Giordano

5. Colocataire

LUCIA

Je le regarde à travers la vitre, cette homme est intimident, mais malgré tout il me dit étrangement quelqu'un. Sont visage me dit quelque chose. Mais je ne sais pas qui ni quoi, je sais que il étais là dans la boîte à me détailler du regard, mais sous les led rose je n'avais pue bien le voir.

Je reste là comme bloquer, je le regarde un peut en étant dans la lune, après tout il est chez moi, ou chez nous? Ou chez lui? Je ne sais pas. Mais je sais que je ne réalise toujours pas que j'ai été victime de faux bails.

Après un moment à le regarder tout en étant dans mes penser, il sort tout en me regardant, j'y vois dans ses yeux une lueur étrange, comme s'il étais énervé et content en même temps. C'est décider je n'y comprend vraiment rien.

-Qu'est-ce que tu as à me regarder? Sa voix est sèche et me fais peur, il fais deux tête de plus que moi, il pourrais me tuer en seulement quelques secondes s'il le voulais.

-Excuse moi, j'étais dans mes penser. Puis je t'avoue qu'avoir un homme inconnu dans sa maison a quatre heure du matin c'est pas commode. Un rictus se forme au creux de ses lèvre, pourquoi sourie t'il?

-Qui te dit qu'on ne se connais pas? Sa voix est plus sèche, c'est comme s'il cherchais à me séduire. Il dois sûrement souvent user de ses charme avec d'autre filles, mais pas moi.

-Je sais pas pour qui tu adresse se petit sourire en coin de lèvre mais tu as intérêt de l'enlever, je suis pas une de ses femme que tu séduit. Dis-je fortement pour être sûr que sa rentre dans sa tête. Je ne sais pas pour qui il me prend, mais je ne l'aime pas. C'est décidé.

-Je vois que tu as de la répartie, je ne sais pas pour qui tu me prend mais jamais je m'intéresserais à une meuf comme toi.

Même si je ne l'aime pas, ses phrase vienne casser mon égaux, de toute façon c'est lui qui n'est pas assez bien pour moi et non l'inverse. Je suis peut être pas à son goût, mais je serais au goût de d'autre.

-Et bien tant mieux, je n'est pas besoin d'un petit toutou qui me suit partout.

-Tu insinue quoi?

-Un toutou sourd?

-Écoute moi bien, tu ne sais pas qui je suis et tu ne sais pas de quoi je suis capable alors tu ferais mieux de la fermer.

-Je veux que tu dégages de chez moi!

Sérieusement pour qui se prend t'il pour me parler ainsi sous mon propre toit. Je me suis faite avoir comme une débutante en achetant cette appartement, je ne demandais qu'a être seul chez moi tranquillement, sans rien ni personne. Mais faut croire que c'était trop rêvé.

Mais il ne seras jamais pire que ma mère.

-C'est chez moi aussi j'ai payer l'appartement, si t'es pas contente tu dégages chez tes parents. Dit-il en faisant des geste brusques, et par pure réflex mes bras vienne se loger au creux de ma tête.

Merde. Merde. Merde.

Je suis conne.

Stupide.

Comme le disais ma mère.

Je viens de lui montrer deux de mes faiblesses, en seulement quelques minutes. Il a fallut juste quelques minutes pour que je me rabaisse à lui. Ces geste brusque m'on rappeler tant de chose, tant de traumatisme.

J'abaisse ma garde et le regarde dans les yeux. J'y vois de l'interrogation, il ne sais pas pourquoi je me suis abaisser ainsi face à lui.

Je suis énervé. Énervé de m'être fais avoir. Énervé de m'être rabaissé à lui. Énervé de pas vivre seul. Énerver de tout.

Je me dirige vers la chambre que j'avais repéré plus tôt, et je claque la porte derrière moi, tel une ado rebelle.

Je m'assoie sur le lit qui est face à moi. Mes pensées divague à toute allure, je suis énervé, frustré, contente. Tout se mélange.

Prise par la fatigue je décide de me coucher, mais avant sa je me relève une dernière fois pour fermer la porte de ma chambre à clef, un inconnu est chez moi après tout.

J'aimerais pouvoir parler de ma journée à quelqu'un, lui partager mes sentiments, expliquer mes impression mais je n'est pas d'amis, pas de meilleur amis. A mon âge.. toute jeune femme devrais en avoir une non?

Sur ce je ferme les yeux et je m'endort.