Harry Potter à l'école du plaisir

Chapitre 66

Harry fit un petit somme pour se remettre de ses premières émotions de la nuit, puis se réveilla au côté de sa belle inconnue, une main sur son sein... Il sourit à la jeune femme, elle aussi réveillée, embrassa et lécha son téton, avant de l'embrasser sensuellement... Quel beau réveil. Il lui demanda : « - Au fait, comment t'appelles-tu ?

- Ah ah, il n'est jamais trop tard pour poser cette question. Anna et toi ?

- Harry. Toujours motivée pour trouver une tierce personne ?

- L'idée me plaît toujours.

- Et tu penses que c'est possible ? Il faut trouver une fille qui nous plaît tous les deux, à qui on plaît, et qui est assez ouverte d'esprit.

« - Avec un peu de chance oui. Sur le fait de trouver une fille qui nous plaît, ça me paraît faisable car on a apparemment les mêmes goûts : si je comprends bien tu aimes les filles pas très grandes et avec des formes, ça me va tout à fait. Sur le fait qu'on doit lui plaire, là encore rien d'insurmontable : tu es plutôt attirant, et j'ai mes arguments aussi. Quant au fait qu'elle doit avoir envie de ce type d'expérience, l'ouverture d'esprit est monnaie courante dans ce pub. Bref, je suis confiante ! » dit-elle en se rhabillant. Harry fit de même, et ils sortirent de la chambre, la main de Harry posée sur les fesses de la jolie brune. Ils prirent une Bièraubeurre tout en cherchant des yeux une candidate convaincante. Ils ne mirent pas longtemps à la trouver. Une belle brune prenait un verre non loin. Elle ressemblait un peu à la partenaire de Harry : elle était légèrement plus petite, avec un visage tout aussi harmonieux et une poitrine encore plus opulente... Harry et Anna convinrent d'un simple regard que la jeune femme était à leur goût. Harry se proposa d'aller lui parler, mais sa partenaire se porta volontaire : elle avait davantage l'habitude de ce type de situation, et le fait qu'une femme vienne lui parler annoncerait au moins partiellement la couleur.

Il vit donc Anna parler à la jolie brune. Les deux jeunes femmes discutèrent un assez long moment. Assez de temps pour Harry pour tergiverser : la belle inconnue sera-t-elle d'accord ? Et si tel était le cas, serait-ce une bonne idée ? Encore une fois, Harry se dit qu'il n'avait jamais fait l'amour avec deux inconnues en même temps. Mais ce léger doute s'estompa très vite : après tout il avait toujours répondu présent jusqu'ici. Et les deux demoiselles lui donneraient de l' « inspiration », il n'avait pas de doute là-dessus. A vrai dire elles l'inspiraient déjà... A un moment, Anna se tourna vers Harry et parla manifestement de lui à son interlocutrice, qui adressa un joli sourire au jeune sorcier, que celui-lui s'empressa de lui rendre. Cela s'annonçait plutôt bien ! Les deux jeunes femmes continuèrent à discuter puis se montrèrent légèrement plus tactiles : elles se touchèrent le bras, se caressèrent la joue et se rapprochèrent naturellement. Puis arriva enfin le coup d'accélération : elles s'embrassèrent, d'abord plutôt chastement puis très vite bien plus sensuellement.

Cela dura de longues minutes, puis Harry décida d'aller les rejoindre, il arriva près d'elles, et ne put s'empêcher de les regarder s'embrasser profondément. Il voyait parfois leurs langues... Tout cela fit un bel effet au jeune sorcier, qui abrégea ce beau baiser en se raclant la gorge pour les avertir de sa présence. Les deux demoiselles terminèrent leur baiser, puis Anna fit les présentations : la belle inconnue s'appelait Emma. Harry lui fit la bise, mais cette dernière lui répondit qu'elle connaissait une autre façon de faire la bise. Le jeune sorcier se dit curieux d'en savoir plus, et Emma l'embrassa à pleine langue une longue minute... Puis il enchaîna par un baiser sensuel avec Anna, avant de se placer entre ses deux partenaires. Il avait ses mains sur leurs hanches, puis les embrassa de nouveau... Ils finirent tous les trois par rejoindre une chambre, et le menu fut tout aussi copieux et jouissif qu'avec Lena et Jenny. Il rendit toute la nuit visite à chacun des orifices des deux demoiselles et dévora leur poitrine opulente. Quelle nuit merveilleuse. Dire qu'il ne connaissait aucune des deux jeunes femmes quelques heures auparavant. Décidément le Bâton-de-Feu était un lieu magique, à sa façon...