6. Nouveau départ

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Je vois à travers les rideaux les rayon du soleil qui s'intègre dans ma chambre.

Je n'ai fais que me réveiller pendant la nuit, à cause de bruits, de ces bruits à lui. Je ne sais pas se qu'il faisait mais il étais tout sauf silencieux. Je voulais me lever à plusieurs reprises pour déverser ma colère contre lui mais ma peur me contrôlais. Et encore se matin elle me contrôle. Je ne le connais pas et du soir au lendemain je dois vivre avec lui.

Je me lève du lit les pas léger, la main tremblante, je déverrouille la porte de chambre en silence aillant peur de ce que je peut trouver derrière la porte. Je m'élance dans le petit couloir, toujours en essayant de faire le moins de bruit possible.

J'arrive près de la cuisine et je le vois au loin en train de dormir sur la canapé, j'aurais préféré qu'il ne soit pas là. Mais comme il l'a dit hier il a tout autant payer que moi.

Je me dirige vers la cuisine pour me faire un café, la machine fais du bruit fou mais je m'en fiche, j'espère que sa le dérangera autant que s'a m'a dérangé cette nuit. Enfin mon café près je m'adosse au comptoir.

Je ne le lâche pas du regard, avec sa carrure il dépasse du canapé, c'est drôle à voir. Pendant que moi je dormais paisiblement dans mon lit, lui étais là sur le canapé près à tomber.

Et au même moment de cette pensée, il tombe. Je recrache à moitié mon café face à sa.

Finalement c'est pas si nul d'avoir un colocataire, si c'est pour le voir tomber.

-Sa te fais rire? Dit-il

-Oui. Dis-je toujours en riant

Il se lève, instantanément je déglutit, son corps, il est parfaitement formé. Il se tien debout face à moi, vêtue seulement d'un jogging gris. Ses pectoraux sont plus grand que mes mains, ses abdo sont si bien formés, ses bras sont gonflés de muscles. Je remarque également sont tatouage dans le cou, c'est un aigle, il grand et imposant. Sur ses bras y est dessiné des ronces, avec seulement une rose qui est au dessus de son épaule.

-Ta finis de me mater comme sa?

-Je ne le faisais pas, dis-je pour me défendre. Il faut que on installe des règles maintenant que nous somme colocataire.

-Des règles? Il me regarde avec un sourire amère

-Oui des règles.

Il se met fasse à moi, seul le plans de travail nous sépare, et on commence à énumérer ce que l'on veut et ce que l'on veut pas. Une fois finis il se redresse et se dirige vers la salle de bains.

Je reste dans la cuisine, les yeux rivé sur mon téléphone. Je suis contente que l'on est pu installé des règles entre nous, je ne veut pas me suis sentir gêner ou coincer alors que je suis chez moi. Quand il ressort je suis encore dans la cuisine et occupe la même place.

-Je m'en vais.

J'hoche la tête en guise de réponse puis il s'en vas.  Je me sens tout de même mieux, je vais fermer la porte à clef puis je vais à la douche.

Il n'a pas l'air si méchant, et je peut dire heureusement, je suis pas sortie de mon enfer pour en retrouver un autre.

J'ai tout l'après-midi libre, vue que je travail du soir.. Je n'en revient toujours pas, je ne pensais pas avoir postuler pour sa. mais il a fallut que je me retrouve dans cette situation, mais bon au moins je ne suis pas stripteaseuse, c'est déjà sa.

Tel est ma devise: Toujours trouver le bien même dans le mal.

Je profite de cette après-midi de libre pour aller me promener dans les rue de ma nouvelle ville. Je prend un tout nouveau départ, et je sais que celui-ci ne seras dépourvue d'épreuves mais je vais survivre, pour l'instant je vie, je me laisse du répits j'en est bien besoins après tous se que j'ai vécue.

Je déambule dans les rue avec mon café chaud puis je pars m'assoir sur un banc, en face d'un petit chemin. Cette ville me parait apaisante et c'est se qui me plait, ici je suis tranquille.

je regarde les gens marcher, des amoureux, des gens presser, et une famille.. La petite fille au milieu tien la main de ses deux parents, ils rigoles ensemble, elle saute en l'air tandis que ses parents la maintienne en l'air. Face à cette scène tout mon malheur me revient en peine face, me rappelant que mes parents avait honte de moi, que je n'étais qu'un fardeau pour eux, que je les dégoutais, je revois le regard de ma mère plein de dégout en me regardant, les grimace qu'elle faisait quand elle devait me toucher, je me rappelle de toutes ses expression faciale, malgré mon jeune âge au moments des faits.

Même quand je suis loin d'eux ils continue de me faire mal, et je pense que ce mal que je ressent restera toujours en moi, bien que j'espérait au file des années ne plus avoir mal, du moins pas autant.

Je ne sais vraiment pas pourquoi ils agissent ainsi avec moi mais pas avec mon frère et ma sœur, j'ai vraiment du mal a comprendre. 

GiordanoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant