Harry Potter à l'école du plaisir

Chapitre 53

Alors qu'ils étaient dans le lit de Lena, la jolie brune demanda à Harry :

« - Bonjour Monsieur, je cherche une baguette magique.

- Ah de quel type ?

- Il me faudrait une baguette avec laquelle je me sente bien.

- J'en ai bien une en stock, elle pourrait peut-être vous intéresser », répondit Harry, alors que son entrejambe commençait déjà à reprendre de la vigueur. Lena la cajola :

« - Alors, elle est agréable au toucher, en parfaite osmose avec ma main. On dirait qu'elles sont faites l'une pour l'autre ! Voilà une baguette réactive, douce, ferme et expressive, également.

- C'est bien vrai, elle exprime ses émotions, surtout quand elle se sent bien, et d'autant plus quand elle est très, très heureuse, tu as d'ailleurs eu l'occasion de t'en rendre compte, ma belle.

- Oh oui mon bébé.

- Et cette baguette a une autre caractéristique.

- Ah laquelle ?

- Elle est aussi idéale pour les petites mises en bouche.

- En effet. Je vais d'ailleurs vérifier ça de ce pas » répondit Lena avant de prendre en bouche Harry, tout en le regardant dans les yeux. Le jeune sorcier pressa la tête de sa douce en guise de réponse. La jolie brune mit du cœur à l'ouvrage, en poussant ça et là quelques gémissements, puis la « baguette » de Harry finit par exprimer son contentement, pour le bonheur de tous deux. Lena n'en perdit pas une goutte, embrassa Harry puis lui dit : « Tu sais Harry, je tiens vraiment à toi ». Harry sourit, attendit quelques secondes avant de répondre : « Moi aussi ma belle. Je tiens énormément à toi. »

Les deux tourtereaux restèrent au lit toute la matinée, mêlant moments calmes et d'autres plus « dynamiques ». Puis ils se rendirent l'après-midi à Pré-au-Lard, toujours aux Trois-Balais. Ils savourèrent tous deux leur Bièraubeurre. Harry eut une pensée fugace pour la sortie coquine qu'ils avaient eu un bout de temps auparavant. Lena sous la table, c'était quand même quelque chose ! Ils se montrèrent plus sages cette fois, se contentant de longs baisers profonds et sensuels. Le jeune sorcier ne put s'empêcher de caresser les seins de sa douce. Ils étaient si agréables au toucher. Et quel bonheur également de goûter aux lèvres et à la langue de sa dulcinée. Cela faisait une bonne heure qu'ils étaient sur leur petit nuage, quand une voix les interrompit : « C'est donc ici les Trois-Balais ? Depuis le temps que j'en entends parler. »