22. Situation Chaotique

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- Arrête, papa ! Lui criai-je en me débattant.

Il me mît une violente gifle et me poussa sur mon lit. De son corps, il me surplomba et enleva sa ceinture.

- Je t'en supplie, arrête ! Pleurai-je.

Il baissa mon bas de jogging et mes pleures se firent beaucoup plus fort. C'était la troisième fois en une journée. Nous étions samedi, je n'avais pas cours et ma mère était à l'hôpital.

J'avais dis à mère ce que mon père me faisait, mais personne ne nous a cru. Mon père s'était énervé et avait commencé à me violer plusieurs fois par jours.

Papa - Je t'avais dit de fermer ta gueule et de ne rien dire ! Alors sois je bute ta mère, soit tu te la fermes !

- Mais ça fait mal ! Tentai-je de le convaincre.

J'étais prises par de violent sanglots, mon corps tremblait entièrement, comme une vulgaire feuille morte.

Papa - T'avais cas pas être une fille ! J'aurai eu quelqu'un pour reprendre le flambeau !

Je ne comprenais pas ce qu'il venait de me dire. Mais je n'avais pas eu le temps d'assimiler ses paroles qu'une fois de plus, je me fis violer.

- Arrête ! Arrête ! Enlève-toi d'ici je t'en supplie !

Il ne m'écoutait pas, ça faisait très mal.

- Je t'en supplie ! Arrête ! Hurlai-je à plein poumons.

D'un bon, je me réveillai en hurlant à mon père d'arrêter. Ma respiration était saccadée, mes larmes embrouillaient ma vue et des frissons me parcouraient.

Je pleurais encore, je ressentais son toucher sur moi. Pourquoi avais-je rêvé de ça maintenant ? Ça faisait bien depuis mes vingt-deux ans que je n'avais pas rêvé de ça...

Quelqu'un posa sa main sur mon épaule. Sous la surprise, je reculai jusqu'au mur et mis ma main devant moi pour faire reculer la personne.

- Arrête ! Ne me touche pas ! Criai-je.

??? - T/p, c'est juste moi, me dit cette voix.

J'essuyais mes yeux, pour habituer ma vision et vis Baji, assis sur le bord de mon lit. Ma respiration était toujours aussi saccadée et j'étais toujours autant effrayée par mon cauchemar.

Baji - Regarde, c'est juste Baji. Tu sais, celui qui brûlait des voitures quand il avait faim ?

Cette touche d'humour réussît à me ramener à la réalité. J'étais en sécurité ici, dans la villa. Baji était l'ami de Naoki, il ne pouvait rien me faire. Et puis, je le connaissais, si ces intentions étaient mauvaises, je l'aurai su bien avant.

SO SMILING | TOME 2 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant