Kurt Cobain (Chanteur et guitariste du groupe Nirvana)

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«Je suis ce que je suis. Je vaux ce que je vaux. Mais qu'importe, je vais dire ce que j'ai à dire, je vais faire ce que j'ai à faire. Ce sera peut-être pas parfait mais ce sera.»

«Je ne suis pas gay, même si j'aimerais bien, juste pour faire chier les homophobes.»

«un samedi soir je me suis soûlé et défoncé puis j'ai marché le long de la voie ferrée et je me suis allongé sur les rails pour attendre le train de onze heures avec deux gros bloc de ciment sur la poitrine et les jambes et le train s'est approché de plus en plus près.
Et il a roulé sur la voie d'à côté au lieu de me passer dessus.»

«J'aime me plaindre et ne rien faire pour que les choses s'arrangent. J'aime blâmer la génération de mes parents pour être presque parvenue à un changement social et avoir laissé tomber après quelques efforts réussis du gouvernement et des médias pour dénaturer le mouvement à coups de propagande, en utilisant des Manson et autres spécimens hippies comme preuve qu'ils n'étaient rien de plus que des maladies inhumaines, sataniques, communistes, antipatriotiques. Et à leur tour les baby-boomers sont devenus les yuppies les plus hypocrites et conformistes jamais produits par une génération.»

«Comme Hamlet, je dois choisir entre le suicide et la mort.»

«1) Ne viole pas
2) N'aie pas de préjugés
3) Ne sois pas sexiste
4) Aime tes enfants
5) Aime tes voisins
6) Aime-toi
Ne laisse pas tes opinions obstruer la liste ci-dessus.»

«L’Amérique se targue d’être le pays de la liberté, mais, en définitive, c’est ici qu’il y a le plus d’ignorants. La majorité de la population est à demi-attardée.»

«LA TELEVISION. La télévision est la chose la plus diabolique de la planète. Précipite-toi à cet instant même sur ta télé et jette-la par la fenêtre, ou fourgue-la pour acheter une meilleure chaîne stéréo.»

«Il vaut mieux être détesté pour ce que tu es, plutôt qu'être aimé pour ce que tu n'es pas.»

«J'essaye de faire éclore les fleurs qui poussent dans ma tête.»

«Ça dure depuis des années. J’ai commencé à prendre de l’héroïne en 1985 à Aberdeen. Je ne savais pas jusqu’où cette saloperie allait m’entraîner. C’est la pire dépendance que j’ai connue. Je ne peux pas jurer que je n’en reprendrais pas.»

Le RecueilOù les histoires vivent. Découvrez maintenant