AU NOM DE L'AMOUR

Chapitre 30

Jules intérieurement se parlait

Jules : ça aurait pu être Melodia dans cette même situation. Il est vrai que sa mère ne sera plus jamais importante à mes yeux. Mais, puis-je être insensible à la souffrance de cet enfant ? Puis-je ignorer l'acte ignoble qui la hante et qui la transforme sûrement en quelque chose qu'elle n'est pas réellement ?

Julia : je ne sais pas pourquoi je t'ai raconté tout ça

Jules : on fera tomber ce monsieur. Il est un danger ambulant

Julia : m'a mère risque me tuer si elle apprend cela

Jules : non Julia. Je vais te parler comme un père. Tu es une jeune fille qui a de l'avenir devant soit. Tu es la victime et même si dans ta tête c'est dure, ce que tu vécu m, personne ne le mérite. Peu importe l'acte ignoble que tu vis à cause de quelqu'un, jamais, écoute-moi bien jamais tu ne dois fermer ta bouche. Une bouche de fermée cause un acte ignoble en plus. Tu ne devrais pas avoir honte

Julia : oui, mais ce n'est pas évident

Les écrit de WBS : chers parents, frères et sœurs qui lisez ceci, protégez vos enfants. Ils sont nombreux dehors à détruire nos anges et bien souvent, beaucoup n'ont pas le courage de parler. Par peur et par honte. Causons avec nos enfants, petits frères et sœurs pour les protéger. Incitons ces derniers à nous parler et tenons ferme dans la prière ❤

De son côté, Melodia n'arrivait toujours pas à croire que Julia était sûrement sa sœur.

Melodia : maman ...

Zahra : oui ma puce

Melodia : Julia est vraiment ma sœur ?

Zahra : mais non

Melodia : alors, pourquoi sa mère la affirmé ?

Zahra : car elle est un peu dérangée

Melodia : que s'est il passé ?

Zahra : tu es jeune pour comprendre ça

Melodia : arrêtez de me traiter comme un bébé. Je suis assez grande maintenant

Zahra : oui mais cette histoire est complexe

Melodia : si elle est ma sœur que feras-tu ? Elle viendra à la maison ? Elle mangera avec nous ?

Zahra : je ne sais pas

Melodia : tu n'as pas intérêt à faire ça. Sinon, je pars

Zahra : ce n'est pas une façon de parler

Melodia : je dis simplement ce que je pense

Jules et Julia avaient été admis et avaient fait les tests. Après, ils étaient répartis au commissariat. Il était arrivé comme un père et une fille avec Julia qui semblait plutôt bien. Melodia était en colère. Ils étaient venu s'asseoir à côté d'eux. Melodia se leva et partit ailleurs.

Zahra : je peux te parler ? Avait-elle demain de à son mari

Jules : oui

Zahra : alors ?

Jules : on attend

Zahra : toute façon il sera négatif

Jules : oui

Zahra : c'est quoi cette tête

Du bout du couloir, Jules fixa Julia qui s'était confiée à lui il y avait une heure.

Jules : ce n'est pas facile

Zahra : quoi ?

Jules : elle m'a confié quelque chose d'atroce