Chapitre IX

10 0 0
                                    

Pour me changer les esprits, j'étais parti dormir quelques jours chez ma grand-mère qui vivait à ce temps là à Maubeuge. Je jouait sur mon téléphone quand soudain, je reçoit une invitation privé sur Messenger venant d'un homme dont je connaissais pas l'existence. Je me suis dis que sa se pourrait que ce soit un abonné qui souhaite poser des questions ou bien une demande d'échange d'une personne venant d'un des groupes que j'étais actif. Et bien non, la personne m'appelle après que je lui avait confirmé que la fille sur ma photo de profil était bien ma petite amie. Il m'annonce qu'elle draguait son frère depuis plusieurs jours. Évidemment, je lui dis que je ne pouvait pas y croire si je n'avais pas de preuves, ce qui est normal. Il m'envoie donc alors tout les messages qu'il y a eu entre elle et son frère. Je n'en croyait pas mes yeux. Elle envoyait souvent des photos d'elle alors que j'en recevait presque jamais. Elle lui faisais des messages légèrement érotiques, elle lui avait même fixé un rendez-vous le jour ou je voulais qu'on se voient pour discuter de notre situation mais qu'elle a refusée sous prétexte qu'elle allais en course avec sa mère.

La personne étant désolé je lui ai dit de ne pas s'inquiéter et qu'il avait bien fait de me l'avoir dit. Je lui ai donc dis calmement que je devais raccrocher et que j'allais le recontacter prochainement. A peine raccroché, ma rage montait, je sentais une chaleur qui sortait de moi, une chaleur tellement intense que l'on pourrait croire que je faisait une forte fièvre. Je sort de la cuisine et frappait un énorme coup de pied dans la porte qui séparer la pièce ou j'étais et celle de ma grand-mère, avec une violence soudaine et surprenante. Tellement surprenante que ma grand-mère en a sursauté et à du dire à ma tante auquel elle était en conversation téléphonique parce qu'elle a vue directement qu'il fallait intervenir. Elle essaya d'apaiser ma colère car dans cet état, je pouvais être capable de commettre des actes imparables sous l'influence de la violence. Je n'avais qu'une envie, la tuée !Mais ma grand-mère a su m'aider à contrôler cette colère, puis je m'assoit mais tremble très fortement. Mon ami de Chambéry m'appelle à ce moment-là, a ressenti à ma voix l'état dans laquelle je me trouvais, je lui avais donc tout raconté. A peine terminé, il raccroche puis je savait pas ce qu'il allais faire. J'appelle aussitôt ma mère pour lui faire part de ce qui s'était passé, puis je lui annonce que je vais lui dire que j'ai décidé de mettre à terme à la relation, chose que j'avais jamais fait auparavant.

La personne m'ayant contacté sur Messenger me rappelle donc et cette fois il me dit que lui et son frère sont actuellement sur la route pour son domicile. Il était presque vingt heures, il faisait un peu noir et avait ratés leur bus et donc devait faire une heure de route à pied. Je leurs demandent donc de faire demi-tour parce que je voulait pas qu'il fasse sa pour moi. Mais ils insistaient, et pour cause, que je sache la vérité. Il a dit que c'est normal que je doit savoir la vérité dans tout sa et que ce qu'elle m'avait fait subir et tout sauf du respect et de la reconnaissance. Alors je le remerciait et j'ai donc mis un stratagème en place.

A peine raccroché, j'emprunte le fixe de ma grand-mère pour appeler mon ami de Chambéry parce que je voulais qu'il soit aussi témoin de la situation et qu'il me fasse part de ce qu'il a eu comme version vis à vis d'elle. Mais elle avait tout nier, ce qui m'étonnait pu. Elle appelle ma grand-mère et je lui dit de répondre en haut-parleur mais fallait dire que j'étais pas la et qu'elle avait ni de mes nouvelles, ni être mise au courant de la situation. Puis on allais assistés à sa réaction. Elle prenait une voix innocente en disant que des gens racontaient ce que l'on m'avait apporté, et quand ma grand-mère demande si c'était la vérité, elle disait que c'était faux. A ce moment-là je me lève, pose le fixe, part dans la pièce à côté, et frappe violemment le mur d'une rage violente, mais je vous rassure ma main n'avait rien. J'avais frappé sur un mur dans lequel je savait que je risquais aucun dégâts physiques.

Je retourne dans la pièce principale et j'étais sur de ma décision. J'allais mettre à terme à tout sa. A toutes ces humiliations et mensonges dont j'ai subis pendant neuf mois éprouvants et insupportables.

Mon plan se mettait en marche et comme prévu, l'inconnu m'appelle devant chez elle, met le haut-parleur et ma grand-mère prend pas de risque et s'isole dans la cuisine pour éviter les nuisances sonores car j'avais bien l'intention de crier et pas qu'un peu. Plus j'écoutais la conversation, plus j'entendais des mensonges, je me met donc à hurlé et déferlé toute ma rage ! Je me suis libéré soudainement. J'ai dis pleins de choses que je pensais et osais jamais dire par peur puis l'inconnu me stoppa directement en disant qu'ils ont dus partir parce que sinon, elle appelée la police pour signalé un harcèlement et jusqu'à son domicile. Je les ai quand même remercier pour les services rendus et avait raccroché ainsi qu'à mon ami de Chambéry.

J'ai ensuite essayé d'appeler cette fille. J'allais annoncé la séparation. Une fois, deux fois, trois fois, quatre fois que je tombe sur le répondeur, j'ai donc dis ceci au répondeur '' écoute moi sale garce, j'espère que tu va bien écoutée ce que j'ai à te dire car crois moi qu'en ce moment, heureusement que tu ne soit pas devant moi ! Tu a osée dire des mensonges sur mon dos, tu a osée dire que j'étais capable de te trompée alors que tu t'es pas gênée pour draguée et charmée le premier venu à cause de ta fierté de merde ! Et ose me dire que c'est faux car j'ai tout les messages donc tu ne peut pas le nier ! Tu veut voir d'autres garçons ? Très bien ! Vas y tu es célibataire maintenant et moi aussi ! Merci d'avoir bousillée ma vie et merci de m'avoir fait prendre conscience que tu étais un sale pute égoïste, qui pense qu'à l'argent et au sexe !''.



 Une fois terminé, j'étais essoufflé, et soulagé. J'avais déferlé toute ma rage que j'avais envers elle mais les larmes ne faisaient que de couler. C'est dû à la rage, la peine et la culpabilité que j'avais accumulé en moi mais que j'avais jamais libéré. Ma grand-mère revient donc vers moi puis m'aide à m'asseoir et me donne un verre d'eau frais. Je me sentais enfin libéré d'un poids, dont j'avais envie de lâcher les prises

Ma maladie et moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant