XI : INVIDIA

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CHAPITRE 11:
INVIDIA
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Bonjour à tous et toutes je sais que je poste rarement ces temps-ci mais ça ne donne pas le droit de prendre mon histoire, ou de la copier et de l'arranger pour faire comme ci ce n'était pas la mienne.

Je déteste ce genre de personne, chercheo d'autre chose que des histoires déjà prise ce serait gentil.

Si vous avez pas d'imagination ce n'est pas mon problème.

Bonne lecture.


( ! )






















❀「ÉROS」❀

Je saute, je me tortille, je bois, je chante... et plus rien ne compte à part « m'amuser ». Oublier tout ce que j'ai été confrontée de force. J'aimerais crier mais ce n'est guère acceptable même dans un endroit comme celui-ci où des personnes sont payées pour faire couler du sang et proclame la violence comme une solution.

Donc la seule chose que je puisse faire sans me faire passer pour une folle c'est chanter alors je hurle les paroles, je hurle tout ce que je peux, les personnes proches de moi pensent que je suis fan des musiques qui passe et peut-être aussi une femme un peu trop éméchée et les autres un peu plus lointaine trop occupée a leur occupation avec la musique qui est assez assourdissante pour qu'ils ne m'entendent pas.

Ici dans cet endroit, qu'était il y a deux minutes une salle clandestine de free fight mais qui est maintenant devenue une boîte de nuit illégale dans une rapidité incongrue qui pourrait voulait la vedette au samouraï japonais.

Mon frère et Shelby ne font pas les choses à moitié ça c'est la seule chose que je ne vais pas leurs reprocher. Parce que j'ai tellement de choses à leur reprocher. Mais pas maintenant je veux m'oublier.

Je n'en peux plus d'être la soeur d'un homme plein de mensonges.

Ou l'amie,

Ou même la fille dont ses parents sont « tragiquement décédés ».

Ainsi que la soeur qu'on déteste.

Je veux vivre ce moment avant de retourner au mensonge de mon frère, au venin de Shelby, aux regards du monde qui me regarde en se disant «  pauvre petite Éros, ses parents sont morts  ». De plus que j'étais aussi-

Je ne veux plus, non je ne veux plus de tout ça.

Je ne veux être plus personne, juste moi et mon esprit vide.

Chaque regard que les gens me donnent me fait penser à de l'eau, qui m'envahit, qui m'étouffe, qui me noie. J'ai déjà vécu cette sensation et j'ai l'impression de la revivre à chaque fois qu'ils me fixent tous avec leurs yeux qui reflètent ce qu'ils ressentent de moi. La pitié.

Mes pensées sont interrompues par des mains fortes sur mes hanches qui viennent me plaquer contre un torse solide d'une façon douce. Je me fiche de savoir qui cela peut-être, la seule chose que je veux c'est de profiter avant que tout me revienne, avant que je ne rouvre les yeux et retrouve toutes ces pupilles qui m'ont en visuelle et qui ne me lâche pas des yeux pour me juger ou me plaindre de ma situation.

ANARCHY  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant