Chapitre 1

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Point de vue de Katia

DRINGG DRINGG, putain de réveille de merde ! Je le prends et le jette contre le mur. Je me lève difficilement, prends mes vêtements et me dirige vers la salle de bain. Une fois dans celle-ci je prends ma douche, ensuite dès que je sors de la cabine, je saisie la serviette et me sèche puis je m'habille. Une fois que j'ai terminé de m'habiller je me maquille légèrement c'est-à-dire un peu de fond de teint, du blush, un peu de mascara et un rouge à lèvre bois de rose. Une fois prête je descends rejoindre mon père, qui lui boit son café. Je lui dis:

Moi (d'une voix encore endormie) : Bonjour papa, bien dormis ?

Piter (en posant sa tasse sur la table) : Bonjour, oui j'ai bien dormie. Prends ton petit déjeuner.

Moi (en prenant une des tartines de Nutella) : Ok, on part dans combien de temps ?

Piter (souriant) : Dans 15 minutes. Alors à ta place je mangerais et plus vite que ça jeune fille.

Moi (la bouche pleine) : Oui papa.

Je mange tous ce qui est posé sur la planche à découper, ensuite je monte et retourne dans la salle de bain et me brosse les dents. Après avoir fini de me brosser les dents je descends, je prends mon sac, mon téléphone et en route pour le lycée.

Ellipse du trajet

On est enfin arrivé au lycée, je sors de la voiture et remarque qu'il y a deux grosses voitures. Il y a un Hummer noir et une Porsche Cayenne turbo. Je vois mon père sortir rapidement de la voiture et se met devant moi. Je lui dis en le regardant d'un air inquiet :

Moi (d'une voix pas rassurée) : Papa, normalement on est toujours les premiers ici et ses deux voitures ne me dise rien qui vaille on ne peut pas rentrer à la maison ?

Piter (le regard haineux) Tu te la fermes et tu ne bouges pas d'ici.

Point de vue de Shinjy

Je suis maintenant devant cette putain d'école depuis au moins une bonne heure, je vois que son père n'est pas vraiment enchanté de ma venue. Je sors de la Porsche, et m'approche de Piter. Je fais signe aux autres de sortir des deux voitures. Car oui je ne suis pas venue seul. Je dis à Piter avec un regard persan :

Moi (d'une voix ferme) : Bonjour Piter, comment vas-tu ?

Piter (d'une voix rageuse) : Bonjour, tout allais bien juste avant que je te vois.

Moi (avec un sourire narquois) : On va parler de sujet qui fâche un peu. Tu as mon argent ? Si tu ne l'as pas tu ne risques pas d'apprécié la suite des évènements.

Piter (les yeux exorbité) : Comment ça ton argent je ne vois pas du tout de quoi tu parles.

Moi (d'une voix sans pitié) : Piter, Piter, Piter, tu n'as rien compris. Les gars prenez la fille.

Piter (à genou) : Je t'en supplie laisse ma fille en dehors de tout ça elle n'a rien à voir la dedans. Je te donne l'argent dans les....

Katia (En gueulant) : MAINTENANT ÇA SUFFIS TOUS LES DEUX, PAPA TU VAS M'EXPLIQUER CETTE HISTOIRE D'ARGENT ET VOUS VOUS PRESENTEZ. PUTAIN CASSER LES COUILLES DÈS LE MATINS MAIS CE N'EST PAS POSSIBLE !!

Moi (estomaquer) : À oui, j'avais oublié que ton père ne t'as strictement rien dis. Je m'appelle Park Shinjy, et je suis le chef de la mafia japonaise, ton père me dois plus de 950 000$ chez vous. Et en monnaie japonaise ça donne 103123450 ¥. Et ce n'est pas une somme négligeable. Donc si ton père n'a pas l'argent tu pars au Japon avec moi et mes hommes.

Katia : MAIS VOUS AVEZ FUMEZ LA MOQUETTE DE LA CABINE D'AVION OU COMMENT ÇA SE PASSE ? ET PAPA TU AS ACCUMULER CETTE DETTE EN COMBIEN DE MOIS ? DONC NON JE NE PARTIRAIS PAS AU JAPON AVEC VOUS POUR FAIRE COURT. CE N'EST PAS QUE J'AI DES CHOSE À FAIRE MAIS J'AI DES CHOSES À FAIRE. MOI JE VOUS LAISSE.

Moi(en poussant son père) : Tu as un de ses culots de me parler sur ce ton. Mais si toi tu ne viens pas de gré ce sera de force c'est simple.

Cette fille m'étonne de plus en plus même son père n'ose lui répondre. Je dis au père :

Moi (d'une voix de Yakuza) : Tu as l'argent ou pas ? Je n'ai pas midi à quatorze heures moi.

Piter (les yeux baissés) : Non je n'ai pas la somme. Je suis désolé Katia, tu pars avec lui.

Je suis toujours en face de Katia qui elle n'est pas de cette avis et arrive à trouver une petite faille, et s'enfuie, sauf qu'avec ma taille 1m98 je la rattrape très rapidement et sors une seringue de tranquillisant. Mais je la vois qui palis à vue d'œil. Je lui dis en rangeant la seringue :

Moi : Aller viens, je ne veux pas en arrivé là. Dès que je me suis approcher tu es devenue blanche pire qu'une feuille, je suppose que tu as une phobie des aiguilles.

Katia : Non je ne viendrais pas, et de quoi je me mêle au juste connard !

Elle se prend pour qui à me parler comme si j'étais son chien, je sors la seringue ensuite je prends Katia dans mes bras puis je retire le capuchon qui protège l'aiguille et lui pique violemment le cou. Elle n'a même pas le temps de crié qu'elle se laisse bercer dans les bras de Morphée. Je lui dis :

Moi : Je ne suis pas ton chien retiens bien ses mots.

Puis je retourne à la voiture avec Katia dans les bras, j'entre dans celle-ci et nous partons en direction de l'aéroport. 

Kidnappée par un yakuzaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant