Un nouveau colocataire ?

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Kalvin

9 h du matin, Brooklyn.





- j'espère que c'est une blague ? S'énerva t-elle.

- non Kore. Répliquai-je.

Je tira une latte de ma cigarette et inspira a plein poumon la fumée de cette dernière. La tête levée vers le plafond et la cocaïne que j'avais consommé une heure avant, me donner l'impression qu'il tournait.

Complètement défoncé je suis.

Tout ce que j'avais envie à ce moment là, c'était de manger un énorme steak saignant avec de la sauce à la moutarde.

Mais tout ce qui était à ma disposition, c'était une fille qui ce comportait comme un espèce de chat roux enragé qui me servait de colocataire.

- ils ont vraiment acceptés ? Demanda t-elle.

- effectivement ! Les O'Brian débarquent chez les Swann et récupère ta sœur et en échange pendant trois mois tu fera partie de notre compagnie et tu m'aidera à conquérir Bronx.

- Bronx ???? S'étrangla t-elle.

- oui Bronx le quartier de New York.

Je me redressa avec un peu de mal, et plongea mes yeux dans les siens. La couleur de ses cheveux me rappelèrent quelques traumas et des scènes de culpabilités.

Pourquoi fallait qu'elle soit rousse ?

- Tout ce que je peux te dire, c'est que la porte des Cliker's te sera fermé durant trois mois. Tu retournera dans ta compagnie quand tout sera fini, pour l'instant t'es tout à moi.

Je tourna rapidement la tête dans sa direction me rendant compte de mon erreur. Elle avait écarquillé ses yeux et avait complètement arrêté de bouger.

- je...voulais dire tes a nous...à nous. Tu appartient à la compagnie.

- oui...enfin j'avais compris...C'est avec Gabriel que tu a fait cette accord ?

Pour une raison que je ne comprenais pas, le faite qu'elle prononçait son prénom comme si c'était Beyoncé me donnait envie de tout casser.

Voyant que je n'étais pas décidé à lui répondre, elle ce leva de son lit pour monter sur le mien. Mon corps ce crispa légèrement a un t'elle proximité. Je me décala naturellement sans même m'en rendre compte, elle s'assît en tailleur et me dévisagea de son regard vert pomme.

J'ai beau me voiler la face, elle reste magnifique.

Elle baissa son regard sur mon torse et le fixa d'une manière que je trouva troublante. Sa main vint s'approcher de mon ventre un peu trop près, j'en suivis la trajectoire avec la mâchoire serré.

Elle va pas faire ça ?

Mon respiration s'accéléra et je ferma brusquement les yeux en serrant les dents. Je m'attendais à sentir son contact mais rien ne toucha ma peau.

J'ouvris mes yeux et tomba sur les siens qui étaient larmoyants. L'avoir mise dans un t'elle état me mît très vite mal a l'aise.

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