Chapitre 7

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Coucou j'espère que vous allez bien? quoi de neuf dans vos vies les amiis!

Bonne lecture à vous ✌︎♡

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"Alors c'est là qu'elle vit, hein ?", dit Koko, Sanzu à côté de lui souriant d'une oreille à l'autre.

Après les révélations d'hier sur ta connaissance du japonais, les hommes ont cessé d'écouter ce que le subordonné avait encore à dire sur toi.

Ils n'étaient plus du tout intéressés, car ils se sont dit qu'ils allaient passer plus de temps qu'il n'en faut avec toi à partir de maintenant.

Même Kakucho n'était plus là pour te "protéger".

Ni de Sanzu, ni de personne d'autre d'ailleurs, car tu savais exactement depuis le premier jour, de quoi ils parlaient tout le temps.

Tu savais que Sanzu te cherchait parce que tu les avez entendus. Tu savais que Sanzu était prêt à tirer sur ta patronne. Tu savais... qu'ils étaient là pour les affaires. Comme tu avais entendu chaque chose dont ils avaient parlé.

C'était fini pour toi.

Ils devaient soit te tuer maintenant, soit te kidnapper jusqu'à ce qu'ils soient satisfaits de t'utiliser et ensuite te tuer. Comme Sanzu voulait encore jouer avec toi un peu avant de te tuer, ils ont tous accepté de te prendre en otage pour le moment.

Toi, de ton côté, étais actuellement allongé sur le sol. Oui, sur le sol.

Avec l'un des tapis les plus doux que l'on puisse imaginer, tu te retrouves généralement à te rouler sur ton tapis à côté de ton chat, qui dort généralement.

T'es pensées dérivent, pensant à ta prochaine peinture sur toile.

L'art était l'une des rares choses que tu gardais toujours près de ton cœur, car ta mère adorait toutes les peintures et les œuvres d'art que tu créais, les gardant toujours et les accrochant dans ta maison pour les montrer à tous ceux qui venaient te rendre visite.

Pour lui rendre hommage, tu as continué à dessiner, créant des œuvres d'art à partir de choses qu'elle aimait ou qui attiraient ton attention.

La sonnette de la porte a sonné. Tu ouvres légèrement la bouche, fronçant les sourcils en signe de confusion, car tu ne sais pas qui cela peut être.

Tu n'as rien commandé, pour une fois. De plus, ton amie ne t'a pas vraiment envoyé de texto, rien sur sa venue ou quelque chose de ce genre. Elle n'a jamais été du genre à venir spontanément car elle savait à quel point tu tenais à ton sommeil et si jamais elle venait sans prévenir, pendant que tu dormais, que Dieu lui vienne en aide.

Alors tu as fait le choix le plus simple qui soit, tu as ignoré la porte.

En soupirant, tu t'es mise sur le côté, face à ton chat. Posant une main sur lui, comme pour le câliner légèrement, tu as fermé les yeux en essayant de te laisser aller au pays des rêves.

"La serrure était absolument facile à crocheter", sourit Sanzu tandis que Kakucho et Koko commençaient à regarder autour de l'appartement avec des pas silencieux.

Akashi s'est assis sur ton canapé à côté de Rindou, sortant une cigarette de ses poches.

Ran était déjà dans le couloir, debout devant la seule porte fermée de tout l'appartement. Il l'a lentement ouverte et a jeté un coup d'oeil à l'intérieur, voyant ta forme recroquevillée sur le sol à côté de ton chat.

Un sourire en coin est apparu sur son visage.

Regardant en arrière dans le couloir, vu que tout le monde explorait toutes les autres parties de ton appartement, il est entré silencieusement dans ta chambre, fermant la porte derrière lui soigneusement pour que les autres n'entendent pas. Se pavanant à pas feutrés vers ta forme, il s'est accroupi vers toi.

Tokyo revengers || CRAVING- traduction francaise Où les histoires vivent. Découvrez maintenant