Chapitre IV

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Hélas, cet instant de bonheur était de courte durée. Un jour, le néphrologue m'annonça qui fallait faire une biopsie au niveau des reins et à vif, ainsi qu'une endoscopie étant donné que j'avais des soucis avec mon estomac et que les traitements contre les nausées et vomissements que je faisais régulièrement était inefficaces. L'endoscopie s'est bien passé. On m'avais endormi et pour être franc, le seul souvenir que j'ai, c'est que j'étais dans la salle, allongé dans mon lit, et que soudainement, je me retrouve dans une salle avec d'autres patient en attendant que je me réveillais et que l'on vienne me chercher. Sa avais pris deux heures et demi et pourtant, j'avais la sensation d'avoir fait une sieste sauf que j'avais un goût assez horrible dans la bouche et dans la gorge.

Le jour de la biopsie, j'étais en panique. J'avais peur et je savais pas à quoi m'attendre. Alors le néphrologue était resté à mes côtés, tout le long de l'examen et malgré la douleur que cela m'infligeait, j'ai su resté fort et je gardait au maximum ma concentration afin d'atténuer la douleur dans ma conscience, ne montrant pas ainsi la souffrance que je ressentais. L'examen étant achevé je pouvais pu bouger du dos. Je n'arrivais même pu à me tourner et c'était normal vu l'endroit dans laquelle on du prélever un morceau de rein pour analyse. Je devais donc restait alité jusqu'à ce que je retrouve la capacité de me mouvoir.

Pour me laver, une infirmière ou aide-soignante, me prépare sur ma tablette de chambre, mes affaires pour effectué ma toilette et me laissa donc faire ce que je pouvais faire. A chaque fois, elle n'avais que mes pieds à laver étant donné que j'étais dans  l'incapacité de courber mon dos. Pour m'habiller forcément, c'était elle qui le faisait. Pour uriner, j'avais l'urinoir et comme il fallait mesuré tout les jours la quantité d'urine que je réalisé, je devais appelé un membre de l'équipe soignante pour qu'elle vide l'urinoir dans un bidon gradué.



 Quatre jours c'était écoulé après la biopsie, et une semaine après mon entrée à la clinique. Je me disais qu'on avais franchis une étape supplémentaire mais il me restait encore vingt kilos d'œdèmes à éliminer. Comment sa allais se poursuivre ? Est-ce que c'est normal ? Ou doit-on effectuer des modifications dans le traitement ?

Ma maladie et moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant