TW : autodestruction, automutilation
Je ne voulais pas en finir, seulement me détruire. Pourtant je ne supporte pas la douleur physique, mais celle-ci est mon exception.
C'est lors de ces nuits, à moitié nue,
en ayant un peu bu,
un peu d'herbe dans la cigarette,
le mascara ayant succombé en cascade sous mes yeux,
des joues asséchées ou presque inonder d'une fontaine surchargée,
une main droite sûr d'elle dans ses actes de destruction qu'elle s'apprête à faire. Armée, elle libère une nouvelle fontaine, qui cette fois s'écoule le long de sa peau pâle, rougie de ce contact.
C'est lors de ces nuits, où la douleur provoquée ne fais plus effet, que je me sens réellement libre.
-le 25/01/22
VOUS LISEZ
saudade
Poesíaparfois, j'aimerais rester de marbre et ne rien ressentir, ou alors simplement ne pas en souffrir. mais je suis de ces personnes qui ressentent trop, tout le temps, démesurément. voici ce que j'ai ressenti en trois années de lycée.