Chapitre III

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Au début de mon hospitalisation, j'étais assez perdu puis dans ma tête pu rien n'allais. J'avais des moments ou je n'avais pas le moral parce que je me demandais souvent ce que je faisais ici et surtout, qu'est-ce qui a bien pu se passer pour que je finisse dans un état pareil.

Ma mère venait me rendre visite tout les jours et pour me changer les idées et aussi pour m'occuper, elle m'avais ramener ma collection ainsi que mes decks et mon ordinateur pour que je puisse m'entraîner entre deux. Elle m'avait pris également un abonnement à la télévision car à ce temps là, je regardais la télé réalité tout les soirs, et le matin je regardais les mêmes séries qu'ils passaient. Elle avais également prise un abonnement à la WI-FI de la clinique mais on va pas se mentir, c'était pas ouf. J'étais très limité en termes de vidéo YouTube, je recevais les messages sur Messenger mais je pouvais pas en envoyer. Je pouvais pas me connecter à la plus part de mes applications mais comme je joue à Dragon Ball Z Dokkan Battle, heureusement que je pouvais accéder au jeu à ce moment-là. Pour mon ordinateur, bah toutes mes applications qui demande internet ne fonctionnait pas à l'exception de Google mais impossible d'accéder à beaucoup de sites. Du coup, ma grand-mère venait quand même me rendre visite assez souvent, et de temps en temps, elle me prêtait son téléphone afin d'accéder au contenus que je voulais accéder.

J'ai fait plusieurs publications sur les réseaux concernant mon état, de mon entrée à la clinique jusqu'à ma sortie afin de ne pas répéter le même discours aux personnes qui prenait régulièrement de mes nouvelles.

La fille avec qui j'étais en relation à cette période, était aussi venue me voir. Ma mère venait plus tard dans la journée quand c'était comme sa pour qu'on puisse être seuls et avoir une intimité. Sauf que une fois, elle était venue alors qu'elle était malade. Étant donner que j'étais assez faible, forcément cela n'a pas plu à ma mère. D'ailleurs, une fois elle est venue me rendre visite avec sa mère et personnellement je n'aurais pas voulu qu'elle vienne parce que c'était pas avec ce qu'elle disais que les choses allais s'arranger. Elle disais que si mon état devait se dégrader, c'était fort probable que j'allais subir une greffe de rein, chose que je veut éviter. Mais le néphrologue nous avaient pas expliqués les choses de cette manière et j'avais largement plus de confiance envers lui qu'envers sa mère vu les nombres de mensonges qu'elle ait pu sortir auparavant.

Une fois, un de mes contacts qui jouait avec moi à Yu-Gi-Oh, m'avait demandé pour passer une après-midi avec un ami, j'ai accepté et a même donné mon numéro de chambre. Ce jour-là, alors que je regardais la télé en attendant ma grand-mère arrivait, au moment ou ma mère et moi s'y attendait le moins, tout mes potes qui ont participé à mon initiation dans la compétition Yu-Gi-Oh était venu me voir. L'un d'entre eux était même venu malgré le fait qu'il aimait pas aller dans un milieu hospitalier peut importe la raison. Ils étaient au nombres de quatre et avaient décidés de me faire la surprise et on a passés une après-midi complète à s'entraîner et à échanger des cartes. Le jeune infirmier qui était passé entre deux et qui connaissait le jeu avais pris le temps de nous voir jouer vu qu'il avais du temps et que tout était calme à cet instant dans l'étage. J'aurais pas pu passer un meilleur moment que celui-là lors de mon hospitalisation. D'ailleurs, c'était à cette période que je voulais monter un deck Harpie pour celle qui était ma petite amie, et l'un d'entre ne jouais pu le deck. Alors il me l'a offert et j'en étais gêné.

Un deck de structure était sortie et j'avais économisé pour l'acheter, alors j'avais demandé à ma mère pendant qu'elle allais en courses, si elle pouvais comparée les prix pour savoir lequel et moins cher. L'après-midi même mes parents arrivent, et mon père m'offre justement ce fameux deck et je l'es remercié car cela m'avais fait plaisir.



 Le traitement commençait à faire effet. Légèrement mais sa agissait. Il fallait continuer à être patient. Une semaine s'était écoulé depuis mon entré à la clinique, et même si de temps à autre le moral étant pas présent, j'étais ravi de voir que je pouvais bien compter sur les personnes qui compte pour moi.

Ma maladie et moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant