Chapitre 45

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Harry se réveilla peu après. Lena était en train de le regarder avec un sourire. Harry sourit à son tour, avant de déposer un baiser sur son front puis sur ses lèvres, avant que leurs langues viennent se saluer l'une l'autre. Harry aventura une main sur un sein de la belle, qui lui demanda :

« - Ils t'avaient manqué, je suis sûre.

- Je dois bien l'avouer. Ta poitrine est tellement... je n'ai pas de mot.

- Héhé, il paraît. Sinon, je me trompe ou tu as été un peu différent de d'habitude, non ?

- Comment ça ?

- D'habitude tu te lâches complètement, là j'avais l'impression que tu étais dans la retenue.

- C'est vrai. Avant on n'était pas ensemble, là c'est différent. Et comme tu le sais c'est la première fois que je fais l'amour dans une relation amoureuse.

- Pareil pour moi. Cela dit, je pense qu'il ne faut pas changer nos bonnes habitudes. Même s'il y a des sentiments maintenant, ça ne doit pas nous empêcher de nous exprimer librement. Je ne suis pas devenue une porcelaine à laquelle on n'oserait pas toucher de peur de la briser. Je suis toujours la même. Toujours aussi gourmande ! Alors pour notre bien à tous les deux, je te demande, cher Harry, de me défourailler jusqu'à plus soif !

- Héhé, quel romantisme, mais je le note, ma belle. Ce n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd ! N'empêche, je n'en reviens pas qu'on soit ensemble, maintenant. Pourtant ça partait sur des bases pas vraiment sérieuses entre nous !

- Oui ce n'était pas gagné ! Pour moi je ne sais pas trop quand ça s'est fait. Disons que ça fait quand même un petit moment que je t'envoie des signaux.

Harry pensa alors au journal intime, mais décida de ne pas en parler, il culpabilisait toujours de l'avoir lu. Il demanda :

« - Ah à quoi tu penses ?

- Bon c'est vrai qu'ils étaient discrets. Par exemple, quand tu es venu me parler à Pré-au-Lard, et que j'avais perdu ma grand-mère. Je t'avais dit qu'elle me disait souvent que je devais vivre ce que j'avais à vivre. Tu m'avais dit qu'il n'y avait pas de risque de ce côté-là, et je t'avais répondu d'un oui peu convaincu.

- Ah oui, c'était on ne peut plus clair. Bon j'ai été plus explicite que toi, heureusement (clin d'œil).

- C'est vrai, je me suis fait un peu désirer. Le désir c'est important, et apparemment tu as l'air assez d'accord avec moi », dit-elle en passant sa main sur son entrejambe en feu. Harry embrassa pleinement Lena, avec une fougue quasiment inédite. Celle-ci gémit fort, ce qui encouragea le jeune sorcier, qui plongea sa tête entre les seins de la belle, avant de littéralement les dévorer. Il continua d'embrasser à pleine langue la jolie brune, avant de passer un puis deux doigts dans son antre trempé par l'excitation. Puis Lena prit en bouche la « baguette » de Harry, passa sa langue sur le gland, cajola ses boules avant de prendre l'ensemble en bouche, pour le grand bonheur du jeune sorcier. La tension (et pas seulement) montait de plus en plus !

Harry pénétra donc sa belle tout en l'embrassant de plus en plus sensuellement voire sexuellement ! Ses râles devenaient de plus en plus forts et incompréhensibles. Il sentait la poitrine de la belle se frotter contre son torse, et se rappela un passage du journal intime, où Lena lui « reprochait » de ne pas assez s'occuper de son postérieur. Alors en même temps que ses coups de boutoir, il caressa les fesses de la jolie brune, un contact merveilleusement doux qui fit aussi beaucoup d'effet à Lena, à entendre ses gémissements croissants. « C'est trop bon, bébé ! » hurla Harry au moment fatidique, qui vit jouir Lena de façon diablement expansive. Plusieurs secondes de pure jouissance, au terme desquelles ils se regardèrent, s'embrassèrent, avant que Lena dise « Merci Harry ». Puis ils se firent un petit baiser esquimau avant de se rendormir à nouveau. 

Harry Potter à l'école du plaisirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant