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Thaïs Vergnet,Home, 11h25

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Thaïs Vergnet,
Home, 11h25.

... : Putain, mais tu va te réveiller ! dit une voix en hurlant et tambourinant sur ma porte de chambre.

Je me lève difficilement jusqu'à cette dernière encore endormie et traumatisée par ce qui c'est passer la veille dans la boîte de nuit.

... : Ce n'est pas trop tôt ! j'ouvre tant bien que mal mes yeux afin de distinguer la personne qui se tient devant moi.

Il s'agit de ma soeur, je ne suis pas étonné plus que ça pour le coup, elle adore faire ce genre de chose les lendemains de mes soirées.

Yness : Alors, tu as ouvert tes jambes hier soir ? elle me regarde avec du dégoût.

Moi : Bonjour à toi aussi, dis-je en baillant.

Yness : Ta gueule ! dit-elle en me bousculant avant d'aller s'installer sur la chaise de mon bureau.

Yness : Tu peux me faire un virement s'il te plaît ? elle me sourit hypocritement.

Et c'est reparti pour un tour.

Quand il s'agit d'argent, tout d'un coup, elle devient rapidement aimable.

Je décide de faire comme si je n'avais rien entendu et je pars me recoucher dans mon lit.

Yness : Je t'ai demandé un truc, il me semble ! elle me hurle littéralement dessus mais je ne lui réponds toujours pas.

Je sens un poids lourd venir m'écraser et me rué de coups sans que je ne puisse faire grand chose pour me défendre.

Yness : J'ai eu la gentillesse de te demander correctement et tu oses quand même faire ta pute, je te jure que tu vas le regretter ! ma soeur continue de me donné des coups plus forts les uns après les autres tandis que j'essaye de me protéger tant bien que mal avec ma petite couette.

J'aimerais tellement partir d'ici, elles me font vivre un enfer pas possible, mais malgré tout je me sentirais coupable de les abandonner, surtout vis à vis de mon père, ça le rendrait si triste de voir comment notre famille est devenue.

Moi : C'est bon, tu as gagné, il te faut combien ? je sors ma tête de sous ma couette pour faire face à ma soeur qui semble heureuse de m'entendre céder.

Yness : Ce n'est pas trop tôt, tu vois quand tu veux que tu peux être obéissante, elle rigole.

Je ne relève pas, bien trop épuisé par tout ça.

Sugar Daddy - Jude Bellingham Où les histoires vivent. Découvrez maintenant