Le policier, très professionnel, avait organisé son équipe de la meilleure des manières.
Policier : ce n'est pas possible. On ne va jamais finir ou quoi ?
Il se précipita dans la maison. Il y avait toujours des coups de feu. Il se doutait alors de quelque chose. Qui aurait pu savoir qu'il était là ? Ce jour-là, à cette heure-là ?
Melodia : elle va bien ta mère ?
Julia : oui elle va même très bien. Elle n'a pas l'air de se plaindre
Melodia : elle t'a parlé de ton père ?
Julia : elle ne m'a rien dit de spécial. Sincèrement je ne sais quoi penser d'elle
Melodia : je suis désolée pour toi
Julia : mine de rien, cela m'a libéré. Je pensais qu'elle allait être différente aujourd'hui mais rien n'a changé
Melodia : j'en ai marre de venir ici tout le temps
Alma quant à elle se parlait à elle-même
Alma : je vais te tuer Elena. Te tuer. Cette histoire ne finira pas comme ça. Par ta faute on me considère comme la fautive. J'espère qu'ils réussiront à résoudre cette enquête. Je n'en peux plus d'être ici. A force, je vais devenir folle. Une vraie folle ce n'est pas en prison que je serais finalement mais dans un hôpital psychiatrique
Elle commença à crier.
Alma : on ne peut pas me garder ici. Je suis innocente. Dites-moi que vous m'entendez s'il vous plaît. Je n'ai rien fait
Une policière arriva dans la salle où elle était
Alma : laissez-moi sortir. Je n'ai rien fait. Je ne peux plus rester ici. Je perds la tête. Prenez tout ce que vous voulez mais, je veux sortir
Policière : madame, vous avez tenté de faire une fuite vers un autre pays. Vous refusez cependant de parler pour vous libérer. La seule solution est de dire la vérité
Alma : je ferai tout ce que vous voulez
Policière : si vous êtes innocente vous aurez votre liberté mais, il faut dire la vérité
Elle se rendit dans la salle d'interrogatoire. Alma s'assit. Elle était épuisée. Elle n'en pouvait plus
Policière : je vous écoute
Alma : déjà, vous devez me croire. Je n'ai rien à voir dans toute cette histoire. Mais, j'ai une piste
Policière : c'est à dire ?
Alma : le jour de l'incendie quand j'ai raccroché au téléphone, ce n'était pas parce que je savais quelque chose mais simplement parce que depuis plusieurs années j'étais en mauvais terme avec Zahra et son mari
Policière : oui vous dites la même chose depuis. Mais, ça ne vous arrange pas les choses
Alma : mais c'est là que tout a commencé
Policière : continuez donc
Alma tremblait comme une feuille tellement elle avait peur
Alma : si j'ai raccroché c'est simplement parce que j'avais perdu
Policière : perdu quoi ?
Alma : tout. Quand elle et son mari s'étaient séparés, il avait perdu la tête et l'entreprise revenait à mon mari
Policière : vous me donnez d'autres preuves pour vous accuser
Alma : non. Car, j'étais sa complice
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AU NOM DE L'AMOUR
RomanceAu nom de l'amour est un roman qui retrace l'histoire de deux amoureux, elle est autant passionnante que terrifiante. Zahra et son époux ces deux camerounais éperdument amoureux l'un de l'autre vont vivre les histoires fascinantes et périlleuses. I...