LUCIA
Comme chaque jour je rentre du travail, tard le soir, je fais toujours le maximum pour éviter ma mère, je commence le matin à la boulangerie, et je termine le soir en tant que serveuse dans un bars. Je part à huit heure je rentre à minuit- une heure du matin, je me douche puis je vais me coucher. Voilà mon rituel depuis des années, j'ai commencer par des petits job à seize ans après les cours pour mettre de coter jusqu'à mes dix-huit ans pour partir de se trou, mais ma fabuleuse mère m'a tout volé. Trois ans d'économie parti en vrille, j'ai passer le mois suivant dans la cave pour avoir garder l'argent pour moi.
Mais j'ai maintenant 21 ans, j'ai tout recommencer de mes 18 ans à mes 20 ans, cette fois-ci j'ai mieux cacher mon argent, il le fallait pour mon bien.
Mes petits boulots s'arrêtent dans 2 jours, ce même jour je déménage enfin, je n'est pas le luxe de me prendre une voiture donc je pars en car tard le soir, j'en est peut-être bien pour 5 heures de route voir 6 heures, mais sa me plais, je veux être au plus loin de la, si je m'enfuie c'est pour une bonne raison.
Même si je suis heureuse de partir le faite de plus revoir mon frère et ma sœur me fais mal. Mais ils auront une meilleure vie sans moi, après tout meme si ma mère boit, elle a toujours sue être responsable avec eux, donc je n'est pas à m'inquiéter. Mais le faite de les quitter, de dire au-revoir à cette vie veut dire l'es oublier en quelques sorte.
Oublié juste le temps que sa aille mieux
J'ai quand même tout prévue pour garder contact avec eux, je serais leurs correspondante, une lettre chaque mois, chaque semaine, comme ils veulent et comme je le veux.
Je leurs est donné une excuse du genre « on s'envoie pas de lettre le premier mois car j'aurais pas de boîte au lettre »
Ce qui est totalement faux. La vérité est que j'ai besoin de faire le vide dans ma tête.Oublier juste oublier.
**
Il est tard et c'est la dernière fois que je ferme ce bar, j'en suis pas pour autant triste mon patron comme les clients étais plus que désagréable.
Je me faufile chez moi pour prendre mes sacs et surtout mes économies. Ils sont là et me regarde les larmes au yeux, ces deux petits bout de choux si mignon qu'il mérite tout.
Je m'abaisse à eux et écarte mes bras qu'il rejoignent sans attendre, se suit une séance de bisoutage de câlin, d'adieu. Après cette longue séance de câlin, je m'avance à la porte sans m'attarder sur ma mère.
J'avais tout prévue pour qu'elle ne me retrouve pas, ils savais eux comme moi qu'il ne devais jamais dire mon adresse au parents, juste qu'il s'agit d'une correspondante donner en classe.
Je marche d'un pas presser, pour fuir, fuir le plus vite, mes pas étais si presser qu'on dirais que je cours. Je n'est pas encore se sentiment de liberté, pour l'instant je me contante de fuir au plus vite, de courir, d'être le plus loin possible.
J'arrive devant le car à bout de soufle, et je monte à l'intérieur avec ma boule au ventre qu'on me rattrape.
Que la page que je ferme se réouvre.
J'attend avec impatience que le car démarre, je veut fuir et au plus vite.
Après qu'il est commencer sa route je commence tranquillement à me détendre, j'en profite pour envoyer un message à mon oncle.
Lui est plus au moins le seul qui fais attention a moi, on s'appelle de temps en temps, je dirais une fois par mois, il à toujours été très gentil avec moi, toujours là pour me rassurer. Je me rappelle que plus petite il avais vue comment ma mère me traiter, et au lieu de rein dire comme les autres membres de la famille il m'avais défendue.
Moi..
On m'avais défendu.C'est à se moment que j'ai compris que lui étais pas comme les autres, et que je pourrais compter sur lui. Et c'est vrai, il à toujours été là pour moi au moment où je l'appelais mais malheureusement on ne se voit assez souvent, enfin quand j'étais plus petite, depuis quelques année on se voit moins, il a trop de travail, mais je ne peut pas me plaindre lui au moins il prend soin de moi, il m'appelle prend de mes nouvel et tout se qui va avec.
Et c'est sans peur que je lui dit que j'ai enfin réussi partir de chez ma mère pour avoir mon propre appartement.
Et seulement quelques seconde après il m'appelle, me félicitant, parler avec lui me réjouis, sa me fait du bien.
-Alors comment est ton appartement? Dit-il à travers le téléphone
-Et bien je l'es vue en photo, et j'ai eu une visite en face time, honnêtement il est super grand, il y a une chambre, un salon qui donne vue sur la ville, une belle salle de bain avec de la place, et une cuisine digne de se nom. C'est limite luxueux mais le loyer est vraiment pas cher oh et il y a beaucoup de vitre, le salon concentre une grande vitrine à la place d'un mur et il y a un balcon près de la cuisine, dis-je pleine de joie
-C'est très luxueux, tu est sur de pas te faire avoir? Sa voix eu une tournure plus grave à la description de mon appartement, peut être qu'il a juste peur que se soit une arnaque.
-Et bien on verra se qui m'attend non?
-Tu as bien raison, reste dans cette optique. Bon je dois te laisser Lucia, on se rappelle plus tard, passe une bonne soirée et previen moi quand tu est arrivé.
-Pas de soucis tonton à plus tard, bonne soirée à toi aussi.
Je raccroche aussi tôt, j'aime pas du tout attendre pour raccrocher sa donne un coter gênant.
J'abat ma tête contre la vitre, en regardant les goute d'eau s'élancer contre la vitre, la nuit est sombre, mais la lune est là pour y ajouter un peut de lumière, ce qui me laisse apercevoir la route.
***
-Réveillé vous madame c'est le terminus.
Une voix vien me sortir de mon sommeil, et franchement je ne peut qu'aimer se réveil, « le terminus » j'ai enfin réussi, je suis loin d'eux de ma mère, et de mon père.
J'ouvre les yeux le sourire au lèvre, je remercie le chauffeur et sort du car, j'y suis enfin arriver.
Orlando, me voila.
Je marche plaine de vie dans le centre ville, je prend le temps d'observer le soleil qui se lève, le trajet a duré toute la nuit.
J'ai ce sentiment de liberté enfin, et je compte en profiter. Je me dirige à mon appartement qui est non loin d'où je suis.
Je suis libre.
J'ai eu les clefs dans ma boîte au lettre, du moins celle de ma mère, la propriétaire étant absente à ce jours, m'avais envoyé les clés, mes clés. Je prend l'ascenseur mais sa prend du temps, beaucoup de temps, ou pas, c'est peut être moi qui suit juste impatiente, rectification je suis impatiente.
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Giordano
RomansaElle étais sa mission. Elle venais d'emménager. Victime d'un faux bails, c'était plus facile pour lui de surveiller sa mission, c'était le cauchemar pour elle de l'avoir dans sa vie. Elle avais eu la vie difficile, lui aussi. Malgré leurs différents...