chapitre n°2: Départ

24 2 0
                                    












꧁ℂ𝕙𝕒𝕡𝕚𝕥𝕣𝕖 𝕟•2 : 𝔻𝕖̄𝕡𝕒𝕣𝕥 ꧂








𝒩.𝒜.𝒮.𝒯.𝒴.𝒜




Une migraine atroce qui me fendait le crâne en deux et une douleur vive au niveau de la tête me réveillait.

Mes yeux étaient fermés et mon mal de tête me disait de ne pas les ouvrir. Il faisait froid et sans doute un peu humide, mes poignets et chevilles étaient attachés à une chaise en acier, j'entrouvris mes yeux pour apercevoir la pièce, mais à peine la faible lumière eu le temps d'atteindre ma rétine que je les refermais, un martèlement abominable tambourinait dans ma boîte crânienne.

Une fois que la douleur passé je rouvris les yeux pour observer la salle dans laquelle je me trouvais. Le gris était la couleur maître de la salle, elle était entièrement faite de béton, une simple fenêtre éclairait la pièce, une table était placée sur un côté du mur, et une énorme porte métallique trônait devant moi.

Des bruits ce faisaient entièrement de l'autre côté de la porte mais personne ne pénétrait dans la pièce.

Je pourrais facilement me détacher des menottes qui martyrisent mes poignets, mais sans savoir où je suis le nombre de personnes à l'extérieur et même si je peux voir par la fenêtre qu'il fait jour je ne peux pas sortir avec si peu d'informations. Alors je décide de fermer les yeux pour tenter de dormir un peu le temps que quelqu'un daigne venir pour que je puisse enfin avoir des réponses.

...

Je me fais réveiller par le bruit d'une porte qui claque, deux personnes en pleine discussion entrèrent dans la pièce ce qui me laissait assez de temps pour apercevoir un escalier, je dois donc me trouver dans un sous-sol ce qui explique le manque de fenêtre.

Les deux individus ce turent en me voyant les fixer, je reconnue facilement l'homme qui m'avait assommé, quand à la femme qui se tenait à ses côtés je ne la reconnaissais pas.

Le brun affichait un sourire stupide qui lui donnait presque un air inoffensif au premier, abord, mais le rendait encore plus terrifiant dans le contexte actuel. Il brisa le silence en premier après avoir fait raclé une chaise semblable à la mienne sur le sol et de s'asseoir dessus et appuyait son torse sur le dossier de cette dernière.

𝑀𝑎𝑓𝑖𝑎 𝑃𝑒𝑙𝑖𝑐𝑜𝑙𝑜𝑠𝑎Où les histoires vivent. Découvrez maintenant