chapitre 19 : Ethan

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Ava est partie en pleure.

Elle est sorti de la chambre et j'ai senti sa tristesse.

J'ai essayer de lui parler mais elle m'a intimé de la laissez tranquille.

Ce que je n'ai évidemment pas fait.

J'ai essayer de la suivre mais elle courrait trop vite.

Elle a de l'endurance la petite.

Elle m'a semé très vite.

Alors je me suis arrêter, mains sur mes genoux là respiration haletante, je l'ai regarder s'éloigner, elle et ses sanglots qui redoublés à chaque foulée.

Elle m'a fait mal au coeur.

Et je suis sure que tout sa a un rapport avec lui.

Alejandro.

Je suis rentrer à une vitesse éclaire à l'appart et j'ai crié :

-Où est-il !!

Alvaro et maxime n'ont pas bougé, ils ont remarquer mon incompréhension face à Ava mais ils n'ont pas compris qu'elle pleuré.

Ils sont resté planté dans la même position que lorsque je les ai quitté.

Debout, devant le canapé fixant la porte.

Face à ma rage que j'exprime ils écarquillent les yeux et me pointe du doigt la chambre de mon meilleure pote.

Je n'ai pas l'habitude de me mettre en colère, quand je le fait c'est pour de bonnes raisons.

Et Ava est une bonne raison.

Je reprend ma marche rapide vers la chambre d'Alejandro.

Sa porte est fermée et je ne prend pas la peine de toquer.

J'attrape la poignet de la porte et là tourne, je pénètre dans la chambre de mon meilleur pote.

Il se tient devant la porte, il l'a fixe.

Il n'a pas bougé depuis qu'elle lui a claquer la porte au nez.

Il ne scille pas, ne parle pas.

J'en profite pour m'avancer vers lui et lui hurlez dessus :

-BORDEL, QU'EST CE QUE TU AS FAIT ?!

Aucune réaction.

-TU LUI AS DIT QUOI !

Aucune réponse.

Furieux par son manque de réaction je le chope par le col de son thee shirt et le plaque contre le mur le plus proche :

-ALEJANDRO TU VAS PARLER BORDEL ?!

Il me regarde enfin.

Je l'ai stimuler en l'attrapant, je n'aime pas le faire mais c'est le seul moyen.

Ça lui rappel sa mère...

Comme je m'y attendais il m'assène une gifle, je le lâche.

C'était le seul moyen.

Alejandro c'est que je sais, il me regarde et je comprends silencieusement qu'il s'excuse.

Il croyais que c'était sa mère, pas son meilleure pote.

Ayant son attention je répète :

-TU- AS - FAIT- QUOI !

Il me fixe.

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