Vient-il vraiment de m'enfermer ? Le sens des paroles qu'il avait prononcé dans la voiture prirent leur sens et j'en eu froid dans le dos. Je ne connais pas du tout celui a qui je me suis mariée et c'est d'autant plus stressant lorsqu'il me retient prisonnière ainsi.
Sur le coup j'eus une idee de genie et courus a la chambre . J'attrapais le téléphone et composais sourire aux lèvres le numéro de ma belle mère . Elle décrocha a la deuxième sonnerie.
Moi: Bonjour tata..
Elle: oui? Qui est ce?
Moi: C'est Fatima ..Comment allez vous ?
Elle: Oh ma chérie ..je vais très bien et toi? Comment cava là bas? Et ousmane où est-il?
Moi: Ca se passe bien ma tante. En fait je dormais et à mon réveil je n'ai pas vu Ousmane . Je n'ai pas son numero et il a ferme la porte de la chambre a clé. Pourriez-vous juste l'appeler pour lui dire de revenir s'il vous plaît ?
Elle: Je vois . Je peux juste te remettre son numéro pour que tu le lui dises ma cherie. Ou bien il ya un soucis entre vous?
Je me tus un moment a la recherche d'une bonne raison a lui donner sans pour autant l'inquiéter. Puis je souris a ma trouvaille.
Moi: En fait je ne suis pas encore tres à l'aise devant lui. Je ne le connais pas encore. Dites lui juste pour moi que je me sens prisonnière dans cette chambre et qu'il vienne au plus vite.
Je failli eclater de rire à mon propre sous entendu .
Elle: D'accord . Je l'appelle a cet instant.
Moi: Merci . Aurevoir.
Je raccrochai et partit d'un pas calme me faire a manger. Je m'installai ensuite devant la television , heureuse de ma contre attaque. On verra s'il ose dire a sa mère ce qu'il a fait.
.....
Je me reveillai et vit qu'il faisait deja nuit. Je me suis endormie devant une emission hyper ennuyante . Je frottais mes yeux et me levais pour allumer la lampe du salon. Et je le vis: Ousmane. Assis sur le fauteuil m'observant d'un air mystérieux.lui: c'est bon là. Ta bien dormis j'espère.
Je sursautais et me mis en position assise. Je me demande depuis combien de temps il est là assis à me regarder.
Moi: t'es là depuis combien de temps.?Son regard était vraiment noir et je l'entendis murmurer un "elle se fou vraiment de ma gueule". Tout d'un coup je me retrouve propulsé loin du fauteuil et mon dos heurta rudement le mur contre lequel il venait de me plaquer. Il serrait mes poignées au dessus de ma tête.
Moi: AYyeuhh.. putin tu m'a niqué le dos lache moi putin là.
Il m'écouta pas et serra encore plus fort.
Lui: tu crois que tu peut m'avoir en appelant ma mère pour lui raconter des conneries?
Moi: tu préfères que je lui dise la vérité peut être?
Lui: joue pas à la plus maligne avec moi.
Il me regarda droit dans les yeux et se rapprocha de moi de sorte que nos fronts se toucherent. Cette proximité me destabilisait complètement. Je pouvai sentir son haleine qui sentais la menthe.
Lui: tu oublie que tu es ma femme maintenant. Donc j'ai le droit de te faire... exactement... tout... ce que... je veux.
Il disait ces mots d'une manière très douce tout en effleurant mon cou avec ses lèvres et en y laissant de petits baisers. Des frissons commencèrent à parcourir mon corps. Ma respiration s'accélèra et j'eu des fucking papillons dans le ventre. J'aimais sa malgré moi mais il ne fallait pas le le laisser voir. Je me mis donc à me débattre pour qu'il arrête. Mais il était beaucoup plus fort que moi.
Lui: me dit pas que t'aime pas je sais que t'a envie de m'embrasser.
Moi: même pas dans tes rêves. Tu me dégoûte gros pervers.
Il s'écarta de moi et se mit à sourire.
Lui: bah ta voulu faire la maligne en appelant ma mère. Je dois quand même faire ce qu'elle me demande. Tu veux aller te promener. Tres bien vas y.
Moi: quoi? Mais il fait nuit là.
Lui(me prenant par le bras et me poussant hors de la chambre): rien à foutre t'y vas.. et restes y bien.
Il claqua la porte me laissant seule dans le couloir.
J Y CROIS PAS C'EST UNE BLAGUE?
VOUS LISEZ
chronique de Fatima: mon destin tragique
RandomIl y a des fois dans la vie où on est obligé de grandir trop vite bien que cela ne soit pas ce que l'on désire. Surtout lorsqu'on a perdu ses repères et que personne ne nous aime assez pour nous venir en aide. Alors on se retrouve seul cachant nos s...