Chapitre 3

624 19 0
                                    

Point de vue de Katia

Je le suis sagement sans rien dire, quand on arrive devant une porte il ouvre ensuite il entre dans la pièce je le suis. Il me fait signe que je peux prendre place dans le siège en face du bureau. Je lui demande en jouant avec mes mains :

Moi (d'une voix nerveuse) : Tu voulais me parler ?

Shinjy (le regard sérieux) : Oui, je ne sais pas si tu sais ici tu es loin d'être la reine, et aussi que tu seras certainement l'une des soumises que je garderais pour moi. Et bien-sûr tu n'auras pas vraiment le choix. Ensuite tu auras certainement un entraînement pour devenir une Yakuza.

Moi (en gueulant) : JE TE DEMANDE PARDON IL EST ABSOLUMENT HORS DE QUESTION QUE JE ME SOUMETTE À UN IMBÉCILE COMME TOI.

Shinjy (d'une voix dominante) : Tu as dit quoi ? À ta place je me la fermerais, car étant un otage je ne me comporterais pas de la sorte. Si tu ne veux pas déjà que je commence à te dresser comme une bonne chienne.

Je me lève, sors du bureau sans son autorisation et me dirige vers la porte d'entrée l'ouvre et je cours de toute mes forces pour m'échapper le plus rapidement sauf que j'entends une fenêtre exploser derrière moi, je me tourne et vois Shinjy sauter par celle-ci ensuite il me court après. J'accélère tant bien que mal, sauf que je sens comme une personne qui me surplombe de toute sa hauteur, j'augmente encore mon rythme de course. Il tente de me prendre de bras sauf que je fais un grand-écart afin de l'éviter et de le faire tomber ce qui fonctionne à moitié. Il ne m'a pas attrapé, sauf qu'il n'est pas tombé. Il se tourne vers moi le regard noir tel le charbon, je remarque tous de suite que là je viens vraiment de bien l'énerver. Je fais une feinte, pus passe derrière lui il tente de m'attraper mais il loupe encore.

Point de vue de Shinjy

Cette gosse me sort de mes gonds, je sors une arme. Pas avec des balles à blanc, mais une vraie. Je vise une de ses jambes et tire, je la vois s'effondrer mais se relève rapidement, je m'approche d'elle discrètement lui fait une balayette. Ensuite je pose mon autre pied sur la blessure et appuie fermement, elle hurle de douleur je lui dis avec un air sombre :

Moi : Alors tu fais toujours la maligne maintenant ?

Katia (versant des larmes de douleur) : Arrête s...S'il te plaît !! J'ai compris, je ne recommencerais plus, je te le jure.

Moi (d'une voix sombre) : Crois-moi, tu auras compris la leçon quand je t'aurais retirée la balle sans anesthésie.

Katia : J.....Je t'en supplie je ne recommencerais plus, j'accepte de devenir votre soumise et d'être une Yakuza mais....

Moi (en retirant mon pied) : Tu sais, un yakuza supporte la douleur et n'a pas peur à ce qu'on lui retire une balle sans anesthésie. Une chose, je te la retirerais sans anesthésie et tu vas parfaitement le supporter.

Elle ne répond plus rien, je lui dis calmement :

Moi : lève-toi on rentre.

Katia : Je vais essayer.

Moi (en rigolant) : Il n'y a pas d'essayer tu vas le faire.

Je lui tends ma main elle la saisie, et se lève. On marche depuis quelques minutes, je remarque que la plaie saigne un peu trop à mon goût sans prévenir je la prends dans mes bras, et commence à courir pour rentrer rapidement à la villa. Une fois de retour à la villa, je vais dans ma chambre la pose sur une chaise en bois, puis je vais dans la salle de bain adjacente chercher de quoi retirer sa balle ainsi qu'une serviette pour ne pas qu'elle ne tâche mon lit. Je retourne dans ma chambre, je pose mes ustensiles. Ensuite je mets ma serviette sur mon lit, puis je prends Katia dans mes bras, et la pose sur le tissu. Je lui dis calmement :

Moi (d'une voix sure) : Katia, écoute-moi bien. Dans un premier temps je vais retirer ton pantalon. Ensuite je vais désinfecter la plaie, puis je vais prendre la pince et te la retirer. Je te ferais deux points de suture. Et aussi tu n'as pas à avoir peur de crier ma chambre est insonoriser ainsi que la totalité de la villa.

Katia : Pourquoi faut toujours que toutes les merdes du monde me tombent dessus ?

Moi (souriant) : Je ne sais pas mais assez parler, faut que je m'occupe de ta jambe.

J'arrête de parler, je lui retire son pantalon. Elle couine légèrement, mais ne crie pas pour autant. Ensuite je prends le coton ou j'ai mis du désinfectant, commence à désinfecter elle se contracte sous la douleur, et commence a poussé des petits cris de douleur. Je lui dis :

Moi (d'une voix peinée) : La partie la plus douloureuse va commencer.

Katia (les larmes qui coulent sur son visage) : Termine s'il te plaît.

Je sèche ses larmes prends la pince écarte la plaie et essaie de voir si elle n'est pas entrée trop profondément. Ça va mais c'est tout de même délicat, j'introduis la pince elle hurle à plein poumon, c'est dans de tel situation que je suis heureux d'avoir insonorisé la villa. Ensuite je récupère la balle, je ressors la pince. Les larmes coulent telles les chutes du Niagara, je prends l'aiguille et le fil puis je lui fais les deux points de sutures. Une fois fini je mets une crème qui va aider à la cicatrisation ensuite je lui mets un pansement. Je lui prends le bras et lui dis :

Moi : Vu que tu es maintenant ma soumise, je dois prendre soin de toi. Maintenant calme-toi, c'est fini.

Katia (tremblante) : Oui.

Moi : Oui qui ?

Katia : Oui maître. 

Kidnappée par un yakuzaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant