En visionnant les preuves, le policier que rendait compte de la nature humaine qui pouvait parfois dégoûter . Chercher à détruire son semblable pourquoi ? Être proche d'une personne mais la poignarder dans le dos. Entre poison et autres différents coups bas, Elena était passée par tous les moyens. C'était une femme sans scrupule. En plus, elle était à la tête même de la mort du père de sa fille. Qu'elle femme pouvait réagir comme ça ? Qu'elle personne censée pouvait oublier et perdre la raison dans le souci de gagner une bataille qu'elle faisait seule ? Combattre des oursons qui n'ont rien à faire de nous et qui veulent juste vivre leur vie comme ils l'entendent.
Policier : je suppose que cette femme est un robot. N'a-t-elle pas donc de cœur ? Qui peut faire ça même à son pire ennemi ? Qui ? Qu'elle honte
Le policier se parlait à lui-même. Il était parti dans la chambre de son collègue qui était d'ailleurs surveillé
Policier : tu ne dors donc pas
Collègue : comment avec tout ça ?
C'était le Collègue complice et infiltré. Le policier chargé d'affaire voulait savoir les raisons de celui-ci
Policier : alors, pourquoi tu as fait ça ?
Collègue : quand, dans ta vie, tu n'as vécu que pour toi et que ton passé sombre te rattrapé, tu n'as qu'une envie. Te rattraper pour avoir une seconde chance
Policier : que veux-tu dire par là ?
Collègue : je suppose que tu as maintenant toutes les preuves
Policier : oui. Et c'est bien en sécurité. C'était bien Elena. Mais, elle n'était pas seule dans toutes ces histoires. Elle est définitivement tombé aujourd'hui
Collègue : j'ai cherché à donner le meilleur de moi-même. Mais comment quand son image est ternie
Policier : qu'est-ce qui t'a poussé à faire cela ? Tu finissais ton service en beauté. Après toutes ces années à servir ta nation
Collègue : je n'ai jamais été la pour elle
Policier : qui ?
Collègue : quand elle était petite je l'ignorait sans cesse. Je n'étais pas un père aimant. C'est la raison pour laquelle sa mère m'avait quitté pour un autre. J'étais un véritable porc car je n'avais d'yeux que pour moi. A son adolescence elle a voulu recoller les morceaux avec moi, elle voulait simplement avoir un père comme tous les autres. Mais, je l'ai foutu à la porte
Policier : tout s'explique
Collègue : l'aider à ne pas être derrière les barreaux était la seule solution pour moi de me rattraper. Je ne l'ai jamais reconnu comme ma fille et c'est pourquoi elle ne porte même pas mon nom. Je voulais profiter de cela
Policier : c'est atroce
Collègue : je sais. Mais, toi qui as une famille, tu aurais fait quoi ? Voir ta fille derrière les barreaux ? Non, non Antonio je ne pouvais pas
Policier : ce qu'elle a fait est atroce. Pire que ce que j'imaginais
Collègue : c'est ma fille. J'ai essayé et j'ai perdu
Policier : j'ai juste envie de finir cette enquête
Collègue : tu as gagné. Tu es un bon policier. Moi j'ai toujours refusé de monter de grade. Mais, ne t'arrête pas à ce poste. Tu vaux bien plus que ça
Policier : merci
Il était sorti de la chambre, en poussant rapidement sa chaise roulante.
Le lendemain, Alma allait bien. La Policière prenait alors son témoignage. La porte était entre-ouverte. Juan lui avait acheté des fleurs car il pouvait enfin la voir. Il était heureux car sa femme était passée à côté du pire. Il remarqua la présence de la police et il décida d'écouter à la porte
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AU NOM DE L'AMOUR
RomanceAu nom de l'amour est un roman qui retrace l'histoire de deux amoureux, elle est autant passionnante que terrifiante. Zahra et son époux ces deux camerounais éperdument amoureux l'un de l'autre vont vivre les histoires fascinantes et périlleuses. I...