- Aliyah
Quelques heures plus tard, mes yeux s'ouvrent et je suis toujours dans les bras d'Ayman.
Je me lève difficilement, trop prise par le sommeil.
Je me rend compte que je n'avais plus de haut, et petit à petit je réalise que j'avais dormis dans les bras d'Ayman de cette manière.L'instant d'après je me demande ce que je fais dans cette chambre, puis je me rappelle de tout ce qu'on y avait fait la veille.
J'ai directement fais les gros yeux avant de chercher mon haut du regard.
Je l'ai trouvée par terre, je l'ai ramassé avant de l'enfiler rapidement.Je me suis ensuite assise sur le lit, j'avais beaucoup de chose à gérer en moi.
Déjà tout ce que j'avais fais avec Ayman c'était une chose, mais ce que Hakim m'avait fait en étant une autre.J'étais quand même venue me consoler dans les bras d'Ayman, en faisant pire que n'importe quoi.
Le pire c'est que j'aurais pu faire n'importe quoi avec lui si il l'avait voulut.
Tout ce qu'il aurait souhaité.
Ce qui prouve que j'avais un sacré problème au cerveau.J'ai sentis Ayman bougé et petit à petit il a ouvert les yeux à son tour.
Je n'osais même pas le regarder dans les yeux, j'étais vraiment perturbé.Ayman : La vie d'ma race, j'ai cru j'avais fais un rêve de zinzin. Mais c'était pas un rêve. Dit-il en me voyant
Je me suis retourné vers lui avant de soupirer.
Moi : S'il te plait, pas de remarque, je suis vraiment genée.
Ayman : Vas-y c'est rien. Il est quel heure là ? Dit-il en cherchant son téléphone
Il était trois heures du matin, mais je n'avais plus sommeil maintenant que je repensais à ce qui s'était passé.
Ayman : Change toi, viens dormir.
Moi : Non, je dois rentrer.
Ayman : Ta mère elle t'a appelée ?
Moi : Non
Ayman : Bah rentre pas, elle va croire que tu rentre de boite.
Moi : Tout ça juste pour m'avoir dans ton lit.
Ayman : Bah ouais, hassoul change toi j'vais boire.
Il s'est levé puis est sortit de la chambre pendant que je venais d'ouvrir son armoire.
J'ai retirée mon haut puis mon soutien-gorge avant de mettre son haut.J'ai ensuite retiré mon jean mais évidemment Ayman est arrivé au même moment.
Ayman : Putain c'te paire de fesse. Dit-il en verrouillant la porte derrière lui.
Moi : Mais dégage putain de connard ! Dis-je en me retournant
Ayman : Ça y est, on peut plus rire ici. Ton corps d'enfant là.
Moi : Mon corps d'enfant ? Le jour où je vais vouloir jouer avec toi, tu seras à mes pieds à moi et mon corps d'enfant.
Ayman s'est mis à rire avant d'aller dans sa salle de bain.
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« On s'fera du mal » - Aliyah
RomanceRÉÉCRITURE EN COURS. Il paraît que de la haine à l'amour il n'y a qu'un pas. J'ai toujours cherché le grand amour mais j'étais loin de me douter que ce serait toi. Toute ma vie je t'ai détesté sans savoir que tu m'étais destiné - Histoire fictive...