Bienvenue a tous et a toutes dans ma toute première fanfiction !
J'espère sincèrement qu'il vous plaira. Bon ce n'est pas parfait mais j'ai essayé ^^
Bonne lecture ~
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Ayant reçu l'horaire de leur prochain rendez-vous du vendredi, Siyeon s'apprêtait à sortir. Chemin faisant, elle admira les rayons de soleil qui pénétrait les feuilles des arbres, songeant a tout et a rien,que des pensées oisives, qui flânent, errent, vagabondent.
Elle avança jusqu'au Jardin des Tuileries, fredonnant, enjouée à l'idée de retrouver son amie Minji. Un banc vide à l'entrée l'invitait à s'y asseoir. Déjà quelques minutes écoulées et aucune nouvelle de celle qu'elle attendait. Sans doute le vol avait pris du retard. Regardant souvent son portable et rechargeant sans cesse sa messagerie, il n'y avait rien a faire, aucune notification apparaissait . Un moment qui paraissait s'éterniser, le sablier se vidait, le temps filait , le vent soufflait ; peut-être le vol avait été annulé.
Quand soudainement , une main s'installa doucement sur l'épaule de la noiraude. C'était Minji qui lui indiquait sa présence. Sans plus attendre Siyeon l'étreignit dans ses bras en guise de salutations. A peine dégagée de sa prise, elle rencontra à nouveau le sourire si chaleureux que son amie avait l'habitude de lui offrir. D'un seul sourire, d'un seul regard, Kim Minji était l'une de ces créatures qui fait entrer la joie dans le cœur des gens, elle attire l'amour et la tendresse ; elle l'introduit pour sa propre personne et les gens qui viennent a son encontre. La femme idéal qui n'apparait que dans les rêves dont le coeur aurait été lavé de toute la saleté du monde. Un chérubin en serait jaloux.
Légèrement Minji s'écarta sur sa droite, un bras tendue envers celle dont Siyeon n'avait pas remarquée la présence. La plus grande se retrouve face à face avec une femme d'une beauté sans semblable. C'était un visage irrégulier. Elle était vêtue d'une robe blanche ornée d'une dentelle fine sur les bords. Un blazer beige recouvrait ses épaules. Ses cheveux longs étaient légèrement recourbés à l'avant et étaient semi-attachés par une pince à la forme étroite d'un papillon. De simples petits anneaux brillaient à ses oreilles.
De courtes présentations furent les bienvenus entre ces deux inconnus. Elle s'appelait Sua.
Comme elle n'osait pas beaucoup prendre part à la discussion, visiblement intimidée par la présence et l'aura imposante que pouvait dégageait celle qui n'avait de pensée que pour elle, Siyeon eut le temps de l'examiner et de la détailler comme un tableau ou une statue.
Le dîner entre amis qu'on annonça interrompit son examen. Minji se précipita pour donner le bras à sa camarade, sans doute pour discutait de la viande qu'elles s'apprêtaient à cuire une fois le reste du groupe rejoint, un sujet qui les passionnées plus que tout. Tandis que Siyeon s'arrangeait de manière à marcher derrière elles pour juger d'une tournure qu'elle avait à peine entrevue. Elle se plut à marcher derrière ses pas , à étudier cette démarche insousciante de la femme inoccupée, mais dont les mouvement de la quelle dévoile la volupté qui dort.
Le mouvement qu'elle fit pour passer d'une rue a une autre, révolutionna les idées de la noiraude, bouleversa ses révolutions. C'était ce balancement dont Siyeon avait tant entendue parler aux près de ses autres collègues. Sua était danseuse. Une autre femme sortit de cette femme. La noiraude comprit alors par un frisson singulier, la puissance électrique de l'être qui marchait en face d'elle.
Eh bien, elle s'est retournée, elle l'a vue, elle l'a de nouveau regardée , et lui offrit là un côté d'elle encore jamais vue, un visage nouveau. Ce fut un léger sourire, mais pas trop, assez pour lui en fermer les yeux de sorte a ne former que des petits croissants de lune. Physiquement parlant, cette semie-inconnue est la personne la plus adorablement femme que Siyeon n'avait jamais rencontrée.
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Shameless Suayeon /𝑶𝑺
RomantizmIl y a des regards qui s'embrassent plus fort que les lèvres. « - Qui ne donnât aux imaginations des curiosités plus embrasées que les désirs et ne réveillât dans les âmes l'instinct des voluptés coupables, - le rêve endormi des plaisirs. »