Mon Mafieu Psychopathe & Moi [En Cours]

chapitre 2

Après 15 minutes de retard, et mettre  habiller, je vais à la fête. Mon regard se pose sûr Céline et Tiago en train de boire un verre ensemble.
Je me dirigeai vers la table de Poker pour regarder jouer.

Soudain, les portes de la salle s'ouvrent d'un coup et claquent bruyamment contre le mur, ce qui me fait sursauter. Je me tournai vers Caden et son clan qui rentre, je tourne vite la tête pour éviter d'être vue.Celine et Tiago viennent vers moi.

- Demain, c'est le 14 février !! Dit Céline surexcitée.

J avais totalement oubliée ce jour à la con.je déteste la Saint-Valentin les couples qui s embrasse dès le matin,voir des gens offrir des roses et des bouquets qui vont de toutes façons va finir dans la poubelle. Je déteste tellement ce jour que je ne peux pas m'empêcher de péter un plomb.

- J'en ai rien à foutre ! Je m'en bats ! Le 14 février est un jour comme les autres ! C'est un jour d'un mois et c'est une journée de 24 heures.
Comme tous les autres jours ! Voilà ! Vos gueules !

Je pars prendre un verre d'eau.
Caden a entendu ce que j'ai dit et rigole discrètement.

Deux larges mains se posent soudainement sur mes épaules.
Caden...

- Ose poser encore tes mains sur mes épaules et je te jure que je ferai en sorte que tu n'en as plus.

- on sait tous les deux que tu ne hausseras pas, tu m'aimes trop pour ça.

- Dans tes rêves les plus fous !

- Dans mes rêves les plus fous, on fait bien plus que parler principessa. Chuchote Caden.

Il vient de m'appeler comment là ? J'ai sûrement mal entendu...

- pfff... T'en a pas marre de dire des conneries comme ça ?

- et t'a encore rien vue. Ce n'est que le début terrestre.

Je lève les yeux au ciel. Je ne peux pas m'empêcher de sourire.

- j'aimerais que tu ne me parles pas.

- tu peux dire ce que tu veux. Je sais que tu m'aimes, dit-il.

- rêve toujours. Je te déteste. C'est aussi simple que ça.

- pourquoi tu mens ?

- pourquoi je te mentirai ?

- parce que je suis trop bien pour toi.

- alors là ! Pas du tout. Bref, tu pourrais fermer ta gueule ?

Il sourit et détourne le regard.

- beaucoup mieux comme ça. Dis-je.

Il tourne la tête et me regarde en souriant. Je fais de même et nous restons comme ça pendant de bonnes minutes.

- désolé, Principessa. Mais te voir énerver contre moi me plaît beaucoup.

- C'est ça ! Il a du répondant le gros connard.

- imaginons que le gros connard te dit qu'il te supporte. Tu dirais quoi ?

- que je le sais et que je te supporte aussi.

- j'ai une idée.

- laisse-moi deviner, tu vas lâcher une connerie comme toujours.

- je te mets au défi le premier de nous deux qui éprouve des sentiments pour l'autre à perdu et vu que je te déteste prépare toi à perdre.

- ON se détestent, rectifiai-je. Et voilà ! Je l'avais dit que tu allais lâcher une connerie.