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    Maëlys

On est arrivé à l'hôtel, il est parti chercher les clés.

Moi, j'étais toujours dépassé par la nouvelle.

sur le chemin qui mène à notre suite, j'ai pas dit un mot.

Enfaite j'ai tellement le seum que je m'en fou de la beauté de cette endroit.

Arrivé devant la porte il a remercié le bagagiste avant de lui donner un pourboire.

Mehdi : c'est quoi le problème.

Moi: 🤐....

Je me suis dirigé vers la salle de bain .

Le comble serait aussi qu'il prenne la même chambre que la dernière fois.

Je me suis mise en pyjama et direct au lit .

Flemme de lui parler.
Il soupirait d'agacement avant de m'obliger à me relever.

Mehdi: on va régler cette histoire une bonne fois pour toute.

Moi: je n'ai rien à te dire.

Mehdi : vraiment.

Moi: ouais PARCE QUE DÉJÀ TU NE ME RESPECTE PAS EN m'AMENANT DANS CET HÔTEL OU TU AS PASSER LA NUIT AVEC UNE DE TES KEHS.

Mehdi : arrête de crier et écoute moi d'abord.

Moi: j'ai pas envie de te parler.

Mehdi : ballec***** tu vas le faire. Premièrement je suis venu avec une meuf c'est vrai. On était censé rester ensemble mais j'ai fini par la téj parce que je pensais trop à toi.

Moi:👀.

Mehdi : Wallah que c'est vrai. Je pensais pouvoir te zappé en couchant avec elle mais au final j'ai pas pu parce que j'avais ta grosse tête d'algerienne dans mon veau-cer.

Moi: c'est vrai.

Mehdi : ouais , pour ce qui est de l'hôtel c'est le meilleur de Casablanca alors je veux kiffer avec ma femme.

Il a trop les mots pour me faire craquer lui.

Mehdi : c'est bon t'es détendue là.

Moi: hum.

Mehdi: t'es une vraie migraine quand tu t'y mets.

Moi: tu es pire que moi.

Mehdi: sauf que moi je ne réagit pas au card de tour comme toi.

Moi: oui tu fais pire.

Mehdi : azy viens dans les bras de tonton.

Moi: non j'ai faim.

Mehdi : dit la meuf qui était prête à se coucher sans manger.

Moi: bah j'avais trop les nerfs.

Mehdi: tu me kiff trop.

Moi: peut-être.

Mehdi : sur.

Moi: certaines.

Je me suis levée, il direct regardé là où vous savez.

Moi: baisse tes yeux.

Mehdi : azy j'ai faim.

Moi: commande à manger.

Mehdi : pas de nourriture mais de ma femme.

Moi: désolé mais je suis en pause.

Mehdi : sur.

à jamais mon alliéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant