[Kinktober #7] Katakuri X Female ! Reader : Praising

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Reader est de la même taille que notre mochi-man. C'est juste bizarre sinon. 

Katakuri n'était pas du genre à déborder de confiance en lui. Un détail qui se voulait choquant à cause de la position du personnage. Il incarnait le charisme absolue, tout le monde pouvait le voir. Mais là était le problème. Tu t'étais rendue compte de cela pas aussi rapidement que tu ne l'aurais souhaité étant donné que lorsque tu as commencé à ressentir quelques doutes à l'égard de la façon dont ton cher époux se considérait ce dernier prit automatiquement de la distance avec toi. Il n'était pas aussi doué qu'il le pensait pour le cacher car son long regard dans ton dos quand tu t'éloignais de lui, ses interventions quasiment chevaleresques quand tu menaçais de tomber pour quelconque raison ou juste Brûlée qui venait tout te dire parce qu'elle aime son grand-frère et qu'elle t'apprécie aussi en disaient long sur le tempérament de celui-ci. 

Ainsi, le temps passant, tu avais appris à glisser quelques marques d'appréciations, des encouragements ou juste généralement des éloges afin que Katakuri sente qu'il pouvait être à l'aise avec toi. Ça marchait relativement mal au début, ou du moins tu le pensais ainsi parce qu'il semblait complètement hermétique à tes petites marques d'attentions. Mais avec le temps, il a commencé à prendre un peu plus pour acquis ce sur quoi tu l'avais encouragé. Et il s'améliorait avec le temps. C'est là que tu avais pensé qu'il n'avait pas dû avoir beaucoup de personnes dans sa vie qui aient vraiment considéré toutes les choses, petites mais surtout grandes, qu'il exécutait au quotidien.  Comme si c'était normal. Dans un sens c'est ce que son devoir impliquait mais tu avais un peu de peine à imaginer que malgré tout il n'obtenait jamais vraiment de récompense pour tout ce dont il était à l'origine. 

Un soir, c'est un Katakuri épuisé que tu vis revenir dans la maison que vous partagiez. Tu l'avais attendu et il était déjà tard. Tandis que tu lui réchauffais un plat, tu lui demandas gentiment ce qui l'avait retenu. Il t'avait répondu que Mama s'inquiétait à votre sujet. Cela faisait déjà presque deux ans que vous vous étiez mariés mais il n'y avait toujours pas d'enfant. Tu rougissais en faisant face au four devant toi et le Sweet Commander fut rapide à te faire comprendre par un silence lourd de sens qu'il fallait un jour que vous vous essayiez à avoir un enfant. De plus, il ne s'était pas risqué à utiliser ses frères et sœurs comme exemples vis-à-vis du seul cas sur lequel il n'était pas irréprochable.

Les yeux rubis de Katakuri s'étaient posés sur toi. Ils te donnaient l'impression de te paralyser alors qu'il les gardait seulement dans l'expectative. Il souhaitait une réponse de ta part, que tu lui expliques ce qui te trottait dans la tête. Mais un silence fut la seule solution que tu lui proposas. Ainsi, tu parvins lentement à te faire à l'idée que tu étais bien mariée à quelqu'un et qu'il fallait remplir le devoir conjugal. Cependant, il existait une barrière et non des moindres à laquelle tu n'y pouvais pas grand-chose. Ton époux allait devoir s'approcher de toi, te toucher et se laisser approcher. Tu avais l'impression de devoir entrer dans l'enclos d'une bête sauvage réticente. Mais l'image d'un chat au pelage rose bordeaux comme les cheveux de ton époux avec ses tatouages comme motif, ses yeux rouges qui te jugent acerbement qui siffle de rage à chaque fois qu'il te vois ne fut pas sans t'amuser un petit peu sur le moment. 

C'était ce qui avait mené à ta situation actuelle. Katakuri trainait sa langue sur ta poitrine. Ses grandes mains te caressaient de façon si enflammée que tu avais l'impression de brûler en même temps. Sa précision indiquait qu'il n'était pas un néophyte dans l'art de la chair. Mais il était définitivement nouveau quand il s'agissait de l'interaction que supposait l'acte d'amour. Ses mains t'effleuraient la plupart du temps pour ne pas te faire mal. Il te traitait comme si tu étais faite en porcelaine. Tu ne pouvais pas t'en plaindre mais tu désirais plus et cette restriction que s'imposait ton époux car tu le voyais jusque dans ses yeux et ses traits crispés qu'il voulait te faire l'amour de toutes ses forces et qu'il ne le pouvait pas parque qu'il ne voulait pas te faire de mal et parce que le doute s'insinuait chez celui-ci bien trop facilement. 

- Tout va bien ? te demanda Katakuri une énième fois, un filet de salive reliant ta poitrine nue à ses lèvres qu'il coupa d'un coup de langue. 

Tu étais gémissante, frissonnante de plaisir et ton époux te demandait encore si tu te sentais à l'aise ? Ce dernier te demanda encore une fois, prenant en coupe ton visage tandis que ses lèvres glissaient sous forme de baisers jusqu'à ton sexe et que tu le voyais faire de tes yeux noirs de plaisir. L'anticipation prit le pas sur tout le reste. Du moment que Katakuri avait enlevé sa veste en cuir jusqu'au moment où il s'était pour ainsi dire allongé au-dessus de toi, t'emprisonnant entre ses bras musclés, tu n'avais pas un seul instant cessé de sentir le bouillonnement dévorant qui faisait l'effet de l'étreinte Tu rattrapas son visage et le tint comme il le faisait avec le tien. 

- C'est parfait... soufflas-tu d'un ton plein de gratitude. 

Le compliment fit rougir ton époux. Il essaya de le cacher mais tu ris au travers de ta respiration erratique. 

- Prends-moi. Ne me fais pas attendre quand tu sais exactement ce que tu me fais. 

Katakuri ne se fit pas prier mais il préféra que tu sois au-dessus de lui. Tu glissas tes mains sur la poitrine de celui-ci. Un léger sursaut trahit son anticipation. Tu murmuras une série de compliments à l'attention de ton mari qu'il ne prit pas au sérieux d'abord. Puis tu l'embrassas avant de t'empaler sur lui, lentement. Tu murmuras tous les compliments que ton époux avait besoin d'entendre afin qu'il prenne pleinement conscience d'à quel point il était parfait. Ta voix trainait dans les tympans de celui-ci, ce n'était en soi qu'un souvenir mais il se sentit devenir si dur alors que tu l'étreignais au fond de toi et qu'aucune place au monde n'avait l'air plus agréable. Tes coups de reins étaient assez lents au départ puis tu pris plus d'assurance, gémissant directement dans les oreilles de Katakuri pour qu'il entende en direct ce que tu lui faisais. La chaleur augmenta ostensiblement tu étais si bien ainsi empalée par ce dernier et tu augmentas le rythme jusqu'au moment où on entendait le son de vos peaux qui se frappaient ensemble à peines couvertes par les grognements de ton époux et tes propres gémissements. 

Tu vins bientôt et le plaisir atteignit son paroxysme alors que Katakuri te sentit te serrer autour de son membre. Il te suivit peu après, le sperme coulant sur tes cuisses alors qu'il se sentait embarrassé pour t'avoir ainsi salie. Tu embrassas ton beau mari. 

- Mama a dit que nous devions avoir des enfants, n'est-ce pas ? Alors pourquoi ne pas commencer par là ? 

Les mal-aimés de One Piece (Commandes Suspendues)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant