La cinquième maison de Poudlard

Chapitre 15

_ Audrey : Quoi !? Quel bal ? De quoi tu parles ?

_ Gini : Et bien du bal de l'automne. Tu sais Mc Go en a parlé ce midi, il aura lieux le week-end prochain.

_ Audrey : Et vous prétendez être mes amis. Vous êtes venue me voir à tour de rôle et aucun de vous m'en a parlé.

_ Ron : Maintenant que tu le dis, je ne me souviens pas de toi au déjeuner.

_ Pansy : Waouh, même moi je compatie. Ce n'est vraiment pas cool.

- Harry : Je te signale que tu ne lui à rien dis non plus.

_ Pansy : Ola. Ne me met pas dans la même diligence que vous, moi je ne suis pas son amie.

_ Audrey : C'est quand même triste que la seule personne à qui je ne peux pas en vouloir soit la seul à ne pas être mon ami à cette table. Elle se leva. Bien sûre ceux, étant donné que je ne peux compter sur aucun de vous, je monte me coucher. Blaise lui pris la main.

_ Blaise : Attend t'en va pas comme ça.

_Audrey : Toi, tu devrais éviter de l'ouvrir. Je te rappel que tu es venu manger avec moi à l'infirmerie ce midi.

_ Ron : Attend tu es vraiment fâchée. Elle fusilla ce pauvre Ronald du regard.

_ Drago : Non elle n'est pas fâchée, elle veut nous faire marcher pour nous faire culpabiliser. Il se tourna vers la petite furie qui se trouvait derrière lui avec un sourire des plus horripilant.

_ Audrey : Pourquoi tu leur as dit, ils étaient sur le point de tous se confondre en excuses ça aurait était drôle.

_ Ron : Espèce de sadique, fit l'ancien Gryffondor faussement vexé, tu nous aurais laissé nous sentir coupable, il fit mine de pleurer, nous tes amis, il essuya une fausse larme, nous qui t'avons recueilli et aimé de tous nos cœurs, tu nous aurais laissé mourir de chagrin. Elle rit.

_ Audrey : Ne t'en fait pas, si tu avais perdu la vie, j'aurais fait un magnifique discourt à ton enterrement à toute la société magique, pour leur dire à quel point tu es un très mauvais comédien.

_ Ron : Et moi qui pensais que tu avais oublié.

_ Audrey : Jamais.

Visiblement seul ces deux-là avaient réussi à suivre la fin de la conversation. Malgré leur interrogation ni l'un ni l'autre ne cracha le morceau. Ils remontèrent à la salle commune de Dragonnas. Sur le trajet ils eurent du mal à faire entendre raison à la jeune dragonne, sa cheville lui faisant un peu mal, elle était à la traine derrière ses camarades, mais Ron réussi à la prendre sur son épaule comme un vulgaire sac de pomme de terre. Forcé de capituler elle laissa Ron la porter sur son dos. Quelques marches plus basses et à l'aide de Harry elle réussit à s'agrippé à lui. Il n'y parait pas, mais le jeune Weasley est sans aucun doute le plus fort physiquement, cela étant sûrement dû à ses derniers mois pendant la chasse aux horcruxes. Arriver à la salle commune plié de rire dû aux bêtises de Ronald, Audrey les invita à continuer la soirée dans sa chambre. Surprise qu'ils acceptent tous elle fut vraiment ravie de voir qu'ils étaient tous passé à autre chose, et qu'elle puisse passer du temps avec eux tous réuni. Devant la porte de la petite furie au bout du premier couloir, elle leur fit mine de se taire.

_ Audrey : Bon je vous préviens j'ai un peu aménagé ma chambre, et la directrice n'est pas au courant. Alors pas un mot, à qui que ce soit.

_ Ron : Je ne pense pas que Mc Go va te sanctionner si tu as bougé les meubles.

_ Audrey : En fait, euh.... Le mieux c'est que je vous montre.

Elle ouvrit les portes de sa chambre, tous furent bouche-bée en voyant les fameux aménagements de leur camarade. Ils pénétrèrent dans un petit hall avec en son centre une table qui accueillais un vase imposant rempli de fleur. Sur leur gauche une double porte qui menait à une petite cuisine qui permettais seulement de stocker un peu de nourriture et de faire chauffer deux casseroles. Sur leur droite, il y avait encore une double porte qui menait cette fois à un petit salon, et face à eux, un peu sur la gauche, un escalier était dissimulé derrière un rideau de lierre qui se fondé dans la décoration. Celui-ci menait à l'étage, où l'on retrouvait face à l'escalier une porte qui menait à une salle de bain, sur la gauche, une pièce ouverte qui faisait office de bureau, et, au bout de ce bureau, ce trouvait une double porte qui menait à la chambre.