Chapitre 9

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Coucou !!
Bonne lecture à vous 💓

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Sans aucun doute, tu t'es presque pissé dessus quand la première chose que tu as vue, en ouvrant les yeux, était un Sanzu souriant.

Il fixait ta forme endormie quand il a soudainement frappé à la fenêtre de ta voiture. Tu as poussé un glapissement de choc, suivi d'un gémissement et d'un "ah, putain !", avant de te redresser et d'ébouriffer tes cheveux par pure frustration.

Levant les yeux de ta position, tu ad vu, sur la fenêtre opposée, Ran. Un sourire en coin se dessine sur ses lèvres et il te fait un signe de la main presque moqueur.

Je suppose que tu as été trouvé après tout. "Bon sang...", tu marmonnes pour toi-même, la fatigue étant encore très visible sur ton visage alors que tu luttes pour garder les yeux ouverts. Tu as remarqué que c'était juste l'aube et que le soleil commençait à peine à se lever. Tu te maudis en voulant faire une sieste rapide d'une heure avant de continuer à rouler plus loin, quelque part. Évidemment, tu as dû oublier de mettre une alarme. Abruti...

Tu as entendu Sanzu derrière toi, frapper à la fenêtre de ta voiture une fois de plus. Déplaçant ton corps, tu t'es retourné vers lui, lui faisant face avec un froncement de sourcils.

Il a pointé son doigt vers ta porte de voiture verrouillée, te disant en gros de la "déverrouiller", ce qui t'as presque fait rire. Mais tu n'as fait que le regarder pendant une fraction de seconde avant de ramper jusqu'à l'avant de ta voiture et de t'asseoir sur le siège avant.

Réalisant maintenant, que ta voiture était entourée d'une bande d'hommes. Des subalternes, penses-tu, car tu n'as pas vu la plupart d'entre eux. "Super...", tu marmonnes, plutôt agacé, pour toi-même. Tu te sens coincé maintenant.

"Elle a une belle voiture", commente sans réfléchir Rindou, qui est actuellement appuyé contre un arbre.

"Angel, angel, angel", chantait Sanzu, qui se tenait devant la porte de ta voiture, "Ouvre la porte", il roucoulait. "Si tu la déverrouilles maintenant, la punition ne sera pas si sévère, promis !", il a souri.

J'essaie de rester calme et de penser rationnellement... oublie ça. De qui te moques-tu ? Tu n'étais pas du tout un penseur rationnel. Du moins dans des situations stressantes comme celle-ci. Parce qu'au moment où cette pensée spécifique a traversé ton esprit, tu as su que ta sentence de mort était écrite dans la pierre.

Bien que pour une raison quelconque, appelez ça de la folie ou juste le frisson d'être suivi par des hommes dangereux... *tousses* beau, *tousses*... tu ne sais pas vraiment. La situation de vie ou de mort à laquelle tu étais confronté te donnait une poussée d'adrénaline que tu n'avais pas ressentie depuis des années.

Cela t'effrayais légèrement, tu voulais pousser les boutons de ces hommes qui t'entouraient. Tu veux voir jusqu'où tu peux aller avant de te retrouver dans une mare de ton propre sang.

En te maudissant, tu as littéralement remis en question ta propre santé mentale à ce moment précis. Qu'est-ce qui ne va pas chez toi ? T'étais-tu vraiment ennuyé à ce point dans ta vie que cette merde te donnait vraiment l'euphorie que tu n'avais pas ressentie depuis longtemps ? Le sentiment nostalgique d'avoir des ennuis et de s'attirer des ennuis. Était-ce le besoin, l'envie et le souhait que quelque chose d'absolument fou se produise dans ta vie pour satisfaire tes envies d'aventure et de pure folie.

Tokyo revengers || CRAVING- traduction francaise Où les histoires vivent. Découvrez maintenant