?! Qu'est ce que tu fais ici ? (dis-je méchamment)

- Il fallait que je te vois avant que je parte ... je sais que tu ne veux plus me voir mais il le faut vraiment.

- Mon père m'a dit que tu n'avais pas accepter la récompense.

- Te savoir ici est ma récompense.

- Tu n'as fait que de me mentir, et la seule chose que tu trouve à faire c'est me laisser ce bout de papier comme explication.

- Je s'avais que c'étais le seul moyen que tu m'écoute ! Tu n'aurais jamais su la vérité autrement.

- Quelle vérité ?! Sur toi ? Sur qui tu es ?! Je sais exactement qui tu es Dimitri.

- Dit moi ?

- Un "aventurier" Russe qui voulait trouver une fille comme princesse pour obtenir la récompense du Tsar.

- An...

- Je n'ai pas fini ! Un menteur, qui fais croire au gens qu'il veut les aider, un manipulateur, un profiteur !

- C'est vraiment ce que tu vois en me regardant ?

- Oui, c'est ce que je vois, car c'est ce que tu es ! Mais je suis sur qu'avant tu n'étais pas comme ça, l'enfant qui s'est battu pour mon père et moi, n'étais pas comme ça, je suis sur.

- C'est vrai et je suis sur que tu as oublié une partie de l'histoire Anastasia. Tu as oublié que ce garçon tu le connaissais autrefois. Un jour, tu marchais seule dans les couloirs du palais et un garçon t'ai rentré dedans s'en le faire exprès. Il s'est incliné et tu as ris. Il a demandé pourquoi et tu as répondu que c'est drôle de le voir comme ça. Les deux enfants sont devenus amis, jusqu'au retour du Tsar, ils se voyaient tous les jours. Mais lorsque les adultes l'on su, le garçon a du arrêter de lui parler, de la voir. Ça a briser le cœur de la princesse, car elle, elle ne connaissait pas la vrai raison à ça. Elle a fini par arrêter de chercher à le voir. Elle la oublié et même lorsque le garçon la aider à s'échapper, elle ne la pas reconnus.

- Dimitri je ... je me rappel maintenant ...

- Depuis le jour où il a du arrêter de jouer avec elle, il n'a fais que la décevoir, lui briser le cœur. Car en réalité, depuis le début, la princesse est la seule chose qui lui tiens à cœur, la seul chose qu'il veut savoir en sécurité. Aujourd'hui enfin elle l'ai et c'est tout ce qui compte. Et je voulais que tu le sache avant que je parte. Plus jamais tu n'auras la cœur briser Anna.

Dimitri s'agenouille prêt de moi et me tend ma boite à musique. Je la prends.

- Ton père me la mis dans ma poche avant que je parte. Elle n'ai pas à moi, je n'ai pas besoin d'elle pour me souvenir de la plus belle fille que je n'ai jamais connue.

Il se relève et retourne sur le balcon.

- Adieu Anastasia.

- Dimitri ?

Je me retourne mais il est déjà partis. Quelle imbécile je suis ! Je m'assois sur le lit et ouvre la boite grâce à mon collier. Quand elle s'ouvre quelques chose en sors, la rose. La rose de Dimitri. Comment à t-il fais, je m'en fiche. Il me suiffit de la regarder un instant pour comprendre, je cours. Il ne faut pas qu'il parte !