𝑀𝑎𝑓𝑖𝑎 𝑃𝑒𝑙𝑖𝑐𝑜𝑙𝑜𝑠𝑎

Chapitre n°4: Imposé

꧁ℂ𝕙𝕒𝕡𝕚𝕥𝕣𝕖 𝕟•4: 𝕀𝕞𝕡𝕠𝕤𝕖́꧂

𝒩.𝒜.𝒮.𝒯.𝒴.𝒜.

Mon regard passait de la photo aux mafieux en face de moi, je me retrouver prise au piège dans leur guerre à cause du passé. Un passé que je voulais enterrer, et qui maintenant me revenait en pleine figure. Il fallait choisir entre mourir seul ou tuer mes amis avec moi car dans les deux cas je ne m'en sortirais sûrement pas. S'ils contaient se servir de moi pour l'éliminer j'allais y perdre au change, mais si je refuse les pertes serons bien plus conséquente, puis tant qu'ils me garantissent une protection je devrais pouvoir gagner du temps pour me sortir de ces problèmes.

Les sourcils froncé je scrute l'ensemble des personnes pressentes, je prends une grande inspiration espérant faire le vide dans mon esprit sans grand succès, et je tente de garder un visage impassible mais plus les minute passe et plus la tâche s'avère compliqué.

Ayant plus à y gagner qu'à y perdre je décide d'accepter, uniquement si mes conditions son respecté :

-D'accord, j'accepte de vous aider sous certaines conditions. Annonçais-je finalement.

Le visage du blond se renferme davantage, il passa ses doigts dans ses cheveux blonds plongé en plaine réflexion, il me dévisagea dans un premier temps, puis demanda finalement :

-Les quels. Son ton été froid expriment son mécontentement face à ma tentative de négociation.

-Vous devraient me garantir une protection totale, je ne suis pas assez stupide ou encore suicidaire pour risquer ma vie pour vous, et mes proches ne serons en aucun cas mêlé à cette histoire. J'exigeais. Plus aucunes menaces à leur encontre et les choses se ferons à ma manière.

-Je ne pense pas que tu sois en mesure de négocier, on t'accordera notre protection, mais je ferais ce qui est nécessaire pour arriver à mes fins y compris éliminer tes proches si nécessaire, ça se déroulera à ma façon et c'est non négociable. Affirme-t-il autoritaire.

Je n'apprécie guère le comportement qu'il s'autorise avec moi, je serre les poings pour me contenir, son attitude et purement détestable et la fatigue rend la retenu que plus difficile, et je ne pus m'empêcher de lui répondre le plus sèchement et avec la plus grande arrogance possible:

-ce n'est pourtant pas moi qui ai dû kidnapper quelqu'un pour obtenir son aide me semble-t-il. Fini-je avec un rictus mauvais aux lèvres plaint de fierté et de mépris.

Sa mâchoire se contracta sous l'éréthisme que mon comportement lui faisait ressentir, tandis que celui que je me rappelai s'appeler Ares s'étouffait pour retenir un rire que lui valus un coup de coude accompagné d'un sourire de son amie et un regard noir de l'ensemble des personne autour de la table. Livio se redressa menacent, sa main se porta à sa ceinture et il en sorti son Glock 45 qu'il brandit face à moi.

-Tu veux réellement savoir si j'ai besoin de toi ? Me menace-t-il. Parce que personnellement ça ne me dérange pas de te faire sauter la boite crânienne. Alors sois en sûr avec ou sans toi je réussirai à le buter, même si ce sera relativement plus simple avec toi tu es loin de m'être irremplaçable. Ajout-il. Et pour ton information tu n'as jamais eu le choix, on ne t'a demandé ton avis que par politesse alors arrête de la ramener. Termine-t-il enfin.

La rage bouillait de plus en plus en moi, et l'envie de lui arracher la jugulaire avec mes ongles aussi, pour le regarder se vider de son sang. Tous autour nous regardaient sans bouger comme si le moindre mouvement de leur par les tueraient. On se fusillait du regard, et je savais que la moindre surenchère de ma part me tuerait surement, il le ferait même si ça l'impact par la suite par pur fierté.

Je me reposé donc contre le dossier de ma chaise en signe de résignation, et le détraqué baissa ensuite son arme. L'ensemble des personne autour de la table recommençaient à respirer le plus discrètement possible, mais la tension ne redescendait pas pour autant.

-Sage décision, prononce-t-il.

-Nous avons décidé qu'à partir de maintenant jusqu'à que tout soit terminer tu habiteras ici, m'annonce un homme plutôt âgé dont je ne connais pas l'identité.

Un rire faux sorti de ma gorge, ils se moquaient de moi, ça ne pouvait être que ça.

-On est très sérieux Nastya, il est absolument hors de questions que tu retournes chez toi ou que tu ne sois pas surveillée, pour une question de sécurité, on ne peut pas prendre ce risque, et le meilleur moyen pour ça c'est que tu restes ici. Conclut un autre.

A ma plus grande déception, je compris que je n'avais pas mon mot à dire. La discussion concernant la suite de ce qui aller se passer continua, je ne l'écoutais que d'une oreille, à quoi bon les écouter alors que je ne pouvais rien dire et seulement regarder mon avenir être remis à d'autre sans pouvoir y changer quoi que ce soit, perdu dans mes pensées plus d'une heure défila. Je fini par retourner dans la chambre que l'on m'avait attribué où je m'effondrais de fatigue autant moral que physique. Je voulais me permettre de rêver quelque instant pour effacer cette affreuse journée sans compté sur mes blessures qui me rappelaient vite à l'ordre, les douleurs atroce que je ressentais dans tout le corps avait décidé de m'empêcher de dormir, pour mon plus grand malheur, je décidais donc de me lever pour prendre un livre dans ma valise puisque mon téléphone et mon ordinateur m'avais évidement été enlevé,

Une trentaine de minutes passa dans un calme total ce qui ne me dérangea absolument pas, bien au contraire, mais le calme dans lequel je m'étais plongé fut rompu par un bruit derrière la porte, puis cette dernière s'ouvrit doucement sur Ava. Je froncé les sourcils ne comprenant passe qu'elle venait faire ici, elle en revanche me souriait de toute ses dents, un plateau dans les mains.

-J'ai pensé que tu préfèrerais ne pas descendre pour manger, alors je te suis apporté de quoi manger, relata-t-elle.

Je lui souris en la remercient, je n'avais pas réellement faim, mais j'apprécier son geste, je lui proposais donc de rester avec moi ce qu'elle accepta toute joyeuse en me disent qu'elle penser que je ne lui demanderai pas.

On finit par discuter pendant un long moment de toutet de rien, elle était très gentil et me rappelais un peu ma meilleur amie avecqui je suis sur ce serait bien entendu si elles se connaissaient, c'était unejeune femme joyeuse et plaine de vie j'en venais même à me demander commentelle avait atterrit dans ce monde cruel et sanglant. On finit notre repasplutôt tard, et on continua de discuter pendant près de deux heure avantqu'elle ne reparte chez elle, puis je fini par tomber dans les bras de Morphée,apaisé.

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Coucou tout le monde voilà le chapitre 4, je sais il est cour mais je vous promet que j'essaierai de faire les prochains plus long, je pense pouvoir poster plus puisque je suis en vacance. J'espère que le chapitre vous a plu, vous pouvez voté si c'est le cas.

With all my heart, L.