chapitre 4 : Ava

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Stop...
Je veux qu'il s'arrête
                                      tu es jolie mi muñeca
Ce nom, je ne veux plus l'entendre...
Je le mérite....
J'ai étais stupide..
                                           Tu as désobéis.....
J'ai désobéis
La punition....
Non je ne veux pas rentrer dans cette pièce...
cette chaise au milieu...
Ses mains, son corps
Son poids...
Je ne veux plus rien ressentir....
Je vais mourrir, je veux mourrir.

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Le campus
Le  matin

Ce cauchemar, à peine ai-je fermé les yeux qu'il m'a hanté.

Résultat je n'ai dormit que quelques heures, pour changer.

Isabella c'est réveiller un peu après moi, il est 10h et elle a une sacré geule de bois.

Je lui file un cachet pour la migraine et un verre d'eau et elle se recouche.

Je décide d'aller à la salle de boxe, j'en ai grand besoin.

Je dois évacuer toutes ses frustrations.

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Salle de boxe du campus.

Je me suis habillé rapidement d'un short et d'un pull noir.

J'ai pris mes gants de boxes et j'ai filé à la salle.

J'ai laisser un mot à Isabella pour ne pas qu'elle s'inquiète.

Je suis devant ce sac, je frappe et frappe sans m'arrêter, je l'imagine lui sur ce sac.

Je frappe jusqu'à m'écrouler par terre, j'attrape ma bouteille d'eau et la vide d'une traite.

Dans la salle il n'y a pas beaucoup de monde, seul quelques garçons font des exercices de cardio.

Je prend quelques minutes de répit et m'adosse au mur le plus proche.

Et l'un de mes pires cauchemars traverse cette porte.

Alejandro Martinez.

Putin, qu'est ce qu'il fout là lui.

Il rentre dans la salle et dégage une aura dangereuse, il traverse la salle et s'arrête à un sac de boxe.

Et devinez quoi, le sac de boxe voisin au mien.

SUPER!

Il ne m'a pas encore aperçut, mais ça ne va pas tarder.

Et ce qui devait arriver, arriva, ses iris croisèrent les miennes.

Ses yeux, ils sont bleu comme sa sœur mais quelque chose est différent dans les siennes.

Ses iris sont vides, il n'y a aucune traces de couleurs.

Son bleu vire au gris.

Son visage est impassible, aucune émotion contraste son visage.

Je le fixe, il me fixe.

Il sait qui je suis, il la sûrement compris.

Enfin si il est au moins doter d'intelligence.

Je refuse de détourner le regard la première, il le fera et non le contraire.

Je le toise du regard et en profite pour regarder sa musculature plus que présente.

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