2.2

1.6K 56 172
                                    

Jude Bellingham,Home,9h30

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Jude Bellingham,
Home,9h30.

Je dormais paisiblement quand la sonnerie d'un téléphone portable vient perturbé mon sommeil, je n'y prête pas attention pendant quelques secondes avant de me rappeler qu'il s'agit de la musique que j'ai enregistré pour le numéro de l'hôpital afin d'être sûr de répondre peu importe la situation.

Je me redresse rapidement avant de m'asseoir sur le rebord de mon lit puis j'attrape mon téléphone afin de répondre à mon interlocuteur.

Moi : Oui, allô ? demandais-je la tête dans le cul.

... : Ici la secrétaire de l'hôpital où est hospitalisé Madame Vergnet, me réponds la dame.

Mais non, sans blague, comme si je ne le savais pas depuis le temps maintenant.

Moi : Oui, je me doute bien, lui repondis-je, et donc, que me vouliez vous me dire exactement, car je suppose que si vous m'appelez c'est que vous avez une information à me transmettre, n'est-ce pas ?

Secrétaire : Oh oui, excusez-moi, dit-elle en bafouillant, votre amie s'est réveillé et ne cesse de vous réclamez, finit-elle par m'annoncer.

Je ne peux contenir ma joie et saute hors du lit avant de courir un peu partout dans la chambre et je manque même de tomber à plusieurs reprises mais ça ne gâche pas ma joie pour autant.

En réalité, j'attends d'entendre cette merveilleuse annonce depuis le jour où elle s'est retrouvée dans le coma, donc un peu plus de deux mois.

Secrétaire : Monsieur Bellingham, êtes vous toujours en ligne ? me demande t-elle tandis que je laisse toujours exprimer ma joie.

En l'entendant répéter à plusieurs reprises cette question, je reviens peu à peu à moi-même et tente de me canaliser du mieux que je peux afin de finir convenablement cet appel téléphonique.

Moi : Oui, oui, excusez-moi, c'est l'émotion, dis-je un peu embarrassé.

Secrétaire : Je comprends parfaitement, ne vous en faites surtout pas, elle me parle d'une voix douce et rassurante.

Moi : Est-ce que je peux venir ? je l'interroge impatient.

Secrétaire : Bien sûr, d'ici une trentaine de minutes les visites seront à nouveau autorisé, me dit-elle tandis que je la remercie avant de raccroché.

C'est heureux, que je fonce en direction de mon dressing pour prendre les premiers vêtements qui me tombent sous la main et ainsi pouvoir être prêt dans les temps.

En enfilant mon jogging, je manque de tomber et me cogne violemment contre la porte coulissante de mon armoire, ce qui cause un énorme boucan.

Je m'arrête quelques instants de respirer en espérant ne pas avoir réveillé ma petite copine Yness, qui dort toujours dans le lit, et une fois que j'estime que c'est bon, je me dirige jusqu'à la partie où se trouve toutes mes paires de chaussures, je reste un long moment devant les étagères avant d'enfin me décider.

Sugar Daddy - Jude Bellingham Où les histoires vivent. Découvrez maintenant