Chapitre 2

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Je ressentis une envie de vomir, la bouche sèche, je repris conscience et me retrouve balloté dans une cage attacher à une paroi, une petite fente sur le côté me permis de me situer un minimum. Des plaines et des forêts différentes de tous ce que j'avais jamais vue de ma vie défiler sous mes yeux, la peur et l'incompréhension s'impose à moi, et d'innombrable question suivirent et amplifièrent mes sentiments.

Je ferme les yeux et la voix de mon père me reviens a l'esprit :

-La terre du milieu est peupler par toute sort de créature, bonne et mauvaise, certaine créature, avait-il ponctuer en me montrant un dessin de sa confection, son dangereuse et horrible, les plus horribles d'entre tous sont les orques. Il y a 4 races d'orque, les demi-orque sont les plus dangereux. Mais méfis, toi des Uruk-haï, eux sont sanguinaire et meurtrier. Prend garde à ne pas les sous-estimer, fuis si tu es seul.

J'ouvris les yeux, bien, me dis-je, je dois fuir si je veux vivre. Je tire sur mes chaines qui entrave mes mouvements et essaye de trouver commet m'en débarrasser, la qualité des menotte est médiocre.

Je tire donc un coup sec dessus mais elle se cédé pas. Je rapproche au maximum ma tête une de mes mains pour observer le verrou. Un sourire satisfait se dessine sur mes lèvres, je dois frapper le verrou sur la paroi de la cage mais le bruit risque d'altérés mes asseyant. Je me concentre et décuple mon ouille à chaque bruis assourdissant que feront ces orques je frappe le verrou sur la paroi.

Une fois...

Deux fois...

Trois fois ... et la Quatrième le plus fort possible, le bracelet céda enfin. Je me dépêche de crocheter mon autre bracelet de chaine.

Soulagé je me rapproche de la fente et observe ce qui se passer au tour de moi, d'après ce que je vis il y a 3 semi-orque et une bonne dizaine Uruk-haï. Je déglutis de peur, je ne pourrai jamais fuir avec autant de c'est créature à mes trousses, ils me tueront avant d'avoir fait deux pas.

La peur me déstabilisa, et me stressa, je ne peux même pas respirer pour me calmer, l'odeur était beaucoup trop nauséabonde pour cela, je retiens même ma respiration pour ne pas vomir.

Je devais prendre sur moi et prendre les bonnes décisions, je vais attendre qu'ils s'endorment pour m'enfuir, je dois attendre qu'il fasse jour.

Je continus à observer ce qui se passe dehors, j'appris que tout ce que m'avaient enseigné mon parent était malheureusement très réel. La langue que parler les orques m'appris qu'on se diriger en Mordore, où leur maître les attendais, j'aperçus d'autre cage et j'entendis des respirations à l'intérieur et des chuchotements que je ne distinguer pas à cause les bruits incessants des orques.

Une idée fit son chemin dans ma tête, une idée qui pourrai me couter la vie, mais sur ce points ma vie était déjà compté.

Je m'adosse contre la paroi et économise mes forces, bien étrangement je ne ressens pas de fatigue physique mais plus psychologique, je réfléchisse la situation actuelle seulement actuel, je se cède et commence à paniquer en réalisant la vrais situation dans laquelle je me trouver, je n'aller pas tenir.

J'estime notre duré de trajet a plus de trois heure lorsqu'un ordre fit arrêter m'a cage, ainsi que tout le cortège.

L'aube majestueuse éclairé le ciel d'une teinte rosâtre et orange tel des flammes envoutantes, je me souviens que mon père avait mentionner que les orques n'aimaient pas la lumière du soleil, je tien enfin une ouverture pour m'enfuir.

J'attendis patiemment que les orques s'endorment, puis doucement je commence à crocheter la serrure de ma cage...

Click... un son qui sonne agréablement à mes oreilles.

La Dernière Elfe Blanche (Legolas x oc) Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant