Les pas de Mr Rail s'éloignent. Seul un grincement sec résonne dans la pièce soudainement silencieuse, suivis de hoquets de surprise, de choque voir même de peur.
-« Bonj-, le professeur s'arrête brusquement et sa volonté de faire comme si de rien n'était s'effondre au même moment. Jack...
- Stéphan, répondit la voix mi étonnée de Clifford. Où sont-ils ?
- Où est qui ? dit-il dans un effort de stupidité.
- Ne joue pas l'idiot, dit-il avec une voix qui se porte. Où. Sont. Ils ? »
Par un manque d'aire soudain, je prend une forte inspiration. Liam me regarde avec stupeur alors que plusieurs pas lourds se rapprochent l'aire me manque à nouveau et des larmes me piquent les yeux. Je me liquéfie face à ma bêtise et de la soudaine réalisation qu'il n'y a nul par où se cacher. On ne peut qu'attendre et se faire prendre ; puisque, je ne doute pas qu'il y est des gardes à la porte de la salle, et qui nous attraperaient si on sortait de la salle d'en face.
On me tire violemment par le bras se qui eu le don de me faire sursauté. C'est Liam. Il me tire vers le coin gauche de la salle qui forme avec des étagères remplient, un L. Je ne comprends pas son effort de se cacher là, ils nous verront forcement. A ma plus grande surprise, un trou ... ou plutôt une trappe ? est ouverte là où est censé être un tapis. Comment connais-t-il son existence ? Je n'ai pas le temps d'observé plus que ça que Liam me pousse sans prévenir dans le trou. Je tombe à genoux sur un sol en terre très dur et me cogne brutalement le bras gauche sur un bout en métal qui dépasse. Il me déchire le bras sur tout le long du biceps. Ça me fait un mal de chien mais je m'efforce à ne pas crier. Je n'ai pas le temps de me plaindre qu'il saute sans hésité -presque sur moi- avant de remettre le tapis au-dessus de nous et de refermer la trappe.
Clic
La porte de la réserve s'ouvre -bizarrement- plutôt lentement. Plusieurs personnes entrent et nous pouvons les entendre se bousculé.e.s précipitamment. Des bruits de toutes sortent résonnes. Il est facile deviné qu'il mette la pièce en sac
-« R.A.S., dit une voix qui nous est inconnu. »
Un soupire de soulagement et un boum échos dans la salle, suivis de cris de pure terreur provenant de la salle adjacente. Je me cramponne au bras de Liam par réflexe qui tremble sans relâche. Nous sommes dans le noir totale, ce qui a le don de doublé ma peur – si s'est encore même possible-.
-« Écoute moi bien microbe, crache Clifford très remonté. Tu es sorti seulement parce que ta disparition faisait trop de bruit, mais je te garanti que le colonel fera bien pire si on découvre que tu caches celui-là.
- Cacher qui ? », dit l'artiste d'une voix faible et étouffée mais tout de même arrogante.
Après des secondes qui me parurent des heures, Clifford ordonne à ses sous-fifres de sortir. Les pas s'éloignent de la réserve mais la porte ne se ferme pas.
-« Au plaisir de te revoir », dit Mr Rail sarcastiquement avant de fermer la porte dans un claquement.
Une immense vague de soulagement s'empare de nous au son des pas pressés qui diminuent. Je me mets à bouger d'avant en arrière. Il faut que le stress sorte. Il faut que sa sorte. Je dois bouger pour le faire partir, ou du moins diminuer cette soudaine envie de vomir. Je dois éliminé et évacuer cette soudaine électricité qui traverse tout mon corps. C'est au dépit de la douleur lancinante que me procurent mon bras et ma tête que je le fais.
mais rapidement le balancement de mon corps et l'agitation de mes mas ne sont pas assez. Il me faut plus. Plus efficace. Et s'est seulement lorsque je mes point s'abatte frénétiquement sur mes cuisses que je suis emplis d'une étincelles de confort.
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Run t1
Ficção CientíficaDepuis plusieurs dizaines d'années, des personnes disparaissent par dizaines et ne sont jamais revus.es. Ce chiffre se double alors que des adolescents de terminale sont emmenés.es dans des voitures noires aux vitres teintées vers une destination in...