Je t'aime. Pas comme les adolescentes de manière innocente. Pas comme on aime quelqu'un lorsqu'on est heureux en sa présence.
Je t'aime, comme quelqu'un qui pense toujours à cette personne. Puisqu'on aime de ce sentiment transperçant qui ne nous donne pas toujours cet apaisement. Je t'aime et je m'inquiète constamment. Tu es cette priorité qui finit par me faire m'oublier. Je ne t'en veux pas, je t'ai toujours aimé plus que moi. J'arrête de me focaliser sur mes problèmes pour penser aux tiens ; merci de me faire oublier cette réalité bouffante, ou du moins de la rendre moins importante.
Alors voilà, je t'aime de cet amour dont on souffre. Pas celui qui nous comble, mais celui dans lequel on sombre.
-le 01/12/21
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saudade
Poetryparfois, j'aimerais rester de marbre et ne rien ressentir, ou alors simplement ne pas en souffrir. mais je suis de ces personnes qui ressentent trop, tout le temps, démesurément. voici ce que j'ai ressenti en trois années de lycée.
