Chapitre X

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Un an c'est déroulé après les faits. J'avais toujours le même traitement et j'étais toujours sous confinement. Cependant, j'étais autorisé à sortir uniquement dans des lieux ou on accueillait pas énormément de personnes. Je souhaitait principalement me rendre de temps en temps au cimetière, afin de rendre visite à mon grand-père qui pour moi, est parti beaucoup trop tôt et qui était une perte assez lourde et douloureuse pour moi malgré les apparences.

Mes constantes étaient bonnes, je reprenais petit à petit en force, mais j'avais toujours pas retrouver cette confiance en moi, et je n'arrivais pas à m'imposer. Je suis tellement gentil que lorsque j'essaie de oser le ton pour tenter de gagner en respect, tout le monde m'ignorait et n'en prenait pas compte. J'avais la sensation d'être considéré comme un déchet, alors que ce n'était pas le cas avant l'arrivée du syndrome. Est-ce que c'est parce que '' je ne suis pu comme eux '' que les gens me respectent pas normalement ?

Quoiqu'il en soit, j'avais au moins retrouver la joie de vivre, ce qui pour moi, était déjà pas mal en soit. Je reprenais activement mes vidéos et j'avais créer l'Academia Raiders. C'était entre autre une sorte de '' Duel Académie '' comme dans l'animé Yu-Gi-Oh !GX, sauf que c'était moi qui gérer les plannings etc... et j'ai sélectionné des bons contacts expérimentés dans le jeu, afin d'aider les débutants qui souhaitent commencer ou reprendre, le format compétitif en main. Sa nous occupaient pendant le confinement et le projet fonctionnait correctement. Par la suite, j'ai crée des liens assez forts avec certains membres, et j'ai donc fondé ainsi ma propre équipe compétitive qui est, la Team Raiders.

Cette équipe a actuellement pour but de s'entraider dans le jeu selon nos disponibilités, bien évidemment sa va de soit, étant donné qu'on a tous une vie en dehors du jeu de cartes. Mais on s'aide et se soutiens mutuellement aussi lorsqu'un des membres se sent mal dans sa peau et qu'il ou elle souhaite en parler. On est même tous d'accord sur le fait, qu'au jour d'aujourd'hui, on est soudés comme une famille. Et que les personnes ayant aucun intérêt pour celle-ci ou qui se moquent totalement de nos intentions et fonctionnement, alors cette personne n'a rien à faire avec nous.

Parla suite, j'avais repris contact avec une fille rencontré en vacances. On s'était perdus de vus pendant un moment, mais on avait réussis à renouer le dialogue. Je me sentais à l'aise avec elle, puis elle voulais savoir ce qui m'étais arrivé pendant les quatre années que l'on ne s'était pu contactés. Je lui raconte donc mon parcours scolaire ainsi que le fait que j'allais passé le permis, ainsi que l'arrivée du syndrome, puis mon histoire avec mon ex de cette période.

 Sa réaction m'avait surprise et interrogé car elle était très énervé envers elle pour tout le mal qu'elle m'avait infligé. Elle disait aussi que pourtant elle n'avait pas le droit de faire cela à une personne aussi gentil et intentionné que moi avec un grand cœur en or. Sauf que moi je croyais pas à sa et je préférais ne rien lui dire à cet instant. Je voulais pas qu'elle voie que j'ai perdu confiance en moi, et que j'étais devenu pessimiste de nature.

Ma maladie et moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant