Marc Levy (Écrivain et Romancier)

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«Perdre quelqu'un qu'on a aimé est terrible, mais le pire serait de ne pas l'avoir rencontré.»


«On ne peut pas tout vivre, alors l'important est de vivre l'essentiel et chacun de nous a "son essentiel".»


«C'est drôlement dangereux de s'attacher à quelqu'un, c'est incroyable ce que ça peut faire mal. Rien que la peur de perdre l'autre est douloureuse. Sans nouvelles d'elle ; tout s'écroulait autour de moi. C'est moche de guetter un signe de quelqu'un pour se sentir heureux.»


«- Tu l'aimes ?

- Ben ouais , elle est belle.

- C'est tout ?

- Euh... quoi d'autre ?

- Je te demande si tu l'aimes. Je te parle d'amour. Et toi tu me dis qu'elle est belle ? Belle ?! Moi quand je te parle de beauté, je ne te parle pas de son joli petit cul moulé dans un jean Levi's. Ni de ses lèvres pulpeuses. Ni de ses grand yeux pétillants. Putain. Je ne parle pas de ça. Moi ce que je voulais que tu me dises c'est que tu l'aimes. Que tu aimes tout d'elle. Ses défauts. Les pires. Le goût de ses larmes quand rien ne va plus. L'odeur de ses cheveux quand tu l'embrasses dans le cou. Ses tâches de rousseurs quand l'été pointe le bout de son nez. Et quand j'évoque le mot amour. S'il te plait. Ne l'associe pas au sexe. Parce que tu vois. Savoir combien de fois tu te la tape tous les jours, moi, je m'en fous. Merde. Il y a des mots pour parler d'elle. Pas des mots en tocs. Pas des mots qui soient faux. Pas l'un de ses mots ringards que tu ais entendu dans un film. Pas comme ça. Parfois il n'y a pas de mots. Juste des regards. Des gestes. Encore des regards. Puis un sourire. Qui dure. Qui dure, parce que tu as ta main posée sur sa peau brûlante. Parce que dans sa poche furtivement tu as as caché un petit gribouillis avec inscrit " Je t'aime " quand sa tête était tournée. Parce que les jours passent trop vite quand elle est là et que tu ne veux plus la quitter. Que tu ne peux plus lâcher sa main. Et que tu lui dis que sans elle, chaque minute est inutile. Et en revanche. Parce que tout ne va jamais bien. Que ses yeux brillent. Pleurs. Lors d'une dispute. Qu'elle te lance au visage des mots affreux. Des cris de haine. Alors pardonne-la. Recommence à zéro. Et dis-lui. Cris le. Je t'aime. L'amour c'est ça. Ce n'est pas un jeu. Pas de la merde. C'est dangereux. Tu vois. Moi. C'est ça dont je te parle. »


«Il y a des chagrins d'amour que le temps n'efface pas et qui laissent aux sourires des cicatrices imparfaites.»


«Aimer ce n'est pas renoncer à sa liberté, c'est lui donner un sens.»


«Tu vois, c'est marrant, on se donne toutes les bonnes raisons de s'interdire d'aimer, par peur de souffrir, d'être abandonné un jour. Et pourtant, qu'est ce qu'on aime la vie alors qu'on sait qu'elle vous quittera un jour.»


«On dit que les pensées de deux personnes qui s'aiment finissent toujours par se rencontrer, alors je me demandais souvent en m'endormant le soir s'il t'arrivait de penser à moi quand je pensais à toi [...]»


«Le temps ferme toutes les blessures, même s'il ne nous épargne pas quelques cicatrices.»


«Quand on vit aux cotés des gens on ne se rend pas vraiment compte qu'ils changent, et c'est comme cela qu'on finit par les perdre.


«A écouter mon cœur tambouriner dans ma poitrine, je me suis dit qu'on pouvait peut-être mourir d'un baiser


«Elle se disait que le mieux serait peut-être de ne plus jamais aimer. Pouvoir tout effacer, oublier les promesses, recracher ce poison au gout de trahison. Combien de jours et de nuits faudrait-il, cette fois encore, pour cicatriser ? Surtout, ne pas penser maintenant aux week-end à venir. Réapprendre à contrôler les battements de son cœur quand on croit voir l'autre au détour d'un carrefour. Ne pas baisser les yeux parce qu'un couple s'embrasse sur un banc devant vous. Et ne plus jamais attendre que le téléphone sonne. S'empêcher d'imaginer la vie de celui qu'on aime. Par pitié, ne pas le voir lorsqu'on ferme les yeux, ne pas penser à ses journées. Hurler que l'on est en colère, qu'on vous a trompée.»


«La création humaine est peut-être imparfaite, mais rien n'est plus parfait dans l'univers que deux êtres qui s'aiment.»


«Il suffit souvent d'un rien, d'un objet retrouvé, d'une odeur, pour vous rappeler la mémoire d'un être disparu.»


«C'est facile d'aimer quelqu'un que l'on ne peut pas atteindre, on ne prend aucun risque.»


«fallait-il donc que les gens s'éloignent pour que l'on se rende compte de la place qu'ils prenaient dans nos vie ?»


«Il y a des chagrins d'amour que le temps n'efface pas.»


«Les gens sont libres, et l'attachement est une absurdité, une incitation à la douleur.»


«Il suffit de cesser de croire une seule seconde pour que le rêve se brise en mille morceaux.»


«Je suis une ombre dans ta vie, tu es bien plus que çà dans la mienne et çà me fait du mal.»


«Tout est possible, il suffit d'y croire de toutes ses forces.»


«Il ne faut jamais comparer les gens, chaque personne est différente. L'important est de trouver la différence qui vous convient le mieux.»


«Je n'imaginais pas pouvoir aimer comme je l'ai aimée. J'ai cru à elle comme on croit à un rêve. Quand il s'est évanoui, j'ai disparu avec lui.»


«Certains moments ont un goût d'éternité.»


«Tu étais entrée dans ma vie comme arrive l'été, sans prévenir, avec ces éclats de lumière qu'on retrouve au matin.»


«Une belle rencontre, c'est parfois aussi une question de temps. Il faut se trouver l'un l'autre au bon moment.»


«Vous vous rendez compte d'une telle absurdité. Des hommes mariés qui ont la chance de vivre auprès de celles qu'ils aiment trouvent le moyen de les tromper et moi, je suis fidèle à une femme qui ne sait même pas que j'ai le béguin pour elle.»


«Ce n'est pas parce que quelqu'un vous a quitté qu'il cesse d'exister.»


«Aimer c'est avant tout prendre un risque.

C'est dangereux de s'abandonner a l'autre, d'ouvrir cette petite porte sur notre cœur. Ça peut provoquer la douleur indescriptible que tu ressens. Ca peut même prendre la forme d'une obsession.

Et il n'y a aucun médicament pour ce mal de cœur . C'est comme cela que j'ai compris que l'on s'était foudroyé sur la relativité du temps.

Une journée peut être bien plus longue qu'une année entière quand l'autre vous manque, mais c'est aussi un délice de la chose. Il faut apprendre à apprivoiser ce sentiment.»

Le RecueilOù les histoires vivent. Découvrez maintenant