Chapitre 17 : harcèlement

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Imaginez un peu la tête qu'elle faisait on aurait dit que ses yeux allaient sortir des orbites. Elle eut une envie soudaine de s'arracher les cheveux. Quelle excuse allait elle sortit à Jules qu'il avait attrapé à flagrant délit. Elle était là main dans le sac. Elle critiquait la Secrétaire.

Que pouvait-elle sortir ? Tout se lisait sur son visage. C'était une très belle surprise. Son plan n'avait fonctionné que pour quelques mois

Alma : Jules

Jules : Alma

Il avait senti la déception sur son visage.

Alma : que fais-tu là ?

Jules : je te retourne la question

Alma : ah

Elle se grattait la tête

Alma : moi euh...

Secrétaire : elle vient souvent voir si tout va bien

La secrétaire en avait marre. Elle avait décidé de parler. Elle savait que Jules était un patron à l'aise alors elle pouvait y aller

Secrétaire : c'est bien ça madame la chef

Jules : la chef ?

Alma : elle raconte n'importe quoi

Jules : alors, que fais tu là ? Tu ne vas pas à ton job ?

Alma : si je vais aller au job. Bon je vais vous laisser

Jules : tu ne veux pas un café ?

Pendant qu'elle partait, son mari arriva

Juan : Alma ? Mais, que fais-tu là ?

Jules : ah bizarre j'ai posé la même question

Alma : j'y répondrai une autre fois. La je dois partir

Jules : à la prochaine tu es la bienvenue tu sais

Elle était partie. Son mari était toujours surpris de la voir là et surtout à cette heure là

Jules : bon je vais prendre un café

Juan : je viens avec toi

Ils étaient partis boire dans la salle de déjeuner

Jules : tu es surpris comme moi

Juan : je dois t'avouer que Alma a beaucoup changé. J'ai su tenir bon

Jules : depuis quand ?

Juan : depuis que tu es parti

Jules : c'est bizarre

Juan : plus que bizarre

Jules : sinon ça va maintenant ?

Juan : on gère. Je me suis vite adapté. On n'a plus de soucis depuis. Mais je crois que ça ne va pas tarder

Jules : elle a changé d'humeur quand elle m'a vu

Juan : j'imagine !

Jules : allez mec ça ira. Tu as été la pour moi et s'il t'arrive quelque chose je serais là pour toi

Juan : merci frère

Alma était toujours sous le choc

Alma : ce n'est pas possible. Les choses ne peuvent pas se passer comme ça. Non, non

Elle criait dans les toilette et sa collègue l'avait entendu

Collègue : Alma ?

Alma : il y a quoi ?

AU NOM DE L'AMOUROù les histoires vivent. Découvrez maintenant