Chapitre 6

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« L'espèce des elfes blanc était réputé pour leur habille maniement des armes.

Il était considéré comme des guerrier, femmes et hommes elfes sens exception. Leurs incroyable adresse et leurs habiletés à manier tous arme quelque sois sa nature. S'il y avait un conflit les elfes blancs était placer en première ligne. Un seul d'entre eux valais 100 combattants.

Mais leur véritable caractéristique était leur pouvoir magique, leur puissance dépasse toute magie connue en terre du milieu.

Leurs magies consistes à briser toute malédiction quelle quel soit... »

J'arrête de lire en clignant des yeux. J'accuse le coup, lorsque j'avais demandé au seigneur Elrond de m'indiquer les ouvrages concernant les elfes qui me ressembler, je ne m'attends pas à cela, ce livre répertories l'histoire et les facultés du peuple elfe auquel j'appartenais.

Ce qui est d'autant plus aberrant était que cette partie de mon identité ne m'avait jamais été enseigné par mes parents.

Très vite je compris une chose essentielle me consternant, je n'étais toujours pas à ma place. Je désespéré est-ce qu'un jour je finirais par trouver un endroit où je ne sentirai chez moi. Du haut de mes 17 ans je ne comprenais pas ce qui m'arriver réellement, je comprenais où je me trouver ainsi que le monde dans le quelque je me trouver mais je ressentais un mal être au fond de mon cœur.

Depuis que j'ai mis les pieds en terre de milieu (outre la population, les races et le paysage radicalement différents de tous ce que j'ai jamais vue) je ressentais une étrange énergie se réveillant en moi. Une sorte de sensation de fluidité autre que mes capacités naturelles d'elfes.

Après en avoir parlé a Elrond celui-ci m'expliqua que mes capacités magiques qui jusque-là était endormie car, n'ayant où puiser sa source sur une planète qui n'était pas la mienne, était en train de se réveiller lentement et puiser sa puissance d'Arda.

Quelque mois plus tard, je rencontrais la fille du seigneur Elrond. Très vite sa bienveillance à mon égare me touchas, elle se donna pour mission de me faire découvrir la douceur des elfes. En effet j'avais (pour arrêter de penser a tous ce qui met arriver) de prendre l'épée et de m'exercer au combat. Bien sûr Glorfindel, se porta volontaire pour croiser le fer avec moi et m'expliquer comment manier d'autre arme que la dague et l'épée.

J'avais plusieurs fois surpris Arwen, nous observer, m'observer. La plupart des elfes de la maison principale de Fondcombe savais ce que j'avais vécu et le pourquoi leur seigneur avait décidé de me conter parmi ces gens les plus proches.

En effet le seigneur de la citer dans sa grande bonté avais accepter de m'accueillie chez lui en contrepartie je devais m'acquitter de quelque obligation lorsque je me serai acclimaté à sa citer. J'appris plus tard que mon père et Elrond était de très bons amis et qu'il avait demandé au seigneur d'Imladris de veiller sur moi comme il veiller sur sa propre fille.

C'est ainsi qu'Arwen eu vent de cela et décida de me prendre sous son aile. La première fois qu'elle m'aborda se fut après une longue séance de lutte physique contre des elfes guerrier de sa maison.

-Caelan.

-Dame Arwen ?

-Accepterai-tu de marcher avec moi je souhaite me rapprocher de toi et faire plus ample connaissance.

Surpris par cette demande j'acceptais et quelque heure plus tard je me retrouver au bord d'une cascade où seul des elfes femme s'amuser en petite tenue, voir même nu.

Surpris je regarde Arwen qui commença à enlever ces vêtements souriants elle me dit :

-Cette endroits est fréquenter seulement par les filles aucun garçons n'y est accepter sous peine de se faire sévèrement battre par les filles guerrières que tu vois un peu partout sur le flan de la cascade et dans les arbres.

La Dernière Elfe Blanche (Legolas x oc) Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant