Chapitre 3 : Le drame au nouveau collège

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Au bout d'une heure et quart de trajet, Zack se réveilla en sursaut pour je ne sais quelle raison - peut -être un cauchemar ? Mais cela m'étonnait -, à l'instant où il se réveilla, il m'attrapa par le tee-shirt en criant :

C'est toi qui as volé mon gâteau au chocolat ?!

Zack ! C'est moi ! C'est Mike ! Je lui répondis alors ça en hurlant presque, mais si le bus avait été plein, je pensais bien que toute les personnes présentes se seraient tournées brutalement vers nous. Zack me répondit alors :

Ah désolé, mais on m'a piqué un gâteau dans mon rêve et c'est intolérable. Alors nous éclations d'un rire plutôt sonore et joyeux. Je crus même entendre un léger rire qui venait du chauffeur, qui nous avait sûrement entendu.

Environ un quart d'heure plus tard, le car prit la troisième sortie d'un rond-point et se mit à tourner à sa gauche, pour aller sur une route qui menait tout droit au collège. L'allée traversait un champ qui n'était pas cultivé, elle était bordée des deux côtés de platane, ces derniers qui avait une couleur d'un beige qui allait vers du clair. Au bout de cette fameuse allée, se trouvait un parking divisait en deux : une partie où étaient garés une quinzaine ou une vingtaine de car identique au notre. De certain bus sortait des élèves vêtus d'habits de couleur différente, de sorte qu'aucun ne ressemblait à celui d'à côté.

La deuxième zone du parking était destinée aux voitures des personnes qui avaient sûrement été harcelé par leurs parents pour qu'ils acceptaient que leurs parents les amènent. Je remarquai que de ces derniers sortaient déjà de leur voiture pour rejoindre un visible attroupement massif. Mais la plupart restait encore dans les véhicules, même si la neige eut fondu pendant ce week-end, cela n'empêchait pas que la température ne fût pas très chaude.

L'allée traversait le parking et elle menait directement au portail de l'internat. L'on pouvait distinguait ce grand attroupement devant ce portail en fer blanc. Tous les groupes d'élèves qui descendaient des cars se mirent à aller vers cette entrée, cette dernière qui n'était toujours pas ouverte. Ils avaient tous dans leurs mains une valise sauf les quelques-uns qui ne restaient pas pour dormir ici.

Zack et moi commençâmes à ranger nos affaires dans notre sac respectif, même si cela n'aurait posé aucuns soucis que l'autre ait de nos affaires car nous avions fait une sorte de demande pour que l'on puisse partager notre chambre - les chambres étaient à partager en duo ou en trio, et la répartition était un peu aléatoire. Nous faisions bien de commencer le rangement de nos affaires car le conducteur commença à positionner le véhicule sur une place.

Au moment où l'on sortait du bus - qui était à l'arrêt bien sûr -, et que nous avions sorti toutes nos valises, deux hommes vinrent ouvrir enfin les deux portes de l'entrée de métal. Quelque instant plus tard, Zack et moi commencions à aller vers cette entrée qui menait à ce lieu, ce dernier qui nous était jusqu'à lors inconnu. Le portail était bordé d'une clôture qui était elle-même constituée d'un mur avec au-dessus un grillage d'une vingtaine centimètre de hauteur.

Le portail donnait sur... quelque chose qui ne pouvait même pas être décrite aussi bien que si l'on y était. Le collège était divisé en deux parties : un cercle qui était comme le cœur du collège - c'était un dôme en fait - et une partie circulaire qui l'entourait.

Cette partie circulaire était divisée en quart : le quart supérieur au cercle centrale était la cantine, le quart inférieur au cercle était une partie de la cour. Le quart qui était à gauche était une zone avec des chambres pour les élèves, ce quart était lui-même divisé en deux partie au niveau de son milieu : une supérieure qui servait à loger les troisièmes et une inférieure qui servait à loger les quatrièmes. Le quart qui était à droite était aussi une zone d'habitation, il était lui aussi divisé endeux au niveau de son milieu : une partie supérieure qui logeait les sixièmes et une inférieure qui logeait les cinquièmes. Au bout de cinq minutes d'explication, j'étais perdu.

Dans la peau d'une légende, Tome 1 : AlbinosOù les histoires vivent. Découvrez maintenant