4. Faux bails

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Il est maintenant quatre heure du matin et j'ai finis ma soirée de travail, il étais temps. Je rentre dans les vestiaires pour me changer, afin de mettre une tenue correcte.

Après m'être rendu compte qu'on me fixais, il n'a pas arrêté, je dirais même que le faite que je l'es remarqué est envenimer la chose, on aurais dit qu'il étais heureux que je remarque qu'il me fixais. A chaque fois que je montais, je sentais sont regard sur moi, à chaque fois que je me frayais un chemin parmi les gens il me regardais. Il ne m'a pas quitter des yeux une seul fois, sauf l'heure de ma pose.

La soirée à été longue, j'en est mal au pied d'avoir autant marcher. Malgré tout je rentre à pied chez moi le pas pressé face au faite qu'il fais sombre. Les rues sont éclairées mais pas totalement il y a cette part d'ombre sur le trottoir. Je veux rentrer au plus vite en évitant de me faire kidnapper pour des trafics d'humains, se serais con de ma part, a peine un jours après être parti de l'enfer me retrouver en enfer. Ce serais vraiment con.

Tandis que je continue de presser le pas, je repense au travail, c'est quand même bizarre, il y avais tellement de monde, ce n'est pas un bar c'est une boîte, à l'intérieur d'un bar. Jamais j'aurais crue que se bar restaurant cache une grosse boîte, mais beaucoup de monde à l'air d'être au courant car il y avais beaucoup de monde, et certain avais même l'air d'être des habitués.

J'empoigne la poignée de la porte puis je rentre, avec l'envie de prendre une grosse douche bien chaude. Je vais prendre des sous-vêtements propre et entre dans la salle de bain.

L'eau chaude dégouline de ma peau tandis que j'écoute du Chase Atlantique, c'est vraiment ce dont j'avais besoin. Une bonne douche avant d'aller me coucher. Je m'assoie dans la baignoire la pomme de douche est toujours accrochée en haut, et l'eau ce rue sur moi, c'est comme si j'étais sous une pluie chaude, très chaude.

Après un instant passer à profiter de la sensation je me lève, coupe l'eau puis je m'essuie, j'enfile mes sous-vêtements en dentelle noir tout en me regardant dans le miroir.

Je pensais que prendre de la belle lingerie me rendrais plus belle, que j'aurais la sensation de me trouver jolie mais toujours en vin. Avec l'eau et le savon, le fond de teint, à présent tout les bleus sont à découvert, mon corps est rempli de bleus ce que je déteste, sur mon corps on y voit les marque de mon passer, on y voit se que j'ai vécu, on voit ce qui m'es arrivée, et je veux que personne ne sache, je veux que ces bleu s'enlève pour me laisser une chance de vivre une autre vie.

Je veux oublier mon passer.

Mais les marque sont toujours là.

Je me retourne pour enfiler mon pyjama mais je ne l'es pas pris, je sort donc de la salle de bain en sous-vêtements mais une fois dans le salon je me fige.

Un homme est là face à moi, choqué je n'arrive même pas à bouger, il me semble qu'il m'a pas encore vue, mais très vite il relève la tête de son téléphone et me regarde. Son expression me dit qu'il est tout aussi choqué que moi. Je cours dans la cuisine pour prendre un grand couteau, heureusement que cette appartement est déjà équipé. Je saisie un grand couteau et le pointe devant moi.

-Qui êtes vous? Dis-je dans un semblant d'assurance alors que je meurs de peur intérieurement.

-Toi qui tu est? j'habite ici. Dit-il calmement sans même avoir peur que je le plante

-Sortez de chez moi ou j'appelle la police. Sortais-je dans un tremblement de voix

Mais d'un coup, une différence de température se fais dans la pièce, comme s'il n'étais plus calme, comme s'il étais énervé, je le regarde dans les yeux difficilement, nous somme à moitié plonger dans le noir, seul la lumière de la lune nous éclaire. Mais malgré tout je sens que sont regard envers moi à changer, je commence à trembler de tout mes membres, tandis que lui gagne en assurance. C'est comme si une aura, son aura avais envahie la pièce, la pièce étais remplie de haine, de la haine pure et profonde.

GiordanoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant