Elle habite dans une résidence, dans un appartement T3 avec sa mère, sa mère travaille en tant que secrétaire dans une entreprise, Meera vient d'obtenir son bac, elle était en filière technologies en stmg, elle est acceptée dans la fac qu'elle voula...
L'inconnu me questionna longuement au cours du trajet pour savoir si j'avais vu le visage de mon agresseur et s'il me suivait depuis longtemps. Je n'arrivais plus à répondre, si je commençais à parler je ne pourrais me retenir de pleurer. Arrivé devant mon immeuble l'inconnu me dit alors...
- « Si besoin d'aide je suis là Meera, je sais que je ne te dois rien mais si une chose pareille arrivait à un de mes proches je ne pourrais le supporter, alors appelle-moi si besoin et prend soin de toi. » L'inconnu me tendit une feuille avec écrit son numéro et le nom que je devais lui donner. « Mon sauveur », pendant notre trajet pour rentrer chez moi les minutes avaient filé a toute vitesse, je ne serais pourquoi mais sa présence m'était agréable, comme si nous nous étions toujours connu. Mon sauveur était parti depuis cinq bonne minutes, mais j'étais toujours planter devant mon immeuble, ma tête était remplie de sentiment aléatoire, la peur, le regret et la tristesse de mon agression et son arrivé qui avait tout chambouler, sans lui je serais déjà morte de l'intérieur comme de l'extérieur a l'heure qu'il est, la nuit était tombée je décidai donc de rentrée chez moi.
En montant les escaliers je ressenti toute les douleurs que m'avait infligé cet homme cagoulé, des douleurs qui me rappelait mon passé, tous ses souvenirs en moi resurgissez sans attendre. Des traumatismes qui laissent des traces au feutre indélébile, toute ma vie j'ai tenté de fuir, je voulais échapper à ses souvenirs, ses mots et ses actes qui blessent une âme à vie. Comment avancer quand la seule chose que tu veux faire c'est reculer, des larmes me montèrent au yeux et je courus dans les escaliers pour atteindre ma porte d'appartement. Je rentrais dedans et rentée dans ma chambre en trombe.
Je refermais la porte derrière moi puis glissa le long de celle-ci, je sentais une douleur intense au niveau de l'œil, je pouvais en déduire que d'ici 24 heures j'aurais un cocard, j'étais fatigué de cette journée je décidai donc de me relever et sécher mes larmes qui perlait le long de mes joues boursouflés. Je m'assis sur mon lit et essayer d'allumer mon téléphone, sans succès il n'avait plus de batterie, je le chargeais donc et me relever pour explorer ma chambre...
Je regardais ma bibliothèque remplis de livre mais aussi de souvenir, des photos avec mes amies, j'en pris une dans mes mains, c'était pendant les vacances d'été de l'année dernière, Math, Aela, Molly, Laure et moi, Meera. Nous étions sur la plage, moi et Math sur une serviette de plage deux places avec des sandwichs en mains et des chips sur le coter quant à Aela Molly et Laure, elles sont toute les trois affalés sur leur serviette, Aela un livre a la main, Molly entrains de bronzer et Laure discuter de loin avec math et moi. Aela était une fille d'un mètre soixante-cinq également, un teint mate, des yeux noirs et des cheveux marrons foncé ondulé qui tombe jusqu'en bas de son dos et ai plutôt fine. Molly, elle fait un mètre soixante-huit, Des cheveux blonds lisse court et des yeux bleus et un teint pâle, elle est également fine. Puis pour finir, Laure, elle mesure un mètre soixante-six a des cheveux lisse demie long et noir. Elle possède également des yeux noirs, un teint pâle et ai musclé. Elles sont toute les trois en maillot de bain, le même pour chacune. Maillot deux pièces noir et blanc. J'avais conservé cette photo comme un souvenir avant que ne l'on se quitte. Toute était partie de leur coter, Molly en Angleterre, Laure au Canada et Aela en France vers le centre de Paris. Nous avions perdue contact après la première, mais une chose et sur elles ont fait de ma vie des moments merveilleux, elles me remontaient le moral et m'apprenaient à garder la face dans les moments difficiles, quand ma grand-mère est morte, elles m'ont couvert d'amour et essayé de me changer les idées pour me montraient que l'on pouvait continuer à vivre et que la vie a du bon comme du mauvais. Maintenant nous n'étions plus que Math et moi.
Je reposais la photo et décida d'aller faire une douche pour me changer les idées, et soignées mes blessures par la même occasion. Je sortis de ma chambre quand j'entendis un bruit provenir du salon, j'étais persuadé que ma mère n'était pas rentrée, alors je refermais aussitôt ma porte de chambre et en faisant le moins de bruit possible je m'enfermer à clés. J'éteignis ma lumière puis ralluma mon téléphone, celui-ci m'étais énormément de temps a redémarré ce qui me faisais paniqué.
Je ne veux pas mourir tout de suite, pas avant d'avoir profité à deux cent pourcent de ma vie actuelle. Mon téléphone s'alluma enfin, mais je reçus énormément de message, un de math, deux du mystérieux inconnu et cinq de ma mère...
Math : « Tout vas bien Meera ? Ta mère te cherche de partout appel moi dès que tu reçois ce message, je m'inquiète beaucoup. »
Inconnu trop CHELOU : « Je suis touché de voir que tu as gardé mon post-it...mais as-tu peur de moi ? Meera. »
Inconnu trop CHELOU : « Prend des cours de self défense mi muñeca, se laisser faire c'est laisser à ton ennemis la chance de te tuer. Au faite, tu ne veux pas jouer au chat et à la sourie ? Je suis le chat tu es la sourie, fuis-moi si tu le peux. »
Maman : « Ma chérie je suis devant ton travail, je t'attends. »
Maman : « Meera, arrête ta blague est sort ce n'est pas drôle. »
Maman : « Meera si tu ne réponds pas dans les cinq minutes qui suivent, j'appelle Math pour s'avoir ou tu es. »
Maman : « Meera tu as dix-huit ans bientôt dix-neuf, ce n'est pas le moment de fugué. »
Je m'apprêter à lire le dernier message de ma mère quand j'entendis derrière la porte de ma chambre.
- « Tu es sûr d'avoir tout fouiller ?. »
- « Oui, mais cette porte est fermée, ce doit être la chambre de sa fille. » Attend ?? ils parlent de moi là ??
- « Mais ma parole, tu es con Raph ? Le but c'est de ne la trouver pas de laisser sa chambre tranquille à cause d'un verrou ! »
- « Oui c'est vrai que je suis un peu con, bon pousse toi louis, je vais enfoncer la porte. » Mon téléphone résonna dans la pièce...je suis foutu.
_______________________________________________
NDA:
OUPS.....
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
