One shot {drarry} {wolfstar}

Wolfstar {with jegulus}

  Halloween 1981, la fête battait son plein. Les maisons décorées pour l'occasion, les enfants moldus tapaient aux portes pour réclamer des friandises. Bref, une bonne ambiance régnait dans chaque foyers.
  Enfin presque tous...
  Dans un petit village nommé Godric's Hollow, vivait dans une maison, une famille plus que l'ombre d'elle même...
  James et Regulus Potter-Black venais d'être assassiner par le plus grand mage noir du monde sorcier.
  Cette nouvelle avait commencé à faire le tour du monde sorcier, ce qui poussa le directeur de l'école Poudlard, Albus Dumbledore ainsi que le garde chasse, Rubeus Hagrid et des Aurors et autres personnes du Ministère de la Magie à faire le déplacement.
  Mais seul Dumbledore et Hagrid se rendirent chez les Potter. Les Aurors, eux se sont lancés dans la chasse à l'homme.
  Avant de rentrer, le professeur Dumbledore s'arrêta et leva la tête vers le ciel gris à cause de la fumée émis par la maison.

« je ferai mieux les prévenir »

  Murmura-t-il dans sa barbe.
Et quelques secondes plus tard il transplanta au 12 square Grimmaur, laissant seul le garde chasse.

  Loin de cette agitation, dans un quartier triste et froid en cet hiver, vivait deux époux aimant l'un envers l'autre. Assis tout les deux dans le salon, à discuter sur leur projet de vie, suite à leur récent mariage, autour d'un chocolat chaud. Les bruits de porte qui résonné un étage plus bas, les fît sortir de leur sérieuse conversation.
— Je vais ouvrir
  L'homme se leva et descendit ouvrir la porte. Et il fut stupéfait de voir son ancien professeur :
— Remus nous devons parler, déclara-t-il nerveux de devoir annoncer la nouvelle au couple.
— Entrez professeur, dit le loup-garou. Sirius est dans le salon au premier étage, poursuivi-t-il en pointent du doigt l'étage qu'il venait de quitter.
  Sans un mot de plus, les deux hommes montèrent les escaliers jusqu'à arriver au salon.
- Professeur Dumbledore ? lâcha Sirius en le voyant entrer dans le salon. Mais que faites-vous là ?
— Je viens malheureusement vous apporter de terribles nouvelles.. répliqua le directeur de Poudlard
  Les deux amants s'échangèrent un regard inquiet puis l'ancien Black se leva du canapé et posa sa tasse sur la table basse près de lui.
— Comment ça... de terribles nouvelles..? demanda-t-il inquiet
— Je préfères que vous voyez ça.. termina le directeur en tendent son bras.
  Cela dit les jeunes mariés ne comprenaient pas de quoi il pouvait s'agir alors Remus attrapa la main de Sirius et le ramena contre lui, tachant à bien le tenir pas les hanches —se qui fit rougir Sirius— et fini par attraper le bras de son ancien professeur. Et il transplantèrent.

  Le choque.
C'était ce que Remus et Sirius ont ressenti à la vue la maison de leur meilleur ami détruite. Ils retenaient leurs larmes.
Après tout cela devait arriver ?
Mais ils ne pouvaient pas rester de marbre face à cela. Malgré ça, Remus arrivait à mieux contrôlé ses émotions. Mais pour Sirius, c'est une toute autre histoire... Il n'arrivait pas à réaliser ce qu'il voyait. Cela ne pouvait pas être la réalité. Mais une partie de lui admettait que cela soit real. L'animagus mit beaucoup de temps avant de réaliser la gravité des choses.
— non...non...c'est pas possible..Remus dit moi que c'est pas vrai...
  Sa voix tremblait comme jamais. L'ancien Black avait dû mal à formuler une phrase correct. Ses beaux yeux bleu nuit cherchaient du réconfort au prêt de Remus.
—...je suis désolé padfoot...
  Sirius cherchait à quitter cette fausse réalité mais le regard que son époux lui renvoyait confirmait une réalité douloureuse pour lui.
  Des perles d'eau apparurent au coins de ses yeux bleu nuit.
— Merlin...tout sauf eux...tout...sauf lui
  Sirius ne pouvais pas rester à l'extérieur. Et c'est pris de folie — d'après Dumbledore — qu'il se mit à courir vers la porte d'entrée, suivie de près par Remus lui criant de se calmer.
  Mais comment se calmer alors que son monde venait de s'écrouler ? Il venait de perdre son frère de cœur et son propre petit frère, tout ça à cause de Pettigrow. Ce traité de gardien du secret. C'était lui qui avait tout raconté à ce sorcier adepte de magie noir.
  Sirius l'insultait de tous les nom, par toutes les insultes et dans toutes les langues qu'il connaissait.
  Il entra dans la maison et chercha une pièce précisément : la chambre d'Harry. Il gravit les escaliers et se dirigea vers la chambre de l'enfant. Il la reconnu sans trop de difficulté car la porte n'était plus que poussière..
  Il pénétra dans la pièce où demeurait le cadavre tiède du plus jeune des frères Black. Il s'agenouille devant lui :
— Je..je suis désolé...pour tout ça...Remus et moi allons le garder en sécurité Reggie... je vous le promets... murmura-t-il en caressent la joue de son petit frère.
Il se releva et s'avança pour prendre le nourrisson dans ses bras. Sirius posa ses mains sur le berceau. Plus il l'observait, plus Harry lui faisait penser à Regulus lorsqu'il était encore enfant.
Bébé Harry avait la particularité de ne pleurer que rarement comme son père Regulus... À en croire la vilaine cicatrice sur son front, lord Voldemort n'avait pas « totalement » réussi son sort.
Toujours dans ses bras, Harry, Sirius redescendit afin de retrouver son conjoint qu'il avait laissé seul avec leur vieil professeur.
— Qu'allez-vous faire d'Harry ? demanda Remus en voyant son mari revenir avec l'enfant de ses meilleurs amis dans les bras.
— Nous allons probablement l'amenez dans un orphelinat moldus, il n'a plus de famille en ce bas monde, répliqua Dumbledore
— Quoi ? Je fais partie de sa famille ! Et jamais ! Je ne le laisserais à des moldus sans cœur ! cria Sirius. Harry viendra avec nous ! Je l'ai promis à James !
  Les deux dernières phrase étaient dites dans un mélange de tristesse et de colère.
Comment Dumbledore pouvais avoir en tête de laisser Harry dans une famille moldu ? Et sans cœur !
Remus voyant l'états de son conjoint, il récupéra l'enfant en le placent sur sa hanche et pris dans ses bras son mari, qui éclata en larme presque immédiatement. Sirius laissa tomber sa tête sur le torse de son conjoint, ses mains serrant l'extrémités du sweat-shirt de moony.   
  Remus, lui resta silencieux afin de laisser son mari extérioriser ses émotions superflues. Sa main libre, frottait le dos de Sirius avec des mouvement circulaire. Remus déposait quelquefois des doux baisser sur sa tempe. Et se permit de chuchoter des phares réconfortantes :

« Je suis là Sirius » « ce n'est pas de ta faute » « James et Regulus n'aurait pas voulu te voir pleurer comme ça » « ça va aller Padfoot »

Ce n'ai qu'après un quart d'heure, que Sirius se calma et s'excusa d'avoir agit comme un enfant.
— C'est normal Padfoot. La tristesse est une émotion à ne pas garder en soi, déclara Remus en ébouriffant les cheveux de Sirius de sa main libre.
Se geste avait toujours eu pour effet de l' apaiser, mais aujourd'hui c'était différent. Sirius n'avait plus le courage d'être présent dans la maison de son « beau frère », il demanda à Remus :
— On...On peut rentrer ? marmonna-t-il d'une voix presque inaudible.
  Le concerner retourna sa tête afin de poser son regard dans celui de son mari.
— Je vais récupérer quelques affaires pour Harry après nous pourrons rentrer. Promis.
Sirius reprit bébé Harry des bras de Remus et se dirigea vers le salon plus ou moins dans son état d'origine.
Tandis que Sirius se laissa tomber dans le canapé. Remus, lui, se dirigea vers la chambre de l'enfant pour lui prendre quelques affaires.
Car malgré le fait que James et Regulus venait souvent passer le week-end dans la maison familiale accompagné d'Harry, il n'y avait presque aucune affaire pour enfants dans la maison des jeunes mariés.
Une fois la petite malle remplie, Remus redescendit les marches afin de rejoindre bébé Harry et Sirius. Il fut plus qu'attendrit  face à la scène qui se passait devant lui : assis sur le canapé, Sirius, un petit sourire aux lèvres accompagné d'un léger rire, tentait de libérer ses longues mèches de cheveux légèrement bouclé des petite mains d'Harry, qui gazouillait comme un oiseau.
Remus ne put reste de marbre face à ça. C'est avec un petit rire qu'il se dirigea vers son mari et libera ses mèches de cheveux des mains d'Harry.
— J'ai fini, nous pouvons rentrer.
Sirius perdit presque immédiatement son sourire pour les replacer par une expression mélancolique, ne disant toujours rien et se contentait de se rapprocher à son mari. Qui lui commençait à perdre patience face au comportement enfantin de Sirius.
— Sirius, regarde moi.
Un grognement, rien de plus ne sorti des cordes vocales de l'animagus.
— Sirius ! Arrête de faire l'enfant et regarde moi !
Ne voulant pas mettre le loup garou plus en colère que se qu'il était, le concerner s'exécutât. Il reculait d'un pas afin de le regarder dans les yeux.
— Sirius.. sache que l'on ne guéri jamais de se qui nous manque. commença remus dans un ton doux. On s'adapte, on rencontre d'autre vérité. On ne vie qu'avec nous mêmes et avec la nostalgie de la vie.
Sirius se contentait de regard le loup garou dans les yeux. Cela le surprenait toujours d'entendre des phrases assez philosophiques prononcées par son mari, mais après tout ces aussi l'un des raison pour laquelle il l'avait épousé. Il sourit a cette pensée, se reprocha du loup et le pris dans ses bras.
— Merci... Moony. Murmura-il
— Merci pourquoi Padfoot  ?
— Pour tout ce que tu a fait depuis nos année à Poudlard...
  Remus pris le menton de Sirius entre ses doigts et le leva pour l'embrasser. Et se fut seulement par manque d'air qu'ils se séparaient.
— De rien mon ange, murmura Remus dans le creux de l'oreille de l'animagus.
Ce nouveau surnom le fit rougir à tel point qu'il dû baisser sa tête dans l'espoir de calmer son rougissement.
  Remus lui acquiesçât un sourire en coin et repris la malle d'Harry dans sa main libre. Puis plus rien. Plus personne dans la maison. Ils avaient transplanter vers le 12 square grimmaurd .
La nuit du 31 Octobre 1981 signifiait maintenant beaucoup pour eux.
Cette nuit était le début de leur nouvelle famille.

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